Je me demande quand même un truc. Dans quels cas peut ont dire qu’on a réussit un sommet en randonnée pédestre ? Est-ce que se retrouver le cul par terre suite à une glissade est éliminatoire ? Parce que c’est un peu le genre de question qu’on est en train de se poser pour l’escalade.
On se fixe des règles assez précises en couenne pour donner de l’intérêt mais c’est essentiellement parce qu’arriver en haut sans un minimum de règles n’est pas assez intéressant. Il faut bien admettre qu’en grande voie l’intérêt de simplement arriver en haut est en général suffisant. Bien sûr on essaie de bien grimper tout comme en rando on essaie de rester sur ses pieds mais à part ça…