Débuts en alpinisme

Oui et aussi :

soirée portes ouvertes :
le jeudi 23 septembre à 19h

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Les crampons et les piolets sont des équipements que l’on trouve facilement d’occasion, souvent avec un rabais important.

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Et j’ajouterais que méfiance si jamais un mentor se propose spontanément. ca cache sûrement quelque chose…

Ca oui. de toute façon c’est utile en rando aussi. Le reste ptet pas se précipiter non plus. Bon ça fait toujours plaisir d’avoir un piolet chez soi on se sent déjà un peu alpiniste :wink:

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@Jonathan0901

Salut.

Tout ce matériel d’alpinisme (piolet, crampons, cordes), au début, il n’y a sans doute pas besoin de l’acquérir. Le club ou l’association pourra le prêter ou louer pour les premières sorties. À mon avis.

A ce sujet, je t’ai envoyé (ou au moins ai essayé) de t’envoyer un mp.

Grave !!!
Mais c’est vraiment pour le ressenti : perso quand on m’en a offert un, il est resté quelques mois au milieu du salon tellement j’étais contente de le contempler :wink:

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Intéressante cette notion du « mentor » : elle mériterait probablement une discussion à part entière !

Je ne suis pas sûre non plus que ça se cherche / trouve, ça se « fait » davantage au hasard des rencontres…
Perso j’ai le sentiment d’avoir été très rapidement bien accompagnée par des partenaires avec des expériences riches et profitables, mais sans aller chercher cela spécifiquement, en me laissant porter par les rencontres, les projets communs et les énergies similaires…

Tout dépend de ce qui est mis derrière le terme « mentor ».
Des partenaires qui envoient et m’ont spontanément proposé des courses de fou, ça n’a jamais caché rien d’autre qu’une envie de partage enthousiaste, et a le plus souvent ouvert la porte à de belles amitiés…
La méfiance à tout prix très peu pour moi, par contre je crois qu’une des « bases » dans la pratique est l’écoute du feeling des relations : si je me sens en confiance avec l’autre, c’est généralement que ça se passera bien, quand y a des signes de bifbof, je préfère renoncer au projet qui importe moins que la relation de cordée qui nous y mènera… Ensemble !

Certes, même si ce genre de critère a rarement été évoqué par les potes plein d’expérience : la question du tempérament, de l’enthousiasme, d’une forme de vécu commun de la montagne importent également beaucoup…
ça m’allait bien d’être le boulet qui sourit :wink:
(Heureusement parce que vu le méga-boulet que je suis devenue, ce serait la galère si les potes comptaient uniquement sur mon autonomie !)

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Aucun problème. Par contre quelqu’un qui se proposerait spontanément d’être ton mentor c’est autre chose.

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C’est sans doute le mot mentor qui cloche. Il y a des amis qui ont commencé l’escalade avec moi, que j’ai emmené en montagne, en gv par exemple pour leur première fois, et qui maintenant pour certains sont autonomes, mais j’étais pas mentor (aucune légitimité), juste un ami.

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Voui, probablement que nous plaçons tous des sens différents derrière ce mot, parfois péjoratifs même (au sens de « gourou », personne qui cherche à prendre l’ascendant, ou autre…?).
Pourtant les dictionnaires s’accordent sur une définition fort simple : Guide attentif et sage, conseiller expérimenté
Alors malgré toute l’humilité dont tu fais preuve, peut-être as-tu été un « mentor » pour les amis que tu évoques, les 2 « fonctions » n’étant pas incompatibles :wink:

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Je sais pas j’aime pas le terme. Et ça rajoute de la complexité. Je ne suis pas sûr de répondre à la définition :joy:

Pour moi le terme « mentor » suppose une relation quasiment exclusive et dans la durée.
Un « binôme » plus expérimenté
Qui doit trouver quelque part un intérêt à cette relation

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C’est exactement la bonne définition même si certains ont du mal à comprendre ce qu’elle définit. Elle est d’ailleurs très employées par les grimpeurs US comme j’ai pu le voir en partie car à une certaine époque qui n’est pas si lointaine, les instructeurs et guides « n’existaient » pas vraiment et l’escalade/montagne n’était pas aussi développée que depuis les années 2012/15.
Quant à se « méfier » du concept qui dans son sens le meilleur (un peu plus que partenaire, un peu moins qu’instructeur), correspondant finalement à la volonté de partager, il faudrait éviter d’y voir des « menaces » ou des intentions cachées. C’est également du partage …

Je me souviens de ce guide qui m’expliquait qu’il prenait beaucoup de plaisir à emmener des groupes d’ados : Ils ont la pêche, ils suivent avec enthousiasme sans critique. Je le comprend tout à fait.

Il n’y a rien de pire que d’emmener des gens qui, même si ils ont une certaine expérience, ne mèneraient pas une course, mais comptent sur toi pour le faire. Par contre, ils sont persuadé que le peu qu’ils ont appris est parole d’évangile, et passent la course à critiquer.

Je préfère mille fois emmener un débutant physiquement OK plutôt qu’un de ces co…ards.

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Mouais. Admettons que ça existe quelqu’un de compétent qui accepterait d’initier un débutant dans la durée sans contrepartie. A part ton papa ou ta maman ou ton grand frère ou ton époux/se et encore ça va un moment :slight_smile:
Avec mon tout petit niveau d’alpinisme j’ai emmené une fois des potes sur les glaciers de la Vanoise ils ont failli (réussi même) me gaver.
« C’est bizarre qu’on s’encorde là alors que c’est moins dur qu’avant. » Ben oui mais on arrive sur le glacier.
Et arrêtez de marcher sur ma corde avec vos crampons! Et corde tendue!!!

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J’ai connu deux gars qui grimpaient ensemble, qui n’avaient pas du tout le même niveau, qui sont surtout devenus les meilleurs potes du monde.
Ils passaient tout leur temps libre ensemble, à grimper, puis à faire la fête
La contrepartie c’était l’amitié , ce qui est déjà beaucoup

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Ok. Un pote quoi. Pas un inconnu.

Quand tu connais un inconnu, ce n’est plus un inconnu.

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Ils se sont connus en arrivant au club et ont vite sympathisé, et ont grimpé ensemble malgré leur différence de niveau