7a>A1
S’il subsiste du 4c par exemple : 7a>4cA1
Decoding 6b+ (6a obligatoire)
C’est exactement ce que je disais
Mais ma question est : comment le « décrire » à l’aide des champs c2c.
Evidemment on peut ne pas renseigner la cotation obligatoire, mais ça a 2 inconvénients :
- la voie n’apparaitra pas dans une recherche de type cot. obligée < 6a
- comment faire la distinction avec une voie où l’auteur n’a pas mis la cot. obligatoire parce qu’il ne la connaissait pas ?
C’est ce qui me parait le plus logique, mais reste ce problème - en ne renseignant pas la cotation obligée :
[quote=« J.Marc, id: 1425401, post:102, topic:126340 »]la voie n’apparaitra pas dans une recherche de type cot. obligée < 6a
- comment faire la distinction avec une voie où l’auteur n’a pas mis la cot. obligatoire parce qu’il ne la connaissait pas ?[/quote]
Ouais ouais, faut ajouter une valeur « non applicable »…
Ca me parait la bonne solution !
Ce jeu de massacre anti-J2 est vraiment exaspérant.
Certes, il se trompe sur la définition de la cotation obligatoire (la bonne ayant été donnée par Ludo1983, et complétée par Bubu = version c2c).
Mais il donne implicitement la bonne méthode d’utilisation de la cotation obligatoire d’un topo (même si ses explications ne valent que pour une voie P1) :
Si mon niveau en couenne est de 6a (au sens où j’enchaîne à vue en moyenne 4 couennes sur 5 de niveau 6a), alors j’ai toutes mes chances de pouvoir sortir (*) une grande voie dont la cotation obligatoire est de 6a, et donc ça vaut le coup que je la tente.
(*) sortir = arriver en haut, en s’autorisant les repos, le tire-clou, les pédales (quitte à bricoler avec le matos dont on dispose au baudrier compte tenu du type d’équipement).
Disons qu’en plus du tire-clou ou du contournement de la difficulté je compte un temps de repos, ou plusieurs essais pour trouver la bonne méthode, comme un moyen de passer une difficulté pour laquelle on n’a pas tout à fait le niveau pour enchainer proprement.
La notion concerne avant tout les grandes voies mais prenons l’exemple d’une couenne qui sera plus parlant. La voie est donnée 6a, un grimpeur de niveau 5c s’y attaque, il tricote un peu, se fait reprendre dans le crux mais fini par passer sans tirer au clou. J’aurais tendance à penser que la voie vaut 6a, 5c obligatoire et que la plupart des grimpeurs de niveau 5c vont faire pareil, c’est à dire passer en cherchant la solution, en se faisant reprendre mais sans tirer au clou (dans la mesure où c’est possible)
Mais tu te trompes, car si ça se trouve elle est faisable par un grimpeur de niveau 5a à condition de tirer au clou, et donc devrait alors être cotée 5a obligatoire.
Ton concept est intéressant, mais tu ne peux pas l’appeler « cotation obligatoire », car ce terme existe déjà et désigne autre chose.
Tu pourrais l’appeler « cotation obligatoire en libre » ; ça veut dire que tu t’autorises à ne pas enchaîner, mais tu t’astreint à faire les pas en libre.
Tout à fait, mais bon, imaginons que non.
Ca désigne la même chose, j’ajoute juste une façon de « tricher », le tire-clou n’est pas toujours la solution. L’information importante c’est quand même de savoir si on n’a pas un niveau trop faible.
Le seul topo que je possède et qui propose une définition pour la cotation obligatoire c’est « Escalade Plaisir - Alpes Françaises du Nord » de H.Galley : « C’est la cotation maxi en utilisant les points d’assurage en place comme points d’aide ou de repos » moi ça me va pas mal.
Ce n’est pas ça non plus puisque ça n’exclue pas que le pas se fasse en tirant au clou, donc pas en libre.
Ah mais tu ne l’ajoutes pas, c’est déjà inclus : évidemment que prendre des repos ou tenter plusieurs fois le passage ou la longueur font partie des « tricheries » de la cotation obligatoire, au même titre que l’A0 ; le problème, c’est que toi tu semblais omettre le tire-clou.
A nous aussi ! mais ça ne marche que pour les voies totalement équipées (P1).
Alors pourquoi dire que tu contestes notre définition ?
Ah non, pas du tout
A vrai dire je préfère « C’est la cotation maxi en utilisant les points d’assurage en place comme points d’aide ou de repos »
Par habitude
Sans rire, ce que je conteste c’est cotation obligatoire => tire clou
Alors tu as mal interprété notre définition : la cotation obligatoire accepte toute tricherie, que ce soit repos ou point d’aide.
Mais il est vrai que le texte de c2c ne parle que de point d’aide ; c’est évidemment sous-entendu que les repos sont a fortiori autorisés (car tricherie moins importante), mais ce n’est pas écrit explicitement.
[quote]Cotation libre obligatoire
Elle se donne sur la même échelle que la cotation libre. Elle correspond à la difficulté obligatoire, c’est à dire sans possibilité de « tricher » en utilisant un point d’aide. Ces points d’aide correspondent à l’équipement en place (A0 ou « tire-clou » en grande voie sportive) ou de l’équipement usuel emporté par le grimpeur tels que des coinceurs ou friends dans le cas de longueurs à équiper au moins en partie soi-même (A1). L’équipement usuel dépendra du niveau d’équipement de la voie, et du matériel spécifique à prévoir.[/quote]
Posté en tant qu’invité par 3a-facultatif:
[troll]Ça fait très discussion sur le sexe des anges entre oulémas tout ça. [/troll]
Peut-on simplement considérer que les cotation donnent une idée relative d’un niveau pour éviter que des gens se retrouvent en difficulté et non pas comme une échelle de valeurs. Il y a un antagonisme confondant entre la liberté que procure l’escalade et cette volonté de tout rationaliser.
tout ce raffut pour une toute petite question posee…
au lieu de passer votre temps a vous prendre la tete, allez plutot grimper
pffffffffff
mdr
jean louis
Posté en tant qu’invité par Artifessier:
ben vas y vite
Posté en tant qu’invité par assursec:
ouais c’est clair !!
6a ou 6b ou 6c, c’est du 6 …
et un 6a dalle n’a rien a voir avec un 6a athlétique …
déjà !