Douleur atypique au doigt empêchant de grimper depuis un an

Bonjour à tous.

J’ai un un problème à l’articulation phalangienne distale du majeur depuis mai 2018.

Précision avant de décrire le problème : j’ai vu un médecin généraliste, un médecin du sport et un chirurgien orthopédique spécialiste des membres supérieurs par deux fois et passé un IRM, aucun diagnostic et aucune possibilité d’amélioration jusque là.

J’ai également décrit le problème à plusieurs grimpeurs expérimentés de ma salle et aucun n’a eu cette expérience ou une moindre idée du souci.

Je pratique le bloc en salle depuis 3 ans. Une discipline que j’adore et qui a changé ma vie.
L’année dernière, en grimpant, je me suis rendu compte que j’avais un peu mal à cette articulation. Il n’y a jamais eu de douleur soudaine ou de bruit chelou. Je me suis juste rendu compte à un moment, lors de certaines prises, d’une douleur progressive. Je n’y ai pas trop fait attention et j’ai continué à grimper, mais la douleur s’est accrue et j’ai décidé d’arrêter de grimper en juin.

Je vais essayer de décrire le problème du mieux possible, mais c’est un peu compliqué car il s’exprime de plusieurs façons.

1) La douleur :

La douleur s'exprimait dans une seule et unique configuration: Pour qu'elle apparaisse, il faut qu'il y ait une pression exactement sur l'articulation du côté interne du doigt (côté paume, quoi) ET que le doigt soit tendu.

Exemple en image:

Si j’appuie en direction de la flèche rouge en gardant le doigt tendu : j’ai mal dans l’articulation.
Si j’appuie exactement au même endroit, mais en ayant le doigt fléchi, il n’y absolument aucune douleur, même en appuyant fort.

Au niveau de la grimpe, les prises provoquant la douleur sont les prises plates ou rondes, c’est à dire les prises ou les doigts sont appuyés de tout leur long sur celle-ci, en étant tendus ou très peu pliés:

Ces types de prises me provoquaient une douleur telle que je ne pouvais pas les tenir.

Également les prises pincées, pour peu que le majeur soit tendu et que l’articulation soit contre la prise.

En revanche, pas de problème avec les arquées (allez, 5-10% de douleur quand même disons, au moment où la douleur était la plus forte)

Dans toute autre configuration, il n’y avait absolument aucune douleur.
Dans ma vie de tous les jours, la douleur ne s’exprime jamais et je pourrais vivre le reste de ma vie sans me rendre compte qu’il y a un problème à ce niveau.

2) Le "clac"

Environ deux semaines après le début de la douleur, un « clac » est apparu dans l’articulation: un son très audible se fait entendre au niveau de l’articulation lorsque je plie le doigt.

Ce « clac » n’est pas systématique : pour qu’il soit, il faut au préalable qu’il y ait eu une pression, même très légère (appuyer sur une touche de clavier par exemple) n’importe où sur la face intérieure de la dernière phalange et il faut que le doigt soit tendu.
Une fois que j’ai appuyé quelque part avec mon doigt (et dans la vie de tous les jours, ça arrive souvent), si je plie celui-ci, une sensation de frottement désagréable se fait sentir, accompagnée d’un « clac » audible. Cependant, replier et déplier le doigt successivement plusieurs fois ne provoque ni sensation de frottement, ni « clac ». Pour que ces deux phénomènes apparaissent, il faut obligatoirement que j’aie appuyé quelque part avec mon doigt au préalable.

Ce qui semble se passer, c’est qu’appuyer sur la dernière phalange (ou l’articulation) de mon doigt tendu semble déplacer un truc. Lorsque ce truc est déplacé, plier le doigt le remet à sa place dans un « clac ». Une fois que le truc est remis en place, je peux déplier et replier mon doigt autant de fois que je veux, il n’y aura ni frottement ni clac.

Relation entre la douleur et le "clac"

Si le "clac" est contextuel par le besoin d'avoir au préalable appuyé même légèrement quelque part avec le bout de mon doigt (ou directement sur l'articulation) avec le doigt tendu, la douleur elle se faisait sentir dès que je prenais une prise d'escalade sans qu'il n'y ait besoin de quoi que ce soit de préliminaire. Elle a persisté et décru très lentement au fil des mois. Après environ 5 ou 6 mois, elle avait beaucoup décru, mais le "clac" lui est resté identique au tout début et semble très bien installé.

