Exposé sur la peur du vide et le vertige

Posté en tant qu’invité par Francois:

Quelqu’un a expliqué que le vertige est pathologique (c’est une maladie) et que la peur du vide est naturelle. C’est exactement ça.
Dans le cas du vertige (trouble de l’équilibre etc…) il faut consulter.
La simple peur du vide disparaît généralement avec la pratique. Evidemment, dans des situations un peu « limite » il est tout à fait normal qu’on ait un peu la trouille, même avec de la pratique.

Posté en tant qu’invité par seb:

la plupart des grimpeurs souffrent comme moi du’une aprehension du vide mais pas de vertige clinique (déreglement de l’oreille interne qui les empèche de monter sur une table à 50cm du sol) le moment où cette peur se ressent va évoluer toute la vie du grimpeur selon la hauteur et son expérience (accidents, etc…)
parle en sur le forum médical
bonne chance

Posté en tant qu’invité par LE FLOCH Evelyne:

Je devais escalader un tax de bois. Je suis tombée.
Je montait sur un escabeau, je suis tombée.

Ces chutes étaient dues à une mauvaise position, j’allais trop vite.

Mais à la suite de cela j’ai eu l’attirance du vide. Je ne pouvais plus être en hauteur.

Un médecin m’a dit le nom de cet handicap que j’ai oublié. La définition était : C’est … Vous avez une phobie. Pour qu’elle s’en aille, vous n’y pouvez rien.

J’ai appris qu’au bout de deux à trois séances, certains spécialistes des phobies la faisait passer (reportage TV).

Et un jour, tout à disparu ! Je peux monter et reagarder en bas (pas trop longtemps) sans vertige, lever la tête en montant les escaliers, etc…

Cette phobie ne s’explique pas. Elle est une suite aggravante des précédentes chutes dans le vide que l’on a fait, que le cerveau a enregistré et provoque cette peur de tomber et donc nous entraîne presque à le faire.

Je sais par expérience que ça vient comme c’est venu. J’ai attendu quelques 10 ans mais c’est bon puisque j’en ai même oublié le nom médical.

Posté en tant qu’invité par Adrien:

slt je suis en terminal s est je fait un exposer sur la peur du vide cela m interesserai ossi d avoir plus d information sur ce sujet au niveau scientifique c est a dire anatomique et ect … j ai apri ke la peur du vide vient d un dereglemment au niveau de l’oreille interieur ki fait ke le cerveau annalyse + ou moin bien le vertige !!!j’aimerai bien avoir votre aide ossi !!!merci

Posté en tant qu’invité par Robert:

Heureusement que tu es en terminale s parce qu’en littéraire tu n’aurais aucune chance. Ton orthographe me donne le vertige!
Je ne parle pas du charabia sms mais « est » au lieu de « et », « fait », « exposer », « interesserai », « aimerai » c’est trop pour mon oreille interne!
Mais c’est peut être à cause de mes 44 ans aujourd’hui, je suis de la vieille école primaire!

Posté en tant qu’invité par âlex:

Robert a écrit:

Mais c’est peut être à cause de mes 44 ans aujourd’hui, je
suis de la vieille école primaire!

Joyeux anniversaire qd même !
=D

Posté en tant qu’invité par nadia:

coucou tout le monde , je suis en terminale et j’ai pris option EPS et je dois rendre un exposé sur le vertige en escalade si vous souffrez de vertige ou si vous avez quelquonques documents à ce sujet ils seront les bienvenus!!!

Posté en tant qu’invité par Lemmings:

Je pense déja qu’il faut faire la difference entre la peur de la chute, qui fait appel a la raison et qui peut se controler en faisant la part des choses et en réfléchissant un peu, et le vrai vertige qui est une peur parfois panique completement incontrolable et contre laquelle la raison ne peut absolument rien.
Voila
Dr Lemmings

Posté en tant qu’invité par nadia:

salut, si tu as des documents sur le vertige escalade tu serai bien sympa de me les envoyer car je doit faire un dossier là dessus et je galère pas mal
merci d’avance

Posté en tant qu’invité par Greg:

Si tu n’as pas lu « Premier de Cordée », c’est le moment. Le personnage principal souffre de vertige suite à un trauma crânien. Toute la seconde partie du roman tourne autour de ce sujet, comment le héros parvient à surmonter sa pathologie, etc… En plus c’est un bon bouquin !

Posté en tant qu’invité par laurent13:

Salut,

J’ai commence l’escalade parce que j’avais peur du vide, et que je voulais faire de l’alpinisme mais que ca me bloquait (au dessus de 7 metres de haut j’etais vert au debut).
Ca m’a pris beaucoup de temps et de pratique, et j’ai encore peur quand je suis pendu dans le vide en fil d’araignée par exemple dans les rappels de luna bong au Verdon.
Pour vaincre cette peur, il faut l’affronter, mais par etapes, sinon si tu bloques completement ca va plus te traumatiser que te faire progresser. Rassures toi, tout le monde a peur, ou s’est fait des frayeurs un jour on un autre…

Posté en tant qu’invité par Claude M.:

amandine écrit : <" Pouvaient vous m’aidez "> …:-(((
Exercice : résoudre cette expression. Z’avez trois heures.
Médée, mes dés, m’aides, hé !..Mèdes alors, mine d’ Assyrien, c’est vrai que ça fout la trouille en terminale, des trucs comme ça…!!

