???
C’est un plat de restaurant traditionnel !
Discussion à propos du Refuge du Soreiller
Posté en tant qu’invité par cris19:
[quote=« Michmuch38, id: 1051140, post:61, topic:101849 »]
???
C’est un plat de restaurant traditionnel ![/quote]
Exact et Mail précise Gîte 1400 alt :lol: . Couvert seul en plus sur la table avec verre en pied. :rolleyes: Et voilà encore la preuve de la confusion entre un gîte, une auberge et un refuge d’altitude accessible qu’à pieds !!! . La salade verte, le cresson sont des denrées périssables rapidement à moins de les faire pousser dans la rocaille avec peu de terre, voire sans (si tu as le truc, dis le nous), je ne vois pas comment les servir chaque soir au refuge. De plus, les potagers sont interdits, il me semble, dans le parc des Ecrins.
« à quoi on doit s’attendre » : le on, article indéfini, c’est qui ? Toi ?
Mouais, bof. De l’eau, des légumes, des sucres rapides, de l’alcool ???
C’est pas ce que j’appelle un repas adapté aux sportifs, même si c’était sans doute délicieux.
Posté en tant qu’invité par Carduelis carduelis:
sinon y’a le Fouquet’s sur les Champs Élysées.
Mais j’connais pas l’altitude exacte.
[quote=« Dibona, id: 1051151, post:63, topic:101849 »][/quote]
Oui, mais entre le moment où tu dines (19h00-20h00) et le moment où tu vas mobiliser tes réserves (5h00-10h en gros), il s’écoule 9 à 12 heures… Alors que t’ai mangé des glucides lents ou rapides, des graisses, des protéines la veille… c’est le stock de glycogène (polymère, macromolécule glucidique composée de glucose) de ton foie et de tes muscles qui va être utile lors de ta course, puis éventuellement des protéines et des graisses si t’as plus de glycogène.
Le repas de la veille n’est pas fondamental si tu t’alimentes correctement le reste du temps ou si t’es pas en course depuis plusieurs jours et déjà fatigué. Le petit-déj sera presque plus utile…
Posté en tant qu’invité par Cris19:
[quote=« Dibona, id: 1051151, post:63, topic:101849 »]
Mouais, bof. De l’eau, des légumes, des sucres rapides, de l’alcool ???
C’est pas ce que j’appelle un repas adapté aux sportifs, même si c’était sans doute délicieux.[/quote]
Et les saucisses, plus les « nouilles » dedans. Miam. Un plat complet. Le Génepi, c’est pour digérer. Le dessert aucun souvenir car je ne suis pas du genre « sucrée ».
[quote=« cris19, id: 1051150, post:62, topic:101849 »]Exact et Mail précise Gîte 1400 alt :lol: . Couvert seul en plus sur la table avec verre en pied. :rolleyes: Et voilà encore la preuve de la confusion entre un gîte, une auberge et un refuge d’altitude accessible qu’à pieds !!! . La salade verte, le cresson sont des denrées périssables rapidement à moins de les faire pousser dans la rocaille avec peu de terre, voire sans (si tu as le truc, dis le nous), je ne vois pas comment les servir chaque soir au refuge. De plus, les potagers sont interdits, il me semble, dans le parc des Ecrins.
« à quoi on doit s’attendre » : le on, article indéfini, c’est qui ? Toi ?[/quote]
Bof, Bof Bof
Oublie la technologie de l’héliportage et réfléchit un peu sur les moyens de transport existant auparavant en montagne :
Mettons au goût du jour la mule/mulet pour bénéficier chaque jour de l’été de produits frais dans la plupart des refuges de montagne.
Une petite comparaison tirée de ce blog
L’hélicoptère transporte la charge de 17 mules, mais utilise la puissance de sortie de 540 !
Y a pas que la bouffe dans la vie !
Actuellement au sein de l’équipe du refuge du Couvercle, il y a une vrai top model, grande, toute jeune, éminemment sympathique.
A moins qu’il eut s’agit d’une hallucination causée par l’oxygène rarifié …
Posté en tant qu’invité par Baloofix:
[quote=« Michmuch38, id: 1051192, post:68, topic:101849 »]Y a pas que la bouffe dans la vie !
Actuellement au sein de l’équipe du refuge du Couvercle, il y a une vrai top model, grande, toute jeune, éminemment sympathique.[/quote]
Miam miam
[quote=« mai, id: 1051122, post:57, topic:101849 »]Pourquoi à ton avis les gardiens ne décollent pas de leur job?
Pour le plaisir d’être en montagne?[/quote]
Oui, bien sur, pour le plaisir d’être et de travailler en montagne dans un cadre naturel.
