Multiples morsures dont une au cou.
Ce chien est dangereux, il faut l’abattre.
Enquête/retours d'expériences avec les chiens de protection
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Bonjour,
C’est très sympa. Surtout quand tu descends et que le troupeau de moutons monte par un sentier étroit. Il suffit de faire demi-tour, remonter au sommet, descendre par un autre itinéraire, puis contourner la montagne. Est-ce vraiment utile de bloquer des montagnes ainsi pour élever des moutons ?
Bernard
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Les hautes Alpes n’est pas un département progressiste, on attends juste les deux mois d’été pour mettre son marcel.
Les commentaires n’étaient pas de moi mais de certaines personnes sur facebook.
J’ai bien mis les liens avec leur nom pour qu’on voie le genre de personne capable de poster de telles horreurs.
Je suis comme pas mal d’autres ici. J’en ai ras le bol de ces patous et surtout du jm’en foutisme avec lequel c’est fait en Suisse et en France.
Parfois ça se passe bien, parfois beaucoup moins, et on ne sait jamais sur quel patou on va tomber.
Il y a aussi des maires sans aucune morale, sans aucun respect pour la vie des gens, et pour qui l’argent est la seule religion.
Encore quelqu’un bien qui dirige : Christine Maximin, maire de Baratier qui n’a rien trouvé de mieux que de vouloir dépénaliser les morsures de patou ! Oui vous avez bien lu.
Quand je parle de quelqu’un de bien c’est ironique.
Ce n’est pas elle c’est le procureur de la République de Gap. D’après l’article que tu as mis en lien.
Mais c’est sûr qu’interdire l’accès à la montagne revient à peu près à ça.
Je suis pour l’abattage des chiens dangereux …
Même si ce n’est pas de leur faute, mais plutôt celui des « éducateurs ».
Un chien m’attaque au cou, je m’arrange pour qu’il soit abbatu. Légalement ou pas.
Alors pourquoi ne pas commencer à tuer les patous mal élevés ?
( Ou obliger les propriétaires à suivre des cours de dressage au moins ?! )
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Carrément mais on préfère rester dans l’obscurantisme.
Il y a agression et agression, non ?
J’j’ai l’impression que sur ce sujet, le simple fait de se faire aboyer dessus, ou le simple fait de devoir faire un détour, est intolérable. Ça m’est arrivé cette année en allant faire le pilier desmaison (dont au retour à la nuit) ça ne m’a pas traumatisé… Pour moi, ça fait partie intégrante de la montagne, comme un passage expo ou un risque d’avalanche…
C’est totalement différent de se faire mordre.
Par conte
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Je parle d’une morsure, et pas juste accidentelle.
Si une vache m’écrase le pied, car je n’ai pas fait attention, ce n’est pas vraiment de sa faute. Elles sont massives, ont des cornes et des sabots. Pareil si je leur fait peur.
Mais si une vache commence à me courir derrière et essayer de m’attaquer, je vais quand même me dire qu’il y a un problème ( heureusement c’est jamais arrivé ^^ ).
Pour en revenir aux chiens, s’ils ont un comportement excessivement agressif, ça résulte principalement de violences à leur égards. La plupart des chiens « dangereux », sont quand même adorables avec des enfants par exemple ? Juste une question d’éducation.
Alors si un berger n’est pas capable d’être assez éduqué pour éduquer un chien, lui apporter de l’attention et de l’amour … Ben qu’il se démerde sans ?! Ou qu’il change de travail …
Message sans polémique pour partager ma mésaventure et alerter sur la présence d’un troupeau de moutons et de son escorte (plusieurs bergers d’anatolie).
Haute-Maurienne : Refuge de Vallonbrun / Pierre aux Pieds.
Le troupeau navigue dans le secteur Plan des Glière - Lac de la Fesse jusque vers le 15 octobre (d’après le berger).
En plein été, le troupeau se trouverait plus à l’Est sous les Pointes du Chatelard.
Donc :
Tôt dimanche matin à l’occasion de cette sortie, je progresse sur le chemin de la Pierre aux Pieds.
Au détour d’une crête, j’aperçois le troupeau, 300m environ en amont du sentier. En quelques seconde les molosses me repèrent et fondent sur moi… pas de berger en vue.
Juste le temps d’empoigner mon piolet et de prendre la tangente - sans précipitation mais d’un pas décidé : 10 minutes de stress avec les chiens 1 m derrière moi toutes dents dehors.