Posté en tant qu’invité par Francois:

Ca va s’arranger, Claude, ça va s’arranger…suite au grand débat sur l’école, pardon: l’Ecole, qui a eu lieu il y a quelque temps et dont on vient, il y a peu, de tirer la substantifique moëlle, on vient de s’aviser inopinément que l’école pourrait éventuellement servir à ce que les chères têtes blondes acquièrent « les bases », à savoir: lire, écrire, compter.
Tout n’est donc pas perdu et l’espoir renaît.

Posté en tant qu’invité par Kiki:

Attention : le vertige, le vrai, correspond à un problème physiologique assez rare mais on ne s’en défait pas. La plupart du temps, ce qu’on nomme « vertige » est en fait la peur du vide.
Voici mon « vécu », si ça peut apporter de la matière première à tes travaux.
Pour moi, la peur du vol et la peur du vide sont des choses assez distinctes.
La peur du vol, c’est la peur de la chute, que l’on soit haut ou près du sol. Et justement, il y a de quoi craindre de voler près du sol !
La peur du vide, on peut l’éprouver, au début, même si on ne risque guère la chute. Je l’ai apprivoisée beaucoup plus vite. Comme si j’arrivais mieux à rationaliser, c’est à dire à supplanter le réflexe par une estimation du risque réel, dans le cas du vide que dans le cas de la chute. J’ai l’impression que c’est le cas de beaucoup de grimpeurs.
Ca fait un bail que je n’ai pas éprouvé la peur du vide. La peur du vol, elle n’a pas complètement disparu : parfois je suis ultra décontractée, parfois elle me reprend fortement sans crier gare, et le plus souvent elle est là, mais très atténuée et plus « rationnelle » (passages exposés, mousquetonages risqués).
Globalement, ça va nettement mieux depuis une école de vol. Les vols « préparés » (se lâcher volontairement) ne m’ont guère aidée. Je les faisais très facilement, mais ensuite, en situation réelle, j’avais toujours aussi peur d’aller chercher le pas suivant si le risque de vol était important. Alors lors d’un stage, on m’a collée dans des voies que j’étais incapable d’enchaîner, avec pour consigne de poursuivre coûte que coûte. Le tout dans le cadre de cours collectifs ; donc non seulement on vole, mais on voit plein de monde se coller des vols, ce qui banalise « l’événement ». Ca m’a énormément aidée, mais j’ai besoin de « piqûres de rappel » de temps en temps, pour me décontracter.
Et bien sûr, divers facteurs jouent fortement : la confiance dans l’assureur en premier lieu, la bonne relation entre les partenaires (décontraction, calme, bienveillance, humour), et les dispositions dans lesquelles on se trouve soi-même (forme physique et psychologique). Les jours où je me sens un très petit mental, je n’insiste pas trop. Se « pousser », ça fait progresser à condition d’être en état de gérer. Sinon, il y a risque de régresser.
Voilà mon « vécu ». Je te souhaite des recherches fructueuses pour ton exposé et bien sûr beaucoup de succès.

Posté en tant qu’invité par arnaud:

c’est comme ça que tu bosses Kiki ?

Posté en tant qu’invité par Kiki:

Ben vouais. Trop nase pour bosser. Trop de taf, de levers matinaux, de manque de sommeil. Et hier soir je me suis quand même traînée à la SAE parce que je savais que je ne grimperais pas ce WE.
Je bosserai un peu ce WE, au calme à la campagne. J’ai des trucs à faire qui s’y prêtent bien (de la rédaction, sur des sujets plutôt intéressants). Je fais ça, des fois, c’est pas désagréable de bosser « à contre temps ». Ca me semble même une sorte de « luxe », assez voluptueux.
Et toi, Arnaud, au fait ? Pas sur tes dossiers ? Ben alors ???

Posté en tant qu’invité par Claude M.:

Kiki écrit : <" une sorte de « luxe », assez voluptueux. "> Pffffff…d’mon temps, ma bonne dame, c’était la luxure qui était voluptueuse ! Tu ferais mieux de retourner au bistrot…:-))

Posté en tant qu’invité par Kiki:

Tu trouves que je commence à placer bien mal ma volupté, Claude ? Tu n’as pas tort. Il serait temps que je sorte de là, je file un mauvais coton. Tchin, à la tienne !

Posté en tant qu’invité par arnaud:

argh , pris de vitesse , voila ce que c’est de bosser …

j’aurais digressé aussi sur « sur des sujets interessants » , allez je retourne picoler , euh bosser moi aussi !

Posté en tant qu’invité par Kiki:

Tchin ! Comme ça nous saurons au moins d’où nous vient ce voluptueux vertige !