Aussi, tu parle de la partie restauration, mais ce n’est qu’une infime partie du travaille, même si nous sommes souvent jugés sur ce point important.
La demande et les attentes sont difficile à cerner.
Entre le « sportif diététicien », le « randonneur culinaire », celui qui veut découvrir des spécialités régionnales … celui qui a des allergies, celui qui n’aime pas ci…le menu ne pourra contenter tout le monde à moins de faire un repas à la carte varié, peut-être? mais est-ce techniquement possible avec les moyens et les savoir-faire que les gardiens disposent ?
Je ne pense pas qu’il faille retrouver ce qui existe en vallée dans un refuge.
Il faut créer une rupture, un dépaysement et essayer de recréer des liens amicaux autour d’une bonne table de 15 ou plus, d’un bon verre de vin , ça détend et d’une « bonne bouffe » copieuse .
Si c’est pour retrouver l’ambiance « place Grenette » (à Grenoble centre), chacun sur sa table sans échanger avec les autres, autant rester en ville.
Le « refuge » des Allières à 1450m, se situe à 20mn du parking et est accessible en 4x4.
Rien à voir avec le fonctionnement d’un refuge de haute montagne Mai.
Minçalors, on a 2 Olivier C .
ça fait un de trop
Va falloir que vous regliez ça entre vous, Cow- boys .
ça ne date pas d’hier, et il y a peu il y en avait 3…
L’autre, c’est Olivier-C plus bavard que moi certes, mais arrivé plus récemment!
Et je m’en f…
[quote=« mai, id: 1051122, post:57, topic:101849 »]
c’est le travail du gardien et ça correspond à une partie de sa rémunération.
je ne suis pas convaincu!
Pourquoi à ton avis les gardiens ne décollent pas de leur job?
Pour le plaisir d’être en montagne?
Je pense que ça reste un bon business, alors de grâce qu’ils fassent un effort
pour servir un repas décent et en rapport avec le tarif demandé.
A vouloir grossir la marge commerciale au détriment de la qualité/quantité du repas on en arrive à des réclamations sur le forum C2C.[/quote]
Insinuer que les gardiens seraient là pour le business avant tout est à mon avis une erreur dans la majeure partie des cas. Il faudrait certainement quelques témoignages de gardiens pour illustrer ce point, mais ça ne correspond pas du tout à l’image que j’en ai, construite au travers de la fréquentation de nombreux refuges dans les Alpes ou les Pyrénées. Pour moi, c’est plutôt une affaire de passion. Il y a des métiers bien plus faciles et lucratifs en plaine.
et il y a Micol, la gardienne du refuge Monzino, et Delphine, la gardienne du refuge de Leschaux.
Super belles et super sympas!!!
Et les prestations dans les deux refuges top de chez top. Ce qui a un mérite particulier dans le cas de Leschaux. By the way… porte-lui un bon bouquin la prochaine fois que vous montez à Leschaux. Elle adore lire.
voilà qui est une bonne idée! Plus silencieux que l’hélico, et le muletier pourrait encore se faire du business en portant les sacs-à-dos ou des enfants à dos de mule.
[quote=« OlivierC, id: 1051237, post:72, topic:101849 »]ça ne date pas d’hier, et il y a peu il y en avait 3…
L’autre, c’est Olivier-C plus bavard que moi certes, mais arrivé plus récemment!
Et je m’en f…[/quote]
ben oué j’ai repris mon nom complet
moi aussi je m’enf…
au fait, moi j’aime bien le Soreiller, encore plus en juin ou en sept
amicalement
hé, hé, hé
en regardant le JT 13h de ce jour vendredi 13, ce sujet a été abordé et j’ai vu une gardienne de refuge arriver avec sa mule à 2500 m d’altitude puis
proposer aux randonneurs des diots accompagnés de légumes frais!
il s’agit du refuge du fond des fours tenu par Emmanuelle Couzon
Posté en tant qu’invité par cris19:
[quote=mai|Bof, Bof Bof
Oublie la technologie de l’héliportage et réfléchit un peu sur les moyens de transport existant auparavant en montagne :
Mettons au goût du jour la mule/mulet pour bénéficier chaque jour de l’été de produits frais dans la plupart des refuges de montagne.[/quote]
Fichtre, la rapidité de tes réponses, illustrées de photos et accompagnées de liens, montre que ce sujet te tiens à cœur depuis un bail. Serais-tu muletier ? Alors dans ce cas, il me semblerait judicieux d’effectuer une étude de marché auprès des gardiens pour connaître leur position sur l’utilisation régulière des mules, le coût de l’emploi de produits frais dans la préparation de la cuisine, le coût d’un service à l’assiette similaire à un restaurant de la plaine et surtout les spécificités d’un refuge de moyenne et haute altitude en termes de ressources (eau, énergie, facilité d’accès, etc.) et gestion des déchets. L’héliportage, 1 à 2 fois par saison, ne sert que pour le matériel et les denrées non périssables et lourdes (bière, sodas, boîtes de conserve, riz, etc). Le pain et autres aliments sont transportés par d’autres moyens, techniques et le plus souvent humains, jusqu’au refuge.
