C’est juste que tu laissais entendre qu’on ne skie dénudé que quand il fait chaud :
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Aucun exploit là dedans. C’est plus soft que de se rouler dans la neige à poil par -20°C, ou de se baigner dans un lac gelé aux 3/4.
Au mieux, ça permet de s’entrainer à l’aspect « interdiction de tomber » qu’on retrouve en pente raide, lorsque les pentes raides ne sont pas en conditions.
Je comprends cette phrase autrement.
Au lieu de laisser le lecteur élucubrer les intentions de l’auteur qui publie cette photo, l’auteur coupe court aux critiques en écrivant explicitement qu’il a choisit cette photo en raison de la charmante anatomie de la skieuse (qui était bien sûr d’accord pour cette publication).
Comme c’est la 1ère photo du livre, juste après la table des matières, ça permet de donner un ton un peu moins sérieux au contenu, qui par ailleurs est plutôt de style scolaire, on ne se marre pas en le lisant. Procédé pédagogique classique (on rassure et détend l’auditoire ou l’élève avec un peu d’humour, puis on balance un discours sérieux).
Et voilà, réaction typique du randonneur à ski qui a arrêté trop tôt de tourner entre les piquets (voire qui n’a jamais tourner entre les piquets), et qui se plaint ensuite que c’est dur de louvoyer
Autant mettre le lien vers l’original.