Si si on en a parlé, c’est pour ça que les bleus ont fait un piètre match nul en Hongrie 
Fonte du glacier d'argentière et de la mer de glace d'ici 2080-2090
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Et pourtant, comme on dit toujours, le monde est petit.
On est vraiment dans la peur atavique de l’Apocalypse…
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Et quelques dizaines de kilomètres plus à l’est, 63°C relevés à hauteur d’homme.
Ça commence à piquer.
c’est la base de la collapsologie voyons…
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Température au sol ou j’ai mal lu? Et sur surface bitumée ou bétonnée.
Si tu regardes les grands prix de F1 la température de la piste est toujours très supérieure à la température de l’air. Je prends avec des pincettes donc.
Les températures de l’air sont prises à une certaine hauteur et dans des lieux non revêtus justement pour éviter ce biais. Ce qui n’empêche pas la réalité du truc, il peut faire 60 au sol mais ca ne doit pas être comparé avec des températures mesurées sous abri normalisé.
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Oui, et les températures « classiques » elles sont prises à l’ombre. Ce genre de nouvelle fait un peu trop « fantastique » pour être crédible. A minima, il faudrait avoir qqs notions de température "au soleil’ pour comparer avec ces chiffres.
Reste qu’il fait très chaud, et que ca va avoir de + en + de conséquences…
Les températures sont mesurées sous abri à 1,80 m de hauteur.
Si tu mets ton thermomètre au soleil sur ta terrasse, par exemple, il atteint couramment ces températures.
La température du sol est extrêmement variable et n’est pas représentative de la température de l’air à 2m.
En effet, à 15h locale aujourd’hui, la température de l’air sous abri à 2m était de 29.8°C à Perpignan et à Toulouse Blagnac, alors que la température du sol était de 49°C à Toulouse et légèrement plus de 60°C (la sonde de température standard sature au delà de 60°C) à Perpignan.
Et ce n’est pas tout, il y a 6 jours, les deux stations affichaient toutes les deux 31°C à 2m mais seulement 45°C au sol… 
On a donc plusieurs températures possibles au sol qui correspondent à une même température d’air à 2m sous abri…
Cela s’explique par le fait que l’air est transparent aux rayonnement visible (et aux Infra-Rouges en première approximation sur 2m de haut).
La surface reçoit le rayonnement visible (SW), en reflète directement une fraction (albédo) et absorbe le reste ce qui fait chauffer la surface. La surface émet du rayonnement infra-rouge qui équilibre l’apport du rayonnement incident.
La température du sol est donc un équilibre très rapide (moins d’une minute) en réaction au rayonnement incident visible. Un nuage passe et la surface peut perdre facilement 5°C en moins de 5 minutes.
La surface est en contact avec de l’air qui n’est chauffé que par le sol, une particule d’air touche le sol et s’échauffe. L’air peut transférer la chaleur par contact avec son environnement, on parle de conduction, ou par élévation de la particule d’air chaud, on parle de convection.
La convection est très majoritaire dans ce cas de figure.
On a un très grand nombre de particules d’air chauffées par la surface qui montent, se brassent (comme l’eau bouillante dans une casserole).
À 2m les particules sont suffisamment mélangées pour avoir une moyenne représentative et plus « unique » par situation météo.
C’est pour cela que l’on parle toujours de température de l’air sous abri à 2m.
Reste que la température du sol est essentielle pour la fonte de la neige ou glace et explique la fonte/sublimation à des températures potentiellement fortement négatives en haute montagne jusqu’à très haute altitude.
Edit: ortho/typo
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« Dans l’ouest du Canada et en Californie, une centaine d’incendies provoqués par la canicule »
Comment détecter les feux zombies qui couvent sous les forêts boréales
À partir de données de terrain et d’images satellites, il est possible de prévoir où et quand ces surprenants feux qui couvent tout l’hiver sous la neige risquent de reprendre au printemps.
Si ce n’était qu’ça…!
Article paru dans « Pour la science » - juîllet 2021.
Les montagnes fondent… et s’effondrent !
Le réchauffement climatique a une conséquence spectaculaire : il accélère le phénomène incessant de la déstabilisation des parois rocheuses de haute montagne.
Un article ici :
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Les petits glaciers aussi sont en sursis!
Ici glacier de la Muande dans les Écrins.
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Article paru dans « Pour la science » - 6 juillet 2021 -
Le bilan carbone des tourbières se précise.
Les émissions de carbone liées à l’assèchement des tourbières à des fins agricoles ne sont pas prises en compte dans les modèles climatiques, faute de données suffisantes. Elles représenteraient pourtant 72 milliards de tonnes de carbone depuis le Moyen Âge.
https://www.pourlascience.fr/sd/climatologie/le-bilan-carbone-des-tourbieres-se-precise-22033.php?from=EMA21VPC&utm_source=email&utm_medium=email&utm_campaign=nl_pls_hebdo_0907
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La Mer de Glace, nouveau spot de plongée (mais attention au Requin…)
http://annavonboetticher.com/News
Un gros chantier pour une future mer de roche
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Sauf qu’à brève échéance le « site d’exception » ne sera plus qu’un vaste pierrier sur fond de faces arides.
Perso, j’adore les modélisations ! 
C’est le genre de truc qui étaie des décisions politiques et économiques susceptibles d’impacter des milliards d’individus jusqu’à s’apercevoir qu’on s’était trompé ou que certains facteurs n’avaient pas passé le cap de la sélection. A noter que bien souvent, la raison économique prend part à cette sélection, étant aussi partie du financement des nombreuses études.
ils feraient mieux de mettre la gare beaucoup plus bas pendant qu’ils y sont.
C’est quand même chiant à descendre toutes ces échelles. Et toute cette énergie perdue à monter pour ensuite redescendre. 
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Restera toujours la vue sur les grandes jo, la verte les drus, grands charmoz…