Ah mais : j’adore ce fil !
Attention : digression !
Si la modération juge pertinent de caviarder ce message, je l’approuve et l’encourage à le faire. Ils ont tout mon soutien.
Et je leur adresse un salut amical.
Venant du bistrot, où désormais ce que l’on dit est classé, estimé, évalué, et bien rangé dans des cases pondérées … m’ennuyant quelque peu, je me promène et tombe sur cette disscuss’ !
Et je me régale, je jubile et, franchement : je me marre comme rarement.
Que voit-on ?
Une honorable et nouvelle contributrice s’exprimant dans un excellent Français, accessible et clair, avec un discours des plus urbain, toujours poli, cordial le plus souvent … et tellement lourd de menaces jamais exprimées !
Ce faisant : discourir sur un point de spécialité, avec la plus exquise civilité … et ne jamais, au grand jamais, extérioriser l’invraisemblable agressivité qui sous-tend l’ensemble des propos. Agressivité dont l’objet, bien sûr, reste toujours caché !
Ah mais, c’est parfait, c’est exquis, c’est souverainement délectable.
Et l’on s’épuise vraiment, à comprendre le but de l’affaire. Dans cette quête impossible, sans doute, réside la satisfaction quelque peu alambiquée de notre honorable contributrice.
…
Mais ce n’est pas le point qui motive mon intervention.
C’est ceci :
Que cela soit ou non le terme juridique approprié, peu me chaut, mais voir qualifiée « d’œuvre littéraire » la rédaction d’un topo est franchement hilarant au dernier degré. Les restes de Colette, Victor Hugo, Shakespeare, Borges, Yourcenar, Giono et tant d’autres (la liste est longue !), doivent s’en gondoler dans leur boîte, sans déc !
Mais quelle outrecuidance, quelle invraisemblable fatuité, vraiment, pousse certains d’entre nous, au motif formidable qu’ils ont rédigé trois lignes d’itinéraire à se croire dépositaire d’un quelconque droit « intellectuel » sur l’affaire !!
Pour moi qui suis désormais sur le site un spectateur goguenard mais toujours attentif, ce spectacle de la comédie humaine m’emplit d’une hilarité que je ne veux pas cacher.