Dans la durée (~7-8 mois après le début des symptômes)

7 mois après mon arrêt de l'escalade et sans avoir jamais sollicité mon doigt de telle sorte que ça provoque la douleur, j'ai réessayé de grimper (fin janvier). Le "clac" était donc toujours là, mais la douleur absente. À force de grimper, j'ai senti la douleur revenir peu à peu, mais ça ne semblait pas être si gênant que ça. Jai essayé d'éviter les prises incriminantes. 1 mois après, suite à une bonne séance, en rentant chez moi le soir j'ai eu des douleurs fortes et "nouvelles" dans l'articulation. Là encore, pas évident à expliquer, je vais essayer d'être précis.

Lorsque j’appuyais quelque part avec mon doigt (toujours même légèrement) et que ça mettait, supposémment, le « truc » de travers dans mon articulation qui puisse provoquer le « clac », si le « clac » n’apparaissait pas, il arrivait qu’en dépliant le doigt (ça c’est nouveau !), pendant le dépliage, je sente une forte et très désagréable sensation de frottement (peut-être légèrement latéralisée) dans l’articulation, accompagné d’une vive douleur. Le genre de douleur qui te fait cracher un juron.

Une fois que je repliais le doigt et que le « clac » s’exprimait audiblement, la douleur disparaissait totalement et je pouvais déplier le doigt sans souci.

Ce nouveau phénomène est donc apparu assez rapidement, et a décru complètement également en l’espace de deux jours où j’ai décidé de reprendre la grimpe. Ce phénomène de frottement et douleur vive au dépliage du doigt est alors revenu, j’ai donc arrêté définitivement de grimper (fin février)

Je pratique la musculation à domicile, et ce nouveau phénomène est apparu très légèrement suite à certaines sollicitations de mon articulation : tenir fermement des poignées de kettlebell ou haltères ou une barre de traction. Ça a duré très peu longtemps (quelques minutes ?) et ne l’a pas refait depuis des jours et ne se manieste pas dans ma vie de tous les jours non plus.

Et maintenant ?

Le premier spécialiste de la main que j'ai vu en septembre et novembre et n'a aucune idée de quel est le problème. Je l'ai vu avant et après avoir fait l'IRM et il ne sait pas quoi me dire.

J’ai rendez-vous avec un autre spécialiste de la main en mai (normalement…), et je vais apporter les résultats vierges de mon IRM.

Je suis très abattu : comme dit en début de message, j’adore la grimpe, cette discipline a littéralement changé ma vie pour le mieux. J’y allais tout le temps et lorsque je ne grimpais pas, j’ouvrais des blocs.
C’était devenu une passion et j’avais des projets en tête.
Depuis un an et sans aucune amélioration, je suis complètement privé de cette passion à cause d’une pathologie qui n’a aucune incidence dans ma vie de tous les jours ou les autres activités que je pratique, j’en viens presque à croire qu’elle a été faite sur mesure…

Une partie de moi à envie de lâcher l’affaire et de passer à autre chose, mais une autre a envie de poursuivre la quête de guérison même si ça risque de ressembler à de l’errance médicale.

Avez-vous des spécialistes de la main à me conseiller, ou que ce soit en france (je suis dans la vienne) ?
Avez-vous déjà eu une expérience directe ou indirecte de ce genre de douleur ?
Avez-vous éventuellement des idées de pistes à creuser ?

J’ai aucune idée de ce que c’est, .
As-tu essayé de grimper sans utiliser ce doigt? Etant donné que le problème est difficile à régler ça peut te permettre de faire un peu de grimpe jusqu’à trouver des solutions pour guérir. Et après tout Tommy Caldwell s’est coupé l’index, ça l’a pas empêché de gravir the dawn wall (bon ok c’est un peu extrême cet exemple). C’est sur c’est du paillatif mais si la grimpe est à ce point une passion pour toi ça peut valoir le coup de tenter je pense.