Et comme tu le soulignes dans le post précédent, arrivée le jour même sur une mûle, la gardienne vous propose des diots et des légumes frais. 5 jours après, quel aurait été le menu ? Franchement, un gardien a d’autres priorités que d’aller chercher des matières premières fraîches tous les 2/3 jours et de passer son temps en cuisine !!! Et là le refuge est à 2500m. Alors pour ceux à 3 500 ?!
Et pis à l’instar d’autres ici, la qualité de l’accueil est aussi importante que la nourriture. Je préfère un(e) gardien(ne) qui me garantisse une sécurité par ses conseils avisés et sa disponibilité, qui m’offre des sanitaires propres, une literie saine, des sabots de petites pointures (36 siouplait), qui gère la répartition de ses hôtes dans les dortoirs selon leur heure de réveil, … que des plats servis à l’assiette que je peux trouver en plaine. Un bon plat avec des matières premières correctes et en quantité suffisante sur le plan nutritionnel me suffit. Et la déco de l’assiette, j’m’en moque car de toute façon en refuge, la convivialité réside aussi dans le partage de la marmite.
En fait, le fonds du problème est qu’attendons nous comme prestations d’un(e) gardienn(e) de refuge qui justifie les griefs prononcés à l’égard de la gardienne du refuge du Soreiller.
Il me semble que le sujet du fil est la qualité/quantité de la bouffe en regard de ce qui est demandé soit 21 € pour la demi pension.
Posté en tant qu’invité par cris19:
[quote=« mai, id: 1051332, post:78, topic:101849 »]
Il me semble que le sujet du fil est la qualité/quantité de la bouffe en regard de ce qui est demandé soit 21 € pour la demi pension.[/quote]
Réponse dans le premier post
[quote="@lpinist, id: 1048236, post:1, topic:101849"]Salut,
Revenant de plusieurs jours dans les Ecrins, j’ai eu l’occasion de tester quelques refuges excellents (Glacier Blanc, Ecrins, Pelvoux, Chatelleret, Lavey) que je vous recommande chaudement. L’accueil y est franc, les portions correctes à gargantuesques, les conseils pour les courses avisés et j’en passe. Allez-y !!
Concernant le Soreiller, c’est très différent :
Constat
- La portion de soupe est calculé au dl près. Le plat principal est inconsistant (sauce tomate = jus dilué avec l’équivalent de 1 steack haché pour 8), et le dessert ne vaut guère mieux (2 cuillères à soupe de compote…bofbof).
- Le petit déj est une vaste blague dont la décence m’interdit de parler ici en des termes courtois.
- [b]Si vous êtes nombreux en hors sac, prévoyer de vous serrer dans les 4m² de la salle prévue à cet effet.
- En demi pension, si vous êtes plus de 25 (sic), vous aurez le déplaisir d’être victime d’une organisation chaotique peu professionnelle. [/b]
Questions :
- Le Soreiller est-il encore un refuge (dans lequel on s’attend à manger suffisamment pour (re)faire le plein d’énergie), ou un attrape touriste tirant profit de sa proximité avec la vallée et de la notoriété de la Dibo ?
- Est-ce normal de devoir compléter son repas (immédiatement après avoir ingurgité le repas standard), alors même qu’on est un petit gabarit peu mangeur (que dire des mecs qui font 150% de mon poids, et il y en a) ?
Conclusion :
- La gardienne M., que l’on voit partout, et qui gère avec tant d’attention son image, devrait peut être revenir aux fondamentaux. Dixit mon pote : « il y en a un, qui, s’il revenait, ne serait sans doute pas content de la tournure business que cela a pris ; parce que lui, c’était un vrai. »
- Les étrangers (grimpeurs ou pas, allemand et italiens pour la plupart) que l’on a cotoyés, vont garder une image bien pingre de l’hospitalité montagnarde en Oisans.
-
Si vous entreprenez d’aller grimper à la Dibona, réservez en hors-sac, c’est encore ce qu’il y a de moins pire.
Peut-être suis-je tombé sur le mauvais jour ?? :lol:[/quote]
La qualité d’ un refuge ne se résume pas qu’à ses prestations culinaires. Je pense que nos attentes et besoins sont différents par rapport à un refuge. A ce sujet, je te conseille de vérifier le sens du mot.