Débuter en falaise seul..?

Posté en tant qu’invité par jacques:

Au dépard le problème c’est la sécurité. Toutes les falaises sont différentes , les relais peuvent être bien equipé ou sans chaine .Alors le minimum à apprendre c’est la sécurité car il n’y a pas de 2 eme essai si on se loupe dans une manipe boum par terre
Aussi je crois que dans les clubs on apprend toutes les manipes de cordes et de sécurité et ce n’est pas du luxe d’y aller. Par ailleurs commencer seul en falaise après le mur il faut rester humble et commencer par des voies en dessous de son niveau et d’y aller progressivement. J’ai commencé seul en 1976 et les mauvaises habitudes que tu prends c’est énorme .J’ai du revoir toutes les manipes de cordes et les manipes de sécurité dans le club ou je suis en ce moment(chartres vertical).

Bonne grimpe à tous

Posté en tant qu’invité par ZeBadGuy:

Si si tu peux commencer seul. c’est pas si terrible de passer sa vie sur un fauteuil roulant .

Posté en tant qu’invité par strider:

Je crois que la difficulté peut venir du fait que le site n’est pas toujours équipé de la même manière et demande toujours une adaptation…le rocher peut lui aussi déconcerté et n’est pas toujours complètement solide…enfin il ne faut pas sous-estimer le vent et le froid qui peuvent troubler un peu au début surtout lorsqu’on est en chausson et que le rocher ne dépasse pas les 1°C, l’état du granit que j’ai grimpé ce WE…
Pour la plupart de sites il y a des trucs à savoir , notamment pour se vacher en haut des voies, on est obligé en général de se désencorder et il ne pas faire tomber le bout de corde!Sinon ça devient compliqué! moi c’est un ami qui m’a montré et je dois dire que toutes les astuces qu’il donne sont bonnes à prendre parce que ayant maîtrisé plus rapidement les désagréments techniques, on se concentre plus sur l’escalade à proprement dite et la beauté du rocher…c’est alors le style qui passe avant tout, quelque soit la difficulté potentielle des voies (différentes pour tout le monde suivant leur taille, morpho, style et rocher de prédilection)…
Bon l’assurance numéro 1 c’est d’avoir au moins 2 maillons rapides sur ton baudrier, comme ça si t’es pas à l’aise, que tu es fatigué ou que tu as des crampes, voir des crispations cela te permet de dire « pouce » en mettant le maillon dans le spit puis la corde dans le maillon et redescendant aisément.
& comme tout le monde le dit c’est préférable de commencer avec des amis habitués au site, ou un club (ça revient au même pour dire) comme ça ils te montreront leurs astuces avant que tu te fasses les tiennes, l’avantage est que tu commences sans patauger dans les désagréments techniques qui ne sont pas l’essentiel, sauf pour la sécurité bien sur, de l’escalade…plus sur au début, plus confiant,on apprécie d’autant plus l’escalade en extérieur dont la plupart te diront honnêtement c’est franchement plus intéressant que la grimpe en salle…

Posté en tant qu’invité par Phil:

Auteur: ZeBadGuy (164.129.1.—)
Date: 26 jan 2005 10:28

Si si tu peux commencer seul. c’est pas si terrible de passer sa vie sur un fauteuil roulant .

Hé, le modérateur de C2C, tu laisses passer des trucs comme ça ???

Posté en tant qu’invité par jacques:

Pour installer une moulinette sans se desencorder voir ci dessous

Installation de la moulinette

1/ Se vacher au relais (longe en corde de 9 à 11mm).

2/ Prendre du mou au niveau de son baudrier et passer une boucle dans le maillon rapide du relais.

3/ Faire un noeud de huit et le relier à un mousqueton à vis accroché aux pontets du baudrier.

4/ Défaire son noeud d’encordement.

5/ Tirer le bout de la corde pour le faire sortir du maillon. Se dévacher en veillant à ce que l’assureur ait ravalé le mou et soit prêt à descendre le grimpeur.

Attention

La moulinette doit toujours être réalisée sur un maillon (mousqueton, tire-bouchon,…) rélié à deux points.
Ne jamais placer une moulinette sur une sangle ou une corde.
Ne jamais placer une moulinette directement dans un amarrage (broche, plaquette, tige, …).
La corde ne doit pas frotter contre le rocher excessivement contre les arrèts ou autres aspérités du rocher.
La longueur de la corde doit être au minimum égale au double de la longueur de voie.
Veiller à ce que l’assureur ait ravalé le mou et soit prêt à descendre le grimpeur avant que ce dernier ne se dévache.

Stéphanie Maureau

Posté en tant qu’invité par Simon:

simon a écrit:

Avec des voies d’une seul longueur bien sur,
la pratique ne doit pas réellement différer de la salle? et
puis nous trouverons bien quelques âmes charitable pour nous
renseinger aux pieds des voies si nous rencontrons quelques
problèmes…

le mieux est de s’incrire dans un club, tu sera tranquille niveau assurance et c’est le meilleur moyen pour apprendre rapidement: ca ne coute pas extremement cher, on te prète du matos ce qui est appéciable qd tu débute, et tu peux rencontrer des gens avec qui tu pourras aller plus loin ensuite (grandes voies) …

après débuter seul c’est possible, mais potentiellement dangereux … il y a des choses a ne surtout pas faire: passer la corde ds une sangle (la sangle va bruler et tu vas t’ecrabouiller par terre) , ds une plaquette … c’est pas pour rien que l’escalade reste un sport à rique: si tu fais toujours tout bien, pas de pb, mais une petite erreur con peut etre fatale, et personne n’est à l’abri …

