Nos limites ne sont que celles que nous nous fixons, et nos possibles ne s’arrêtent que là où notre imagination stoppe…
J’ai la chance d’avoir imaginé que le ficelou pouvait convenir même sur de « vraies » descentes, alors suffisait de le mettre en pratique. Je garde par exemple un souvenir ému des exceptionnels rappels du jardin secret : je te l’accorde il n’y en a que 8, pas 12.
Mais penchés au-dessus du grand vide, là-haut, nous nous la sommes posée, la question du ficelou. Faudrait pas que ça coince et qu’il faille remonter, quoi… En même temps ça ne peut pas coincer vu la verticalité, et ficelou ou pas, pour remonter dans El Topo, tu t’amuses…!
Bref, c’est un coup à prendre, et « l’inconvénient » d’un mini-inconfort à la descente est pour moi largement contrebalancé par le confort de la fluidité d’une grimpe à simple…
Nop point d’astuce futée : suis plutôt une sauvage du rappel, pas hyper cérébrale dans ce genre de situation… Alors je démêle les nouilles au fur et à mesure, mais n’ai pas l’impression que ce soit tant le carnage que tu racontes…
ça ferme quelques portes, tout de même…
A moins d’avoir un pote qui a 2x60m pour les ouvrir
Ah bah grillée, c’est cool ça, j’n’ai même plus besoin de répondre que d’autres le font avant pour moi : merci cher porte-parole !