Posté en tant qu’invité par xav:
C’est le cas pour la plupart des sites ou secteurs pas très grands : de la poche du BE local, d’un guide ou d’un passionné.
Falaise Selector, le retour
Posté en tant qu’invité par Yves du mou de mostuejouls:
En dehors de tout propos polémique, il semble que sur le plan technique le falaise predator ne soit pas une réussite, perso j’y arrive pas. D’après les dires, c’est long, donc cher et pas pratique. Donc pas trop de souci pour le moment. En tous cas les réactions sont interressantes.
Le plus choquant de ce FS reste qu’il se moquent des grimpeurs « locaux » en les squizzant purement et simplement . Cela ressemble au gag de la personne qui scie la branche sur laquelle elle est assise puisque après tout si grimper existe c’est parce qu’il existe des grimpeurs qui s’éclatent à équiper. Et même si tout l’argent des topos ne vas pas forcément dans l’équipement beaucoup d’équipement sont financés par des topos…
Posté en tant qu’invité par Filou:
moi non plus je n’arrive pas a me connecter sur FS.
pour ce qui est de l’argent des topos je sais qu’en Ardèche il revient au CDFFME07.
ca permet de payer en parti les employés du CD, ce qui permet d’avoir un entretien des sites régulier
à quand un article de Grimper sur se sujet, ça changerai un peu des articles passe partout du style essai de matos qui revien tous les ans
Posté en tant qu’invité par Christophe:
Je dirais plutot : vu le niveau de tous les « magazine » montagnes ou de grimpe Francais. Globalement c’est de la daube qui ne sert qu’a savoir ce qu’a réussi le dernier champion Lambda.
Posté en tant qu’invité par mussatto:
je ne cacherais le fait que la revue grimper me file des boutons, je suis peut-etre un peu vieux ou accroché à des valeurs que ne partagent pas certains mais je trouve que:
Grimper ,avec son ton franchouillard emballage qui cache mal l’aspect bien vide du contenu ( p.Dac " une idée sans contenu est une idée vide )arrive au bout du rouleau et se raccroche à la seule chose qui peut marcher pour se faire acheter : le topo!
c’est tragique et comique et classique : je ne vais pas m’insurger sur le fait qu’un topo et le travail conséquent qui l’a fait naitre réclame salaire mais qu’on fasse du piratage et qu’on en tire profit c’est pas mal .l’idée est dans l’air et le web est une sacré concurrence aux topos .aux grimpeurs à prouver que l’escalade ne se résume pas seulement au seul fait de "« grimper » terme minimum qui correspond bien à la revue . la cotation : « c’est combien ? » montre bien toute la profondeur du problème et les trois quarts des pirateurs ne dépasse pas ce stade. Grimper s’appuie sur ce fait, sûr de trouver preneur , mais comble du paradoxe en critiquant les topos ; "chers et pas beaux ! " mais qui apportent des fois de plus amples , complètes et plus intéressantes informations que la cotation .
Pour ma part , auteur d’un topo qui recense 23 sites autour du lac du bourget je tente de donner à mon ouvrage une dimension et une sensibilité ( on dira une approche. ) il est sûr que c’est aux auteurs de topos/livres à ne pas penser que se faire du pognon mais aussi à produire des ouvrages qui dépassent le simple recensement de cotations pour répondre à la question « c’est combien ? ». C’est la loi de la concurrence et à nous de prouver qu’un ouvrage mérite son prix.
Laissons grimper aux idées vides (ou l’inverse).c’est aux grimpeurs de se démarquer de l’image de purs consommateurs qui leur colle à la peau et de prouver qu’ils associent à leur pratique :de l’histoire ,des noms et qu’ils n’oublient pas le travail de(s )l’ouvreurs , la ffme ne fait pas tout ! .
Posté en tant qu’invité par mussatto:
auteur d’un topo d’escalade sur le bassin chambérien je me range du coté du collectif des opposants à grimper MERCI