Pourquoi pas… A réfléchir…
Escalade Homme Femme non Couple
oui enfin visiblement, tu n’as pas vraiment envie de la connaître, et on est pas obligé de partager les amis de son conjoint.
je crois que tu te fais du soucis pour rien, il est fréquent qu’il y ait ce type d’amitié forte entre des gens à la sexualité différente, ils peuvent même dormir ensemble et que ça reste une amitié pure, ça peut être aussi fort (dans le sens stable, pas intense )qu’une relation amoureuse, c’est peut-être plutôt ça qui t’inquiète. tu serais plus rassurer si c’était un homme? et si c’était un gay à la place d’une lesbienne, t’aurais aussi peur?
Trouver un/une partenaire de grimpe c’est top, surtout du même niveau. La passion pour ce sport et l’envie de progresser donnent rapidement envie de sorties très régulières. Donc si les deux ont les mêmes attentes sportives le sport devient un peut comme une drogue. Surtout l’escalade.
Maintenant selon ce que tu décris il a peut-être tenté le coup par le passé… et passé le cap après avoir été éconduit. Au moins c’est clair pour chacun d’eux. Alors tenter qq chose maintenant est hasardeux.
Comme dit Lulu002 il faut la rencontrer, passer du temps ensemble. Mais là c’est peut-être lui qui s’inquiètera en raison de son orientation sexuelle.
Allez, au grand air ! Le dialogue en direct est la seule solution viable et digne.
Elle n’a envie de rien de sexuel mais mon mari lui a peut-être envie puisqu’il en a été très amoureux et c’est ça qui me fait peur.
Heu ?
Je pose la question ; est-ce « normal » de fouiller ds le téléphone d’un proche ?
Je crois que je ne me le permettrai jamais, j’aurai l’impression de violer l’intimité de la personne en question.
En ts ca, je ne me le suis jamais permis avec mes compagnes. je ne vis pas ce que j’aurai à y gagner…
non
J’ai bondi moi aussi en lisant ça, pas de mot pour décrire l’effarement que ça m’inspire
Non mais Monique il faut le considérer comme de la friture sur un poste radio. On l’entend, ça fait chier, mais on essaie de passer par-dessus.
Il existe une fonctionnalité sur le forum qui permet d’ignorer un forumeur, je vous laisse chercher dans vos paramètres du compte.
??
Si 4 français sur 10 le font, ca veut dire que 6 sur 10 ne le font pas, dc on est ds la moyenne, au contraire.
Qu’est ce qu’on gagne à aller voir ds le portable de l’autre ?
Et question subsidiaire : qu’est ce que tu penserais d’un proche qui viendrait fouiner ds le tien ?
Pourrait-on rester dans le sujet de départ, SVP sinon on vire toutes les digressions…(Et bizarrement, on trouve toujours les mêmes pseudos qui digressent, ça devient pénible !)
K’ascade pour la modération.
Il y a de quoi en effet.
Ca fait longtemps que cette situation perdure ?
C’est malheureusement une situation tordue. Beaucoup ici nie l’aspect sexuel. Il a été très amoureux mais peu de commentaires ici ont relevé cet aspect fondamental. On nie l’aspect sexuel justement pour ne pas voir une situation tordue. La rencontrer c’est une bonne idée, ce serait pour ton conjoint lui montrer que tu n’es pas dupe, le sortir de cette relation exclusive qu’il entretient avec elle (comme une relation amoureuse) mais en même temps tu entres dans la situation tordue et il faudra que tu ne sois pas tordue. Il s’agit de montrer quelle est ta place et quelle est la place que doit tenir ton homme… Et peut-être que la clé c’est elle qui l’a. Peut-être va-t-elle s’apercevoir de ta souffrance et choisir un autre partenaire.
Car des partenaires de grimpe, ce n’est pas non plus si difficile d’en avoir.
Courage à toi et dis toi que c’est eux qui déconnent, pas toi. Sans tout envoyer valser car je pense que tu tiens à cet homme, essaie de montrer en étant présente que tu n’es pas tordue.
Je ne suis pas d’accord. Trouver un être humain qui va tenir la corde ce n’est certes pas difficile, mais trouver un·e partenaire avec qui on partage une certaine vision de la grimpe, avec qui il y a un bon feeling, qui a un niveau, des disponibilités et envies similaires, je ne trouve pas ça évident du tout.
Effectivement c’est une donnée qui manquait à la description initiale et qui peut changer l’appréciation de la situation, mais encore une fois on peut difficilement faire des généralités. C’est possible d’avoir été amoureux de quelqu’un, d’être éconduit, et par la suite (plus ou moins longtemps plus tard) de continuer à fréquenter cette personne sans ne plus entretenir aucun sentiment romantique.
