Marrant tout ça
j’ai dans ma bibliothèque la thèse de doctorat d’Alain Duclos, avec une dédicace me « piquant » sur le probabilisme _ que je soutenais déjà avant de connaître les écrits de Munter_ par rapport au déterminisme, auquel à l’époque il espérait encore arriver.
depuis il semble qu’il ait acté le fait qu’au niveau pratique, il y avait actuellement trop de facteurs pour que le déterminisme permette la prédiction et la conduite d’une course, et soit autre chose que, comme dit Munter, un objet d’études pour universitaires
d’ailleurs, en bonne logique mathématique, le déterminisme n’est que le cas extrême dans lequel la probabilité de résultat aberrant est nulle. Dans la vie de tous les jours nous sommes tous, tant que nous sommes, gouvernés par des probabilités plus ou moins élevées … le risque 0, c’est à dire le déterminisme absolu, n’existe pas, que ce soit pour la neige, le nucléaire ou la conduite automobile, entre autres. Et pas non plus pour le couple onde/oarticule, où l’on démontre scientifiquement que plus on connaît la position de la particule moins on connaît la phase de l’onde correspondante, et vice-versa, la matière étant à la fois onde et particule …