Différence 5c+ 5c/6a

Posté en tant qu’invité par J.Marc:

Sans doute y a-t-il des suisses moins suisses que d’autres… je veux juste dire que nous autres, les français, avons dû les coloniser un peu, pour qu’ils abandonnent peu-à-peu les cotations UIAA, et adoptent maintenant le 5c+.

Pour conclure, je vous livre ma cotation préférée :

8,4°

Nom de la voie : Leffe Triple !

Posté en tant qu’invité par julien:

ben dans tous les sites suisses que je fréquente, le 5c+ existe…(le 6a-, j’ai du voir 1 ou 2 fois…).

Posté en tant qu’invité par Etienne:

La même qu’entre une voie cotée 5.9+ et une voie cotée 5.9/10- . A peu de choses près. Et avec ça qu’est-ce que je vous sers?

Posté en tant qu’invité par ZeBadGuy:

Cela n’a rien a voir avec le fait de se foutre des cotations inférieures. C’est juste que d’apres moi (mais c’est un avis personnel) l’échelle de cotation n’a pas été conçue comme ca. Quand je galérais dans les 5 les seules cotations qui existaient étaient 4+, 5, 5+. C’est pas moi qui ai choisi !
Et surtout ça n’a pas de sens d’être précis à ce point. Encore une fois il y a des polémiques sans fin sur les cotations de certaines voies alors si on commence à rajouter des cotations intermédiaires c’est un peu n’importe quoi.
Sur ce sujet les auteurs du topo des calanques avaient fort sarcastiquement coté plusieurs longueurs du genre 1b+ ou 3a+…

Pour moi, excuse moi, faire la différence entre 3a et 3b c’est vraiment ridicule. Tous les gens complétement débutants que j’ai fait grimper (parfois pas tres sportifs qui plus est) se baladaient completement jusqu’au 4+ alors ils s’en foutaient bien de savoir s’ils avaient fait un 3c+ ou un 4a.

Posté en tant qu’invité par J.Marc:

Nous ne devons pas fréquenter les mêmes débutants, ZeBadGuy…

Et évite d’être sarcastique toi aussi : je n’ai jamais parlé de 3c+ !

Une cotation doit répondre à un besoin ; besoin pas nécessairement partagé par tous… Ou est le problème ? surtout quand ce besoin ne nuit à personne d’autre !

A ne pas confondre avec le débat sur la magnésie, où certains en ont besoin, mais où nous en patissons tous…