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Posté en tant qu’invité par miq:

Ben pas toujours, j’ai comme dit commencé par la randonnée classique sur chemins balisés, puis de plus en plus hors sentiers, à la boussole et carte, puis de petits sommets nécessitant un peu de crapahutage à 4 mains, ou parfois un peu de grimpette sur de très très courtes sections…
et je ne parle même pas de certains cols effilés comme une lame de rasoir que j’ai escaladé ou dé-escaladé sans corde, voire je me suis trouver à louer des crampons/piolet pour passer des plus ou moins gros névés, ou même plus tard pour passer des glaciers sans en connaître les dangers objectifs et le sommet par la suite, parfois par une pente de neige qui n’était juste plus un névé…à 35-40°
Bref pour moi tout cela restait de la rando, tout seul, mais c’était juste de plus en plus escarpé.
Maintenant que je fais de l’alpi, je me suis rendu compte qu’un certain nombre de chose que j’ai faite était juste de l’alpi facile !! que je prenais pour de la rando de plus en plus « sauvage » et escarpé.

En fonction de quoi situes-tu donc la différence, puisque tu dis « maintenant que je fais de l’alpi »…?! Si des critères sont verbalisables et identifiables au point de te faire dire ça, n’est-ce pas justement le fait qu’on puisse établir une distinction, générique certes, entre les deux et définir assez grossièrement ce qui relève de l’un ou de l’autre.

Comme je le disais plus haut dans un post :

  • celui qui fait du Trail ou un GR ou la transhumance est-il considéré comme un alpiniste ? Non
  • celui qui gravit l’Everest ou le K2 est-il considéré comme un randonneur ? Non
    Donc je pense que des critères peuvent être identifiables même si par moment ils peuvent légèrement se « chevaucher »…