Il est évident que c’est très dur, humainement, pour l’encadrant. L’avocat est là, justement, pour le soutenir, y compris pour prendre des initiatives dont son client n’aurait pas lui-même l’idée.
Par exemple, rechercher de la documentation sur les bonnes pratiques, demander un avis à un prof de l’ENSA (on peut toujours, dans une expertise, faire appel à un « sachant », sorte d’expert privé qui va donner son avis à l’expert).