si, si
Ad lib…
En clair, encore une fois, en publiant sur C2C, tu publies sous licence CC by-nc-nd.
Tu donnes donc le droit d’utiliser tes oeuvres (sous certaines limites).
Droit d'auteur effacé dans les règles du topoguide
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Aller molotof
Arrete de faire ton gros faye ils ne remettrons pas pour autant ta photo de pantoufles 
(Pourtant j’aimais bien )
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Ton employeur connait ton pseudo ? Et tu avoues en plein jour une malhonnêteté ? J’en reste un peu flabbergasté. Enfin ça te regarde.
Oui c’est ça l’honnêteté 
C’est quoi flabbergasté ???
Ah ok : l’honnêteté c’est d’admettre ses malhonnêtetés
Et là, tu préfèrerais retourner en malhonnêteté en cachant tes méfaits (mais un peu tard, car tu as déjà tout dit) . Oulala ! Crise existentielle de noname123 sur C2C !!
J’en suis tout ébaubi !
https://www.linguee.fr/anglais-francais/traduction/flabbergasted.html
C’est pas esbaubi?
Mais Le Robert précise qu’effectivement que pour le verbe on peut dire s’esbaudir, synonyme de s’ébaudir.
Après tout la langue évolue, notamment par les inventions des auteurs.
En utilisant esbaubi (avec ta permission ) tu fais oeuvre de création et si ça se trouve, c’est même protégé de manière inaliénable !
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C’est pas trop le sujet mais tu peux faire une recherche sur « brèche François couloir de l’ancien »
J’ai confondu avec esbaudi
Définitions : s'ébaudir, s'esbaudir, être ébaudi, être esbaudi - Dictionnaire de français Larousse’%C3%A9gayer.
On s’esbaudit bien finalement ici même si ça risque d’en ébaubir quelques-uns.
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C’est bien parce que c’est toi que j’ai fait l’effort en général j’envoie c… ceux qui me suggèrent de faire une recherche.
Mais là la curiosité aidant…
https://www.camptocamp.org/outings/62789/fr/breche-francois-couloir-de-l-ancien-depuis-les-boussardes
Est-ce qu’IGN a suivi?
Chers amis amateurs d’altitude (c’est ce qui nous rassemble ici, n’est-ce pas ? Un genre de plus petit dénominateur commun, non ?) …
Chers amis, nous le savons tous : existent les sommets.
La question est : quel est leur sens ? Accessoirement : quel est le sens de s’efforcer, avec les peines que l’on connait, de monter dessus ?
Ailleurs, avant que cela ne se gâte, je m’étais efforcé de suggérer que le seul intérêt d’une cime était de suggérer l’abîme, et donc un chemin, une voie, un paysage, des ombres et des lumières, une histoire … etc.
Et bien là, sur un sommet, nous y sommes !
Très exactement ici :
Quelles admirables perspectives s’offrent à nous !
Quel imaginaire complexe et passionnant (enfin … passionnant : peut-être ?) se dévoile, la lutte du bien et du mal, pas moins : tout un Ramayana âpre et violent, comme un Wayang Kulit projetant ses ombres mouvantes sur un drap improbable … et toute cette sorte de choses.
…
… …
Mouais.
Le problème des sommets (l’alpiniste comme l’amoureux ne peuvent l’ignorer), c’est qu’il faut bien en descendre.
A moins peut-être, comme suggéré par d’autres : monter encore !
Il me tarde de suivre le passage en lévitation de notre estimée contributrice !
Je redis que ceci, hors du sujet du fil, mériterait laaaaaaargement quelque extraction.
Panni pwoblèm, Doudous : je m’en accomoderai(s) parfaitement !
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Sinon ceci, peut-être plus dans la ligne du fil :
Je suis très sensible à cet argument (que l’on pourrait baptiser : désir de furtivité), pour des raisons vraiment différentes à celles exprimées par notre ami noname 123, qui n’ont rien à voir avec une nécessité de dissimulation dirigée vers X ou Y.
On peut, me semble-t-il, récuser une sorte de « géolocalisation » (à la fois spatiale et temporelle !), telle que la réalise un CR de sortie.
Et même, ressentir vis à vis de cela un réel sentiment d’épouvante (Je m’en étais expliqué ailleurs), dont on peut rire, je le comprends. Mais qui est le mien.
Du coup, en réfléchissant très énormément, j’ai peut-être trouvé une solution : ne pas « rentrer de sortie » (selon la désopilante dénomination cédeucienne).
Qui le croira : c’est tout à fait épatant : nul besoin de revendiquer d’effacement, nulle trace résiduelle de quelque ordre que ce soit : une discrétion de violette, la légèreté d’une brume !
J’ai un peu de mal à comprendre comment on peut, connaissant les règles du jeu, rentrer dans la ronde … et puis, plus tard, selon sa fantaisie et humeur du moment, son employeur ou son épouse, sa maitresse ou ses relations, réclamer une exception à la règle que l’on a accepté.
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Si effectivement il y a un problème avec le droit d’auteur, avec la propriété intellectuelle, avec le droit ne général ; il n’y a jamais eu à ma connaissance de procédure juridique, d’action en justice pour que C2C se mette au pli et respecte les aspects cités qui feraient défaut.
Peut être que @MarieMo a raison ; alors pourquoi ne pas contraindre C2C à respecter le droit ??
Peut être parce que c’est long, compliqué, couteux ? Peut être parce qu’il n’y a tout simplement pas de problème ? Ou autre
Pas faute de volonté pourtant …
(Cf le fil aux 5000 posts).
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Merci @unCplus pour votre analyse ; vous avez lu et compris les débats.
Mais avant d’aller au pénal ou au civil (les coûts de procédure sont très raisonnables en France), pourquoi le site ne pourrait-il pas respecter le droit français ? Les responsables californiens de Creative Commons l’ont fait en précisant dans la Licence BY-NC-ND « certains droits comme les droits moraux, le droit des données personnelles et le droit à l’image sont susceptibles de limiter votre utilisation. »
Pourquoi supprimer la mention claire et nette du droit d’auteur dans les règles du topoguide le 21 mai 2022 à 13h50 ? Pourquoi supprimer la première réponse à ce fil le 25 février à 00h10, de @Gros ?
"Il ne saurait être d’auteur sans les droits associés, sur C2C comme ailleurs."
Pourquoi finalement republier cette réponse indiquant sans ambages que Camptocamp reconnaît le droit français, mais refuser de l’appliquer dans les faits ?
A l’audience, il n’y aura pas de pitre pour affirmer qu’une licence CC équivaut à la vente d’un Dacia Duster ou que seuls Shakespeare et Hugo sont concernés par le Code de la propriété intellectuelle.
Oui, mais c’est quoi le crime en fait ?
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Où avez-vous vu que le site aurait une obligation de mentionner le droit d’auteur des contributeurs ? Si un auteur veut protéger son oeuvre, c’est à lui de mentionner le droit qui s’applique à son oeuvre. Si ce droit ne correspond pas aux conditions du site, c’est à l’auteur de choisir de ne pas publier son oeuvre sur ce site.
Bernard
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Je ne suis en rien un spécialiste du droit et peu etre a tu raison
Mais ça me paraît un peu spécieux comme raisonnement
L’idéal serait qu’un vrai juriste nous eclaire ca ferait certainement tomber la pression sur ce sujet