Honnêêtement, tes propos me semblaient contradictoires. Merci quand même pour la clarification.
PS : pourrais tu stp contribuer le point GPS de l’attaque de la voie sur CE document ?
Honnêêtement, tes propos me semblaient contradictoires. Merci quand même pour la clarification.
PS : pourrais tu stp contribuer le point GPS de l’attaque de la voie sur CE document ?
Je me souviens de départ de voie « sur une dalle » qui me laissait bien perplexe, vu qu’il y avait des dalles partout.
Ou encore au Caroux, « derrière un chêne », alors qu’il y avait des chênes partout.
Certains ne sont pas très doués pour faire des topos, ils décrivent simplement sans avoir la capacité à se mettre dans la tête de qq un qui vient pour la 1ère fois. Le point GPS ou mieux l’altitude clarifie beaucoup.
Les spéléos se sont mis depuis lgtps au GPS, et sans celui ci de nombreuses cavités sont absolument introuvables !
Le point de l’attaque est bon, c’est lui que j’ai utilisé
J’ai ajouté ma trace GPS, au cas où.
Bizarre, je pensais que le GPS ne passait pas sous terre
Pour trouver l’entrée de leur aven, bien-sûr.
Ds le sud, ds les garrigues, c’est souvent impossible sans cet outil !
Il passe sous les garrigues ? J’ai des doutes
Il passe sous les arbres. On arrive tjrs à trouver un endroit d’où on voit le ciel, qd-même…
Certains ne sont pas très doués pour les lire.
Plus sérieusement, je dois dire que ce principe de marquer les coordonnées GPS du pieds des voies me laisse dubitatif : C’est vrai que c’est plus simple, et que ça peut faire gagner du temps. Exceptionnellement, ça peut même sauver une journée. D’un autre coté, à force d’assister les pratiquants, on va finir par indiquer ou poser les pieds et les mains et ou trouver les prises. La recherche de l’itinéraire et la compréhension du terrain font aussi partie de l’activité.
C’est certain que j’apprécierais d’avoir les coordonnées d’un couloir lorsque je dois le trouver dans la nuit. Mais à force de simplifier, n’est-ce pas l’essence même du plaisir de notre activité que nous allons détruire?
C’est un tout autre débat, qui n’a pas vraiment sa place ici. Mais quand on envisage un itinéraire dur, engagé, ou à la journée, il est intéressant de bien le connaitre, soit en l’ayant fait (ou repéré) une fois précédente, soit en ayant des indications plus précises que la moyenne. Et ces outils modernes (tels que la carte IGN, l’altimètre, la boussole, des topos, des croquis, ou un GPS) aident grandement. C’est déjà tricher d’avoir un topo papier ou un altimètre, où est la limite ? Un itinéraire d’ampleur, réalisé dans l’essence des premiers ascensionnistes, elle dure plusieurs jours, et présente des risques non négligeables. Comme pour les premiers ascensionnistes, avec un peu plus de matos et de recul sur l’activité.
Et pour revenir au débat, ça serait top, un système de cotation utilisateur, un peu comme bleau.info
Ce n’est pas parce que la « limite » de l’aide technologique est certes toujours discutable et subjective que l’on doit tout admettre, comme si tout moyen artificiel était admissible = circulez y a rien à voir.
La planète entière a été explorée sans gps, GSM, hélico ni carto autre que symbolique, etc
c’était extraordinaire, engagé, passionnant …
Société de consommation et de facilitation on voit où ça mène
Ouais c’est subjectif. Perso ça me semble tout à fait indécent d’aller en montagne avec un perforateur (hormis sauvetage).
Certe.
Mais indiquer que la voie démarre en dalle, alors que tu es au pied d’une longue paroi dalleuse, ca n’aide pas bcp.
Ou qu’elle démarre au pied d’un chêne liège, alors que tu es ds une forêt de chêne liège, ca n’est pas d’un grand enseignement.
