Il veut plutôt faire du 8a maintenant:
Expéditions hivernales en Himalaya et Karakoram 2019/20
C’est pas très malin…
Outre le fait de ne pas s’alimenter à cette altitude, le gars n’est déjà pas bien épais, il doit penser qu’il faut encore perdre du poids pour progresser.
C’est quand même bizarre de croire cela à ce très haut niveau sportif.
Je pense qu’il n’a pas les idées très claires en ce moment et que l’on pond une tonne d’articles de presse pour chacune de ses paroles qu’il n’a pas dû très bien réfléchir.
Désolé Thomas 
Et voici donc l’article mis à jour :
2 Likes
4 sherpas s’apprêtent à tenter l’ascension de l’Everest en hiver en 6 jours… La course aux records continue https://twitter.com/EverestToday/status/1231594285897678850?s=19
Ouais pas emballé par ce projet d’autant qu’apparemment ils arrivent direct au CB en hélico…
Bref…
Sinon, le Baltoro qui s’était complètement vidé va à nouveau revoir du monde bientôt.
Confirmation du projet polonais au Mitre Peak, ils sont 3 à avoir pris l’avion hier pour Islamabad (dont le pote à @lashemale je crois ;)). Januz Golab a renoncé pour raisons personnelles.
Filip Babicz devait les rejoindre après le Batura. A voir car il reste du boulot au Batura.
1 Like
Apparemment l’equipe Txikon et l’équipe des népalais vont faire cause commune. Départ demain du CB.
A noter qu’un des népalais (Pasang Nurbu) était déjà au sommet de l’Ama Dablam avec Txikon il y a quelques semaines.
Kobusch aurait atteint 7100 aujourd’hui et aurait établi un camp 2 vers 6800 (j’ai pas vérifié les infos ni le tracker)
1 Like
Txikon et les népalais au C1 seulement alors qu’ils visaient le C2. Permis hivernal valable uniquement jusqu’à fin février pour les népalais, cest tendu…
Kobusch lui redescend après avoir atteint 7200 au max. Et ça sent la fin de l’histoire pour lui (il parlait de dernière tentative il y a quelques jours).
tu peux dire c’est mort!
1 Like
Année bissextile donc il leur reste 4 jours.
Leur intention était de toute façon de le faire en 5 jours donc bon ça peut encore matcher.
Squizz du C3 apparemment si option itinéraire Txikon qui ne permet de toute façon pas d’établir un C3 (un peu plus à gauche de la VN si j’ai bien compris). Ça reste très tendu du string c’est sûr et soumis à plein d’aléa météo et autre, mais à voir.
Oups, je croyais comme proto que c’était mort… il faudrait donc que je lui enlève mon « j’aime », mais je n’en ai pas envie. Que faire? La vie est pleine de difficultés insolubles… par seulement dans les expéditions hivernales sur des 8000.
Des news du Batura, source FB: *** info od zespołu #BaturaSar *** W... - Polski Himalaizm Zimowy im. Artura Hajzera | Facebook
Toute façon même si tu en avais envie tu ne peux pas
Mais t’inquiète si ça se trouve dans quelques heures c’est vous deux qui aurez raison. Ils ont atteint péniblement le C2 aujourd’hui (neige et mauvaise visibilité). Mais le plus dur reste à faire même si les prévisions météo semblent assez correctes pour ces prochains jours (avec quand même du vent forcissant le 29, si c’est le jour du sommet, c’est pas top…)
-34.8°C au Col Sud (7.945m) mesuré ce jour à 18h45 (EarthPulse)
Vent: données indisponibles.
Pression : 367 hPa
Humidity: 69 %
On a vu bien pire…
Une belle fenêtre, peut-être…
Clap de fin pour Kobusch? (pardon pour l’emprunt/clin d’oeil à un titre de Montagnes Mag)
«J’ai atteint mon objectif: j’avais prévu d’atteindre 7200 m dans cette rotation et j’ai atteint 7360 m! Je me sentais bien là-haut et j’ai pris des photos. J’aurais pu aller plus loin, le temps semblait tenir, mais mon intuition m’a dit: arrêtez - si vous voulez vous approcher du sommet, vous devez rester au moins à 7500 m-8000 m avant et redescendre. Cela n’aurait plus été techniquement cet hiver et marcher sur la longue crête ne m’a pas convaincu (d’autant plus que mon problème de ligament et mes problèmes d’estomac réduisent déjà considérablement les réserves de sécurité et peuvent toujours surprendre). Hier (25.02.2020) je suis descendu de mon terrain 2, que j’ai placé à 6850 m, quand il a commencé à neiger. L’épaule ouest est très exposée aux avalanches dans ces conditions et on m’a submergé en descendant! Heureusement, j’étais en sécurité, donc c’était comme courir dans l’eau courante. La chose la plus dangereuse aurait été de traîner et de voler le long de l’épaule. Depuis que ma batterie GPS était épuisée, hier soir (25.02.) Je n’ai pas trouvé mon terrain 1 à cause de toutes les chutes de neige. Alors, vieille école, j’ai dû ouvrir ma tente sans avoir sincèrement aucune idée de l’endroit où j’étais - au milieu du glacier. Hier soir (de 25 h à 26 h), il a bien neigé et les conditions se sont encore aggravées, c’était la bonne décision de rester. Je m’occupe de mon camp 1 et je descends demain (27.02.2020) avec mes affaires au camp de base "
Bonne chance à lui pour la descente et ça risque d’être un nom dont on reparlera dans les prochains suivis d’expéditions hivernales (ou pas) en Himalaya/Karakoram (ou ailleurs), parce que c’est quand même un sacré têtu et avec du talent.