Si ton mari ou sa binôme sont sur C2C ? Si oui ça va précipiter les choses.
Au contraire, c’est très difficile, surtout quand tu vieillis ( je ne parle pas des « coups d’une séance » qui tiennent, plus ou moins, la corde ) mais d’un vrai partage de ta vision, communauté d’objectif, confiance, toutes ces choses qui permettent de te transcender.
Si on parle d’escalade en couenne, je demande à que la personne sache assurer correctement. Le reste est secondaire.
Ensuite s’il s’agit de partir grimper deux semaines, il faut bien évidement autre chose mais ça découle de la durée, de la distance, de l’engagement, du coût … comme pour toutes les activités à 2 semaines. Mais les besoins pour s’amuser en escalade à coté de chez soi ne sont pas plus compliqués qu’au tennis, aux échecs ou tout autres activités nécessitant un partenaire.
Ceci étant dit, le sujet n’a rien de spécifique à l’escalade, et s’applique à toutes les situations, y compris pro, où un partenaire d’activité est d’un sexe différent (pour les hétérosexuels) et que cela pose soucis à son partenaire dans la vie.
C’est drôle, perso au delà de la confiance ds l’assurage, c’est essentiellement le feeling que j’ai avec l’autre qui m’incite à grimper. On peut chercher la performance, on peut aussi juste chercher à passer une bonne journée.
Tu soulèves la question de « pourquoi tu grimpes ? » Néanmoins, le fait que la personne assure correctement me semble quand même un préalable au fait de juste passer une bonne journée
Enfin bon, le sujet de départ me semble avoir peu à voir avec l’escalade même si s’en est le support… dès lors pourquoi s’étonner que ça digresse
C’est comme le tennis, les échecs … Pour partir une journée complète, voire 2 jours sur une compétition d’échec, on préfère que cela soit avec les bonnes personnes. Ensuite, on fait parfois, souvent, comme on peut. A moins d’avoir des besoins très particuliers, je ne comprends pas la difficulté qu’il y aurait à grimper en couenne même 1 journée complète avec 99% des grimpeurs tout en passant une très bonne journée.
Il n’y a rien de spécifique à l’escalade. Tout comme la situation du post n’a rien de spécifique à l’escalade.
Quand on choisit de vivre avec quelqu’un et qu’on décide de partir sciemment 1 semaine avec une autre personne en tête à tête, c’est tout de même assez logique que cela interroge. Si encore c’est dans un cadre pro, et donc en partie « obligatoire ». Mais dans un cadre loisir, et donc en choisissant de prendre cette semaine sur le temps en commun, c’est logique que cela puisse interroger.
La passion pour l’escalade, 5b versus 7 ou même 8, ça ne semble tout de même pas les bons sujets. Ensuite à chacun de trouver ses réponses.
Une séance de couenne avec quelqu’un qui tient la corde et qui n’est pas sur la même longueur d’onde, et une séance de couenne avec quelqu’un avec qui il y a un partage d’une vision de la grimpe, partage d’émotions, émulation etc c’est le jour et la nuit. Que ce soit pour la performance, ou pour passer une bonne journée d’ailleurs. J’ai déjà passé de mauvaises séances de grimpe à cause de ce paramètre.
Il y a sûrement d’autres pratiques où ça s’applique mais les exemples que tu donnes ne sont pas les bons. Les échecs et le tennis c’est l’un contre l’autre, c’est pas une journée ensemble face au rocher et à la chorégraphie qu’il impose, où on se soutient mutuellement.
Enfin ne soyons pas trop hors-sujet, mais l’idée qu’il serait facile de trouver un·e bon·ne partenaire de grimpe est à mon sens (en général) fausse, donc je ne pense pas qu’elle devrait intervenir dans le dialogue sur le sujet initial.
Evidemment quand on vieillit, on n’intéresse plus personne. Mais alors qu’est ce qui est le plus difficile : rencontrer une personne avec qui on partage une vision de la grimpe (si tant est qu’ils la partagent d’ailleurs) ou une moitié avec laquelle on partage une vision d’être au monde au-delà d’un bout de caillou et d’une corde à tenir ? Les deux sont difficiles, j’en conviens. Mais rien ne doit autoriser à laisser la personne que l’on aime dans une situation aussi ambiguë et qui la fait souffrir sans en trouver la solution.
Parce qu’on a tous compris ce dont elle a peur je crois.
C’est à elle donc que revient la nécessité de dépatouiller tout cela et d’engager le dialogue.