Alors que ds les deux cas, la base de la paroi était en pente, et que l’altitude aurait suffit à lever toute ambiguité !
De nombreux topos de randos indiquent des choses comme « prendre un sentier à droite », alors que tu en as plusieurs.
Ou encore « un peu plus loin »… ca veut dire quoi ? 10m ? 100m ? 200m ? C’est sujet à de multiples interprétations…
Un topo complet ne doit pas se cantonner à décrire ce qu’on voit en parcourant, il doit donner des indices suffisants pour éliminer les autres interprétations.
Imagine tu ton GPS de voiture te dire que tu vas bientôt tourner à droite, et te laisser deviner si c’est la 1ère, la 2nde ou la suivante ?
Il ne faut peut-être pas exagérer non plus : le point GPS du départ d’une voie tu peux très facilement choisir de ne pas l’utiliser simplement en ne téléchargeant pas la trace ni n’emportant un outil GPS. Comme dit plus tard par Adrien, la limite de l’assistanat se situe où ? Déjà décrire les longueurs une à une dans un topo c’est … (je ne trouve pas de mot poli). Certains en sont même à décrire le type de point rencontré et la façon de passer le crux. Qu’un topo précise des aspects de la voie liés à la sécurité (prendre corde >50 m par ex) je trouve ça normal (sinon autant mettre la sécurité à la poubelle et ne pratiquer qu’en solo intégral : mais qui saurait assumer ses convictions ?)
Avec l’outil technologique, on pourrait juste étager les topos genre
[résumé (infos générales(descritpion fine))]
pour que chacun puisse partir avec les infos qui correspondent à son esthétique, l’engagement souhaité. Ca me semble ridicule de se cantonner à un format minimaliste qui met les novices face au faux dilemne de l’« éthique » (pas très éthique justement) versus être spectateur. Récemment j’ai fait un itinéraire, et je me suis demandé quelle topo je voudrais faire lire à mes proches si je savais qu’ils partaient sans moi sur ce terrain. Ben le résultat était pas très « éthique »…
J’ai quelque nostalgie du temps jadis, où on partait en course avec un topo recopié au crayon sur une feuille (carreau 5x5) arrachée à un carnet (spirale, le carnet) avec, pour faire court, des abréviations dont, le moment venu, on ne savait plus ce qu’elles signifiaient. En général, le bout de papier restait dans la poche (du knicker ou de la chemise à carreau).
C’est comme ça qu’on bousille sa machine à laver
Et j’en fais quoi de ça ? Je le recopie à la main dans une appli GPS ? En 2023 ?
Il faut simplement un bouton de téléchargement du point, qui lance l’appli de son choix, comme il existe pour la trace. D’ailleurs ce bouton existait fut un temps quand il n’y avait pas de trace, mais je crois on l’a supprimé tant que la proportion d’itinéraires avec un point correct n’est pas suffisante, ou qu’on trouve un moyen de discriminer les georef automatiques et les georef corrigés.
Mais bon, on pourrait ajouter le tableau que tu proposes, dans une boîte déroulante parce que ça prend de la place pour peu d’utilisations.
Perso j’utilise le georef des itinéraires pour voir où est l’attaque sur la carte ou la vue aérienne. Sur une appli GPS, je vois où je suis. Ce serait mieux bien sûr si on pouvait suivre sa position sur la carte c2c, mais jusqu’à présent ça ne m’a pas handicapé.
sur certains topo, le lieu est indiqué avec un QR code que tu scannes avec ton tel, ça l’ouvre direct dans google map. (genre le topo des frères Remy).
Sur climbing away, c’est similaire avec le parking, y’a un lien qui t’envoi direct sur google map.
Mince, je réalise que je vis encore dans le temps jadis…
perso je fais une capture d’écran du topo C2C. C’est plus pratique que de se rappeler où on a mis le papier. Et plus facile à lire sous la pluie.