ça se trouve dans les endroit où ils sont : Sites et salles d’escalade, montagne, refuge… On se fait vite des amis !
Débuts en alpinisme
Tu peux commencer sans aucune base (j’ai commencé moi-même ainsi). Les niveaux sont caractérisés par couleurs : Enfants : Blanc, pour les adultes : Jaune, Orange, Bleu, Rouge et Noir ou Blanc.
Je ne sais pas dans quel état sont les parcours maintenant, mais dans tous les cas, il vaut mieux avoir un topo. Sans topo, tu risques de tourner en rond et de ne pas prendre plaisir, alors que suivre un parcours est très ludique.
Comme matériel, il te faut une paire de chaussons ou ballerines, et un carré de moquette de 20x20 cm pour t’essuyer les pieds. La magnésie est à bannir car elle imprègne et dégrade le grès. Tu peux avantageusement employer de la résine. Tu l’enfermes dans un chiffon attaché avec un lacet. C’est ce que l’on appelle du Pof. Tu amélioreras l’adhérence en en tamponnant tes chaussons et les prises, et la résine est diluée et lavée par les pluies.
Pour pouvoir suivre la progression des circuits, tu peux attacher une ficelle au carré de moquette, l’autre bout étant noué à ton short. Ainsi, parvenu au sommet du bloc, tu n’auras qu’à hisser ton paillasson sans avoir à redescendre le chercher.
Merci pour les conseils.
Direction Fontainebleau rapidement
Et ne pas manquer de poser des questions aux grimpeurs présents !
Tu peux utiliser la rubrique « partenaire » de camp to camp
Après avoir rencontré plusieurs partenaires, tu trouveras peut être ce mentor!
Sinon pour les clubs et tout ça, il y a le truc d’aller au Vieux Campeur et de demander à un vendeur (plutôt au rayon technique). On tombe souvent sur des spécialistes…
Pieds nus, oui (faut quand même pas être trop douillet, et faire très gaffe aux chutes, donc bon… c’est plutôt pour des grimpeurs expérimentés que pour des débutants).
En baskets sûrement pas: c’est impossible de garder les semelles propres, et donc la meilleure façon de patiner abominablement le rocher, et de se faire détester par les grimpeurs voisins. C’est du grès, plutôt fragile!
Bah on y arrivait bien pourtant.
Et même en grosses en hiver
PS @Jonathan0901 les grosses c’est des chaussures d’alpinisme
Hmm…
Déjà qu’il faut surtout pas faire confiance aux vendeurs du Vieux pour choisir ses chaussons (sauf si on est adepte des tortures chinoises consistant à comprimer les pieds jusqu’à l’agonie…), alors pour des conseils sur les clubs je ne sais pas trop.
De toutes façons les réponses ont déjà été données plus haut:
Ajoute le CIHM, les clubs FSGT de Paris, et tu auras déjà un bon tour d’horizon. D’ailleurs, tout cela est très facilement trouvable sur internet, par exemple via les sites des fédés: FFCAM, FSGT ou FFME.
Quand Droyer te disait comment faire, c’était pourtant bien sympa.
Déjà là c’est un pour l’alpinisme, ça en fait même partie.
Merci pour la précision
Comment ça? Dans l’absolu non c’est pas indispensable.
Cheux nous pour passer alpiniste, il faut avoir fait un certain nombre de sorties ski rando, et il y a le cours théorique ski rando pendant la formation.
Et de savoir skier ça peut aider pour randonner, mais pas indispensable en effet
Moi, pareil ! Avant d’avoir des bases, je n’en avais pas. Ne pas avoir de bases est une des caractéristiques du débutant.
Et tiens ! J’y pense tout inopinément… si les débutants avaient des bases, les anciens ne pourraient pas étaler leur science sur les réseaux sociaux. Vous vous rendez compte !
Ne te fais pas d’illusions, tu n’en trouveras pas. Tes chances sont à 0,1% et j’ai même envie de dire 0.001% à Paris (je parle d’Alpinisme, pas d’escalade au pied des blocs). Comme dit, les débutants sont vus comme des boulets, ce qu’ils sont (c’est normal ils apprennent). L’alpinisme n’est pas encore ce que t’imagines : une jolie vue, se ballader tranquile en montagne, l’aventure et la liberté… c’est aussi ça mais c’est avant tout un terrain pour lequel l’homme n’est pas adapté, qui change vite dans lequel notre passage dépend des bonnes conditions. Autrement dit il faut être rapide, efficace, plein d’anticipation ou d’initiatives, d’où le fait qu’un grimpeur lambda cherche souvent un partenaire dégourdi, autonome, efficace, et surtout quelqu’un qui n’a pas besoin d’être chapeauté constamment. Or au début, c’est ce qu’on est, quelqu’un de dépendant. Le mentor lambda (s’il existe), est généralement quelqu’un tourné vers la pédagogie et le partage qui s’épanouit dans la transmission. Comme c’est une activité très introvertie quoi qu’on en dise, ça reste rarissime. De plus c’est souvent des gens qui ont beaucoup de temps à y consacrer, et encore une fois ceux-là vivent loin de Paris. Il vaut mieux que tu prennes les choses en main plutôt que d’attendre que ça tombe du ciel, un mentor c’est évidemment l’idéal mais ne te fais pas d’illusions là-dessus. Cherches à pratiquer plutôt que de de perdre de l’énergie à en trouver un.
Tu m’as dit par MP que t’étais bloqué à Paris pour le boulot. Les contraintes existent, mais un boulot ça se trouve ailleurs, par contre tu ne trouveras pas de montagnes dans le 95 et aux alentours. Choisir c’est renoncer, tu devras faire des choix : on ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre. On t’as dit de ne pas griller les étapes, c’est vrai, mais attention : on peut aussi perdre du temps, des occasions ou tout simplement le coche par passivité. Toute la difficulté c’est de trouver le juste milieu.
Bonjour Jonathan,
Je ne sais pas trop comment tu vas commencer tes premières expériences d’alpi, mais sur le plan du matériel, à mon avis, il serait sage que tu sois autonome sur les fondamentaux :
- chaussures
- crampons
- baudrier
- piolets
- quincaillerie : mousquetons / dégaines / assureur (type reverso) / ficelou
- frontale
- casque
- vêtements idoines
Car si tu pars en WE depuis Paris, que ce soit via une sortie CAF ou un partenaire C2C, il y a peu de chance d’avoir le temps pour passer au magasin de location