Merci pour ta réponse :slight_smile:

Oui, j’ai essayé d’alléger au maximum ce doigt sur les prises mais c’est compliqué, contraignant et frustrant.

J’ai évidemment aucune idée de ce qui se passe dans mon doigt, mais ce qui me vient en tête, ce serait un défaut de cicatrisation, un nodule ou quelque chose comme ça suite à une blessure « silencieuse ». Quelque chose qui ferait peut-être dévier le tendon occasionnellement et créerait une pression supplémentaire douloureuse quand j’appuie sur l’articulation.

Enfin bon, ce que mon esprit de non-médecin imagine n’a que peu d’importance :man_shrugging:t6:

aie, vraiment bizarre oui.
Je ne suis pas dans le médical mais les 2 choses que je ferais:

  1. osteo / chiropracteur / acupuncteur dans l’idée que cela ne vient pas forcément du doigt lui même. Les blessures, c’est souvent bien complexe.
  2. Strap le majeur seul (3 phalanges) ainsi que l’annulaire seul (3 phalanges) puis les 2 doigts ensemble. (ils travaillent sur le même tendon dans l’avant bras)
    en espérant que ça t’aide

Salut !

Je ne l’écarte pas ces pistes, mais je vais explorer (épuiser ?) la médecine conventionnelle en premier pour voir où ça me mène. :slight_smile:

Pour le strappage j’ai déjà essayé ce que tu proposes, c’était une bonne idée mais ça n’a hélas rien changé à l’affaire. :frowning:

Ils ont écartés le syndrome du doigt à ressaut ? J’ai une amie qui vient d’avoir ça

Je ne sais plus s’il m’a parlé de doigt à resaut. Il me semble que oui, et si c’était le cas alors il a écarté le diagnostic puisque sur les deux séances que j’ai vu il n’avait vraiment aucune idée du problème. Évidemment, ce qui bloque est aussi l’absence de pathologie visible à l’IRM. Si ça se trouve c’est une pathologie simple à traiter, mais on ne peut rien faire si on ne sait pas exactement ce que c’est et où ça se trouve :cry:

Je serais prêt à avaler du kilomètre pour aller voir un médecin qui a une âme de détective :sweat:

Electromyogramme? Terminaison nerveuse foirée?

Le doigt à ressaut me semble être une bonne piste. Car l’irm peut etre normale au début en l’absence de nodule tendineux. Une échographie dynamique serait un bon examen car elle permettrait de verifier le bon passage des flechisseurs dans les poulies. D’ailleurs les poulies sont par expérience plus facile à voir en écho qu’en irm.

Y a til des periodes dans la journée où la douleur ou le crac prédomine? Par exemple est-ce plus présent le matin?
Bon courage

Les terminaisons nerveuses digitales ne sont pas explorables en EMG malheureusement.

Des que j’ai lu votre dossier, j’ai de suite penser à un doigt à ressaut en raison du CLAC.

Parfois on peut avoir un ressaut sans veritable kyste de poulie cela arrive. L’échographie est aussi un excellent examen car elle permet de comparer la taille des poulies de la main droite et gauche afin de rechercher un épaississement de celle ci alors que l’irm n’est pas comparatif.

Pour avoir eu à prendre en charge pas mal de doigt à ressaut, il m’est arrivé d’avoir une écho strictement normale.

Le traitement consiste dans un premier temps à une infiltration échoguidée de la zone entre la poulie et le tendon.

En cas d’echec on peut faire une petite dissection de poulie à l’aiguille. Cette technique est relativement récente. La chirurgie s’effectue uniquement en cas de kyste important et d’echec du traitement médical.
Dans tout les cas il vous faudra attendre la fin du confinement avant d’envisager une infiltration car les corticoïdes sont contre indiqué en cette période de covid.
Bon courage à vous
Dr jérémie Bordes

1 Like

Bonjour, merci beaucoup pour vos réponses !

Bonjour, l’intensité du « crac » est un peu aléatoire mais je ne sais pas quels critères l’amplifient ou non. Dans tous les cas, pour qu’il y ait le bruit et la gêne, il faut que j’aie appuyé avec mon doigt quelque part au préalable.

