Posté en tant qu’invité par J.Marc:
PhilM a écrit:
…même dans les grandes voies…celui qui équipe part là où il
n’y a rien.
C’est son choix (et son matos) qui dicte sa façon d’équiper. On
ne peut pas lui en vouloir.
Au final, c’est quand même lui qui offre une voie qui
n’existait pas !
Ce n’est pas du totalitarisme… juste une offre !
Dans le Verdon, ya des styles pour tout le monde, non ?
Je laisserais Kris te répondre sur ces points précis, parce que je n’ai jamais dis que j’étais d’accord avec le terme « totalitarisme » !
Mon avis sera plus modeste, parce que je ne connais pas assez l’historique du problème, je constate juste que les grandes voies modernes - j’aime bien, j’en fait souvent - prennent le dessus sur les grandes voies TA - j’aime aussi, j’en fais un peu moins souvent.
Ma question, c’est : doit-on laisser les ouvreurs agir sans concertation (alors c’est logique que le moderne prenne le dessus, mais le risque pourrait être la disparition à terme du TA), ou peut-on réfléchir collectivement à l’aménagement de la montagne pour TOUS les grimpeurs ?
Des coins pour grimper comme on veut, il y en a pleins, la
diversité et le choix existent.
Il faut parfois, juste, sortir des sentiers battus… Grimpez
où vous pouvez !
Je ne vais pas te contredire : vive la Corse ! Mais à Chamonix ou dans les Ecrins, il y aurait peut-être moyen de réfléchir à une politique d’équipement… Et puis les coins paumés j’adore, mais avec vue sur la Meije ou le Grépon, c’est pas mal aussi…