Je progresse rapidement en m’éloignant du troupeau, je ne me laisse pas encercler ni intimider par les chiens.
Le berger finit pas apparaître, il rappelle ses chiens qui font demi-tour instantanément…ouf !
Je rejoins le berger, échange posé et courtois. Il m’assure qu’il sera à proximité des chiens et qu’il les surveillera à mon retour… ce qu’il fera quelques heures plus tard - merci à lui.
Attention quand même si vous randonnez dans le coin…
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Normal quoi…
Les tiennes ont eu chaud.
Bonsoir,
Hier, j’ai aussi rencontré des chiens, mais je trouve que ça s’est plutôt bien passé. Premier troupeau, de nombreux chiens, 1 patou et 2 bergers d’Anatolie se précipitent vers moi et s’approchent très près. Le patou aboie sans cesse. Un des bergers d’Anatolie vient contre moi, je lui propose ma main à renifler, après quelques secondes, il décide de me lécher les doigts, puis me laisse le caresser. Et hop, un d’apprivoisé, il faut juste faire attention de ne pas se faire piquer par les pointes de son collier anti-morsures de loups. Du coup, l’autre tourne autour, mais parait aussi gentil. Et le patou continuer d’aboyer un peu bêtement, mais en restant à quelques mètres. Le berger est plus loin, il rappelle le patou, mais celui-ci n’obéit pas. J’avance un peu, le patou me suit, je me méfie, je ne voudrais pas qu’il me morde par derrière. Un autre chien de berger se précipite vers moi. Le berger le rappelle, celui-ci obéit instantanément et retourne vers lui. j’avance, le patou finit par se lasser, tous les chiens retournent vers le berger, je passe juste à côté du troupeau (pas le choix, je suis sur une crête, le troupeau est d’un côté, et de l’autre il y a une clôture électrifiée pour interdire de s’approcher d’un 2ème troupeau).
Plus tard, je longe la clôture du 2ème troupeau, 3 patous s’approchent à quelques mètres de la clôture, et aboient pendant tout le temps où je suis là, et encore un peu plus quand je passe à un endroit où quelques chèvres et brebis se sont échappées. Mon approche les fait rentrer, elles passent facilement sous la clôture électrifiée. Par contre les patous ne font pas le moindre essai pour passer sous cette clôture.
Bernard
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Géniale expérience. J’en bave.
Bon c’est où les randos sans patous?
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En Suisse on n’en a encore quasiment pas…
Bien sûr que si il y en a un nombre non négligeable (cf carte ci-dessous) … sauf que tout est organisé à la suisse : Les lieus et les chiens sont répertoriés et chaque incident fait l’objet d’un suivi.
http://www.protectiondestroupeaux.ch/fr/faq-que-faire/pour-localiser-des-chiens-de-protection/
Voir par exemple le document https://www.newsd.admin.ch/newsd/message/attachments/35226.pdf section 7.2.3
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Je renchéri de l’excellent suisse mobile.
L’indication des chiens de troupeaux se trouve (avec celle des parcs nationaux) sous l’onglet Nature | Paysage
C’est pour moi les 35.- annuels les mieux investis que je puisse imaginer. C’est vraiment l’application incontournable pour randonner à pied/en vélo en suisse.
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Pour nous hier, pas de souci « patou » dans le vallon du Jas La Croix (fait partie du GR du tour de l’Oisans qui redescend depuis le col de l’Aup Martin sur Vallouise).
Le troupeau broutait sur les pentes de l’autre côté du torrent, plus bas que la cabane pastorale.
Vu un seul patou (femelle) très cool pas du tout avec le troupeau mais du côté de la cabane pastorale (où était sans doute le berger avec d’autres personnes).
Elle est venue nous observer, sans aboyer et en restant à distance, pendant qu’on faisait une petite pause. Heureusement qu’elle n’est pas venue se faire caresser car elle était assez sale 
La cabane démontable que le Parc des Écrins installe chaque année pour que le berger loge près du troupeau était bien en-dessous de la cabane pastorale alors que l’an dernier elle était pas mal au-dessus.
On a vu des restes d’un mouton (os et un peu de laine) non loin du sentier. On ne sait pas s’il y a eu une attaque.
Le seul souci c’est que par endroits le passage des moutons a bien abîmé le sentier : larges zones complètement en terre poussiéreuse, mais surtout quelques endroits en traversée qui se retrouvent bien en dévers où le grip des semelles est limite…
Pratique!
Malheureusement, dans une grosse partie les Alpes française, il y aurait une grosse tâche jaune/orange 