Lorsque le « crac » et la gêne se manifestent, il y a un soulagement immédiat, comme si quelque chose se remettait en place. Ensuite, je peux plier/déplier le doigt 50 fois de suite, il n’y aura ni bruit ni gêne.

La douleur à la pression a disparu depuis que je ne grimpe plus (comme lors de ma grande pause de 7 mois, avant qu’elle revienne lors de ma courte reprise), et la « nouvelle » douleur assez forte qui survenait uniquement lorsque je dépliais le doigt ne se fait pour le moment pas sentir, même si elle est re-survenue momentanément et faibelment suite à une forte sollicitation de mes doigts lors de la prise de barre de tractions et poignées de kettlebell.

Donc dans la vie de tous les jours, aucun problème à part le « crac » occasionnel que je finis par ignorer, mais si je reprends la grimpe, c’est sûr que la douleur à la pression et la douleur au dépliage vont revenir rapidement (si je m’en réfère à mon expérience récente).

Un médecin du sport que j’avais également vu m’avait fait une écho du doigt et trouvé ma poulie « peut-être un peu épaisse » (mais sans avoir comparé avec l’autre doigt) et envisageait une infiltration pour voir.
Le chirurgien orthopédique que j’ai vu par la suite n’a pas semblé convaincu par cette piste.

Ne pas faire d’échographie dynamique et surtout comparative n’est pas un gage de qualité de l’examen…
De plus Par expérience j’ai eu pas mal de travailleurs manuels avec d’authentiques doigts à ressaut sans hypertrophie de poulie. L’infiltration les a tous guéris…

2 Likes

Rebonjour à tous.

Toujours pas d’évolution à propos de mon doigt, toujours impossibilité de grimper…
Une nouvelle échographie n’a rien montré et une infiltration n’a eu absolument aucun effet.

J’ai fait une séance d’essai de grimpe en salle il y a quelques semaines, et après une demi heure la douloureuse douleur au dépliage du doigt avec sensation désagréable a commencé à survenir.

Comme je suis je l’avoue complètement déprimé de ne plus pouvoir grimper depuis plus d’un an, bien que je continue à chercher un diagnostic, j’aimerais trouver un moyen de pouvoir grimper quand même.

Je ne vois pas d’autre alternative que d’empêcher mon majeur de prendre des prises, peut-être en immobilisant mon majeur d’une façon ou d’une autre.

Je ne sais pas si c’est viable : sans majeur, les efforts seront répartis sur les autres doigts : risque de blessures ?

J’aurai également moins de force de préhension et une plus grande différence de capacités entre la main droite et la main gauche : risques de blessures, de « déséquilibre » (le bras gauche va moins travailler) ?

De plus, comment immobiliser ce doigt en évitant des risques de blessures ? Attelle ?

Que pensez-vous de cette idée pour essayer de regrimper sans douleurs et avez-vous des conseils à me donner ?

C’est sûr que si tu n’utilises pas un doigt, les autres vont « compenser ». Après, tout dépend de comment tu reprends.
Si tu forces comme un bourrin dès la première séance, il y a de très fortes chances pour que ça se passe mal (comme avec n’importe quelle personne qui commence ou reprend l’escalade après un arrêt prolongé, qu’elle ait 10, 9 ou 5 doigts).
Mais si tu reprends progressivement pour laisser le temps aux autres doigts de s’adapter, pas de raison pour que ça se passe mal. Le tout étant de bien écouter son corps (et de ne pas forcer, persister quand il y a douleur).

Pour essayer de palier au prb, si tu n’as mal qu’en appuyant au niveau de l’articulation, est-ce que le fait de mettre 1 bague en mousse de chaque côté pour empêcher que la prise appuie juste sur l’articulation pourrait fonctionner ? C’est pas top au niveau préhension, mais toujours moins contraignant que de ne pas utiliser du tout le doigt.
image

Je n’ai pas tout lu, mais :

  • Essaye de consulter un bon osteo, et si pas de solutions un ou deux autres. Peut être essayer de trouver un osteo qui s’occupe de grimpeurs.

  • Essaye avec un physio (kiné)

  • Consulte un médecin du sport qui s’occupe de grimpeurs. Il y a des médecins du sport qui s’occupent les athlètes des équipes de ski, de grimpe, etc…

  • Consulte un chirurgien renommé et spécialiste de la main. Logiquement quelqu’un qui ne fait que des mains devrait être plus compétent que quelqu’un qui fait des mains, des bras, des épaules, etc…

Merci pour vos réponses !

En fait, après ma dernière séance d’essai, même plus besoin qu’une prise appuie sur l’intérieur de l’articulation pour générer des douleurs.
Enfin y a deux douleurs différentes et bien distinctes.
Le simple fait de grimper sans appuyer sur l’intérieur de l’articulation exerce des contraintes sur l’ensemble du doigt, et je pense qu’il y a un phénomène de léger gonflement des tissus suite à ces contraintes, et que ce gonflement accentue (ou révèle) l’effet mécanique qui crée la très forte douleur et l’espèce de claquement ou frottement au dépliage du doigt.

Car comme je le disais, ce phénomène apparaît très rapidement (j’ai dit 30 minutes, mais plus probablement 20 ou moins selon les contraintes exercées sur le doigt), et je ne l’ai pas précisé mais ledit phénomène peut disparaître en quelques minutes seulement après la séance.
Plus je fais des efforts, et plus la douleur sera importante, et plus elle mettra du temps à partir (quand j’ai regrimpé en janvier et qu’elle est apparue, elle a mis entre 24 et 48h à disparaître).

Également, ça n’est pas très facile à situer précisément, mais j’ai finalement tendance à situer la douleur (celle avec le « claquement ») non pas sur le dessous de l’articulation (là où il y a la flèche sur ton dessin), mais plutôt vers le dessus, dans cette zone que j’ai entouré en rouge :
image
Pas nécessairement au niveau du tendon mais peut-être encore un peu plus à l’intérieur de l’articulation. Difficile d’être plus précis sans avoir les yeux de superman… :frowning:

Merci pour tes conseils :slight_smile:
Je ne suis fermé à rien mais je m’oriente en premier lieu vers la médecine conventionnelle. J’ai déjà vu médecins du sport et chirurgiens orthopédistes spécialistes des mains, ainsi que passé IRM, radio, échographies. J’ai un rendez-vous avec un autre chirurgien orthopédiste (le 3ème) en septembre.
Je n’ai pas vu de kiné, mais je suppose que sans avoir de diagnostic qui lui permette de savoir quoi faire, ça risque d’être compliqué… :man_shrugging:

Salut,

Je pense que le job d’un kiné, c’est entre autre d’aider des personnes avec des problèmes similaires au tien.

Un ostéo / physio peut aussi faire des miracles au niveau des douleurs -> Suite à un bête accident, je m’étais blessé à l’épaule. On m’a dit ( médecin ) qu’il fallait juste attendre, que ça allait passer. C’était plutôt vrai. Mais une douleur a persisté peut être une année. Un jour, je suis allé voir une physio. Et depuis, plus aucune douleur.

Et je n’avais pas de diagnostic particulier ( choc violent à l’épaule quoi ^^ ).

C’est de la médecine plutôt conventionnelle je trouve … En tous cas, c’est efficace ! ( Bon, sûrement pas pour tout … Mais même, ça va rarement empirer une douleur )).

La médecine conventionnelle est quand même limitée … ^^

De mon côté, c’est même ostéo avant d’aller voir un médecin pour tout ce qui est entorse, problème d’articulation.
Après chacun fait bien comme il veut, mais pour moi, l’ostéopathie et la kinésithérapie c’est rentré dans ma médecine conventionnelle.

1 Like

Maintenant que j’y pense, j’avais en fait discuté de mon problème avec un des grimpeurs de ma salle qui était justement ostéopathe. Il m’a posé des questions et tout, mais ne voyait pas du tout quel pouvait être le problème (et par extension comment m’aider).

Bonjour, je suis tombée par hasard sur votre annonce. J’aimerai tout d’abord vous demander si vous allez mieux? et savoir si depuis le temps vous avez pu trouver ce qui était à l’origine de vos douleurs ? ça peut paraitre fou mais j’ai exactement la même chose depuis une petite semaine, qui est apparu du jour au lendemain. Je serai donc vachement curieuse de connaitre votre parcours. Merci d’avance pour votre réponse.