il ya les erreurs classiques de débutants: qd j’encadrais sur un mur, au début de l’année la moitié te disent je sais grimper … et la il y en a forcément plusieurs qui font des conneries: sangle du baudrier pas repassée en double, noeud de 8 sur un mousqueton … alors il vaut mieux pour toi qu’une ame charitable regarde ce que tu es en train de faire …

une petite anecdote: qd j’ai été faire le Grand Parcours a la Sainte Victoire, grande voie de 400m, une cordée partait pour aller au sommet (faire le grand parcours donc) sans casque ni coinceurs, avec 10 dégaines grand max … qd on est arrivé, le premier était vaché sur un point, 10m sous le relais, encordé à un bout du rappel (tiens pourquoi elle change de couleur la corde !!)… le deuxième a commencé à monter encordé avec un mousqueton a vis !!
heureusement, ca n’a pas été trop difficile de les convaincre d’abandonner … c’etait en grande voie, mais le truc fou c’est que les gars étaient complétement inconscient des risques qu’ils prenaient, ils avaient aucune idée de ce qu’il fallait faire , mais ca les inquiétait pas …

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par marco:

d’accord avec toi Dan, pour le rocher. Maintenant, pour la neige, ça me fait un peu peur parce que les plaques à neige, les corniches, tout ça… c moins solide que le rocher, et sur les livres, on apprend comment ça se forme, et où, à priori, mais c beaucoup plus de l’expérience, je pense

Posté en tant qu’invité par Pierrre:

Salut Simon

Si tu es bien en région parisienne comme ton post le laisse penser, tu peux faire tes premières armes à Saint Maximin, près de Chantilly. La falaise - une ancienne carrière- est dédiée à l’initiation : équipement rapproché, relais quatre étoiles ( chaine + wichard ), purge fine , pas trop de gaz (20 m. grand maximum…), majorité des voies entre 4 et 6a (mais il y a aussi du 7 si tu veux), pied de falaise plat et dégagé, bistrot pas trop loin, bref, tout ce qui faut, idéal pour passer de la salle à de vraies falaises
Un bémol : ce n’est pas précisemment la falaise la plus bucolique qui soit, ni la plus calme les week-end de beau temps. Et puis les bouchons de l’A1 pour revenir sur Paris… on est parisien ou pas , on a une réputation à tenir…

Le topo est en vente au café du coin. La falaise est pratiquement dans le village.

Posté en tant qu’invité par strider:

ba oui marco,c’est sur, la haute montagne,ça n’a rien àvoir avec l’école d’escalade…cela demande beaucoup plus d’astuce et d’engagement, et d’accepter lecôté mois « sure » de la montagne ; lemixte restant leplus délicat, je connais un gars très doué en escalade et qui peinait, effrayé dans un mixte de haute montagne.

bon effectivement dans les désagréments techniques on voit parfois la bêtise de passer la corde dans une sangle voire dans un spit sans maillon rapide, là effectivement ça pose problème pour la sécu et notamment l’état de la corde…
Pour se vacher c’est vrai que c’est mieux une longe, la mienne est en sangle,mais on peut aussi l’avoir en corde comme dit Jacques, ça tiendra aussi…moi j’ai carrément mis un mousqueton à vis au bout, bon c’est un peu plus fastidieux mais ça marche…
L’autre avantage du club est le covoiturage plus facilité :on finit par gagner de l’argent au bout du compte, mêmesi les clubs sont un peu chers parfois. Il n’en reste pas moins que c’est mieux effectivement que les autres te montrent avant, on gagne ainsi du temps, des réflexes sans se prendre la tête toutle temps avec des ennuyeuses questions techniques .

Posté en tant qu’invité par ZeBadGuy:

« Hé, le modérateur de C2C, tu laisses passer des trucs comme ça ??? »

Ironie : nom féminin. Discours difficilement compréhensible par les imbéciles.

Sinon sur le fond j’étais sérieux. cela dit on me demande mon avis je le donne si ça amuse certains d’aller au carton libre à eux. Quand j’ai commencé ça me serait meme pas venu à l’esprit de le faire tout seul.

Si on te disait « oh ben je voudrais faire du base-jump, je peux commencer tout seul ? » totu le monde hallucinerait. Pourtant il n’y a pas une si grande différence, des cartons en escalade pour des conneries ça arrive souvent . c’est pas si trivial de les éviter sinon y aurait pas des champions de monde qui feraient des chutes au sol à Buoux par exemple pour cause de noeud mal fait ou corde trop courte.

Posté en tant qu’invité par Phil:

Le jour où tu seras en fauteuil, fais moi signe, ça me fera plaisir de te dire un petit bonjour, sincèrement…

Posté en tant qu’invité par Alexis:

Au risque de passer pour un con, je vais vous raconter mon apprentissage :

J’ai appris au CAF a Grenoble, on sortait les mercredi apres-midi. Pdt un an ou deux, je sais plus trop bien, j’avais 13-15 ans par la. Toujours est t’il que, malgré cet apprentissage (qui ne se resumait pas a une courte semaine avec l’UCPA), des erreurs classiques j’en ai fait un max. Je suis descendu en moulinette sur une cordelette passee dans une lunule parceque j’avais bute en troisieme longueur a Comboire. Je suis tombe sous la vire en seconde longueur a Comboire parceque j’avais pas mis de point renvoi. Je suis arrive au relais et la corde est tombee parceque j’avais pas fini mon noeud. J’ai fait tomber ma corde au relais parceque je ne l’avais pas attachee pour faire la manip. Je suis parti trop tard dans une trop longue voie et nous sommes descendus de nuit dans le brouillard et pied nus sur un versant du Gerbier que nous ne connaissions pas et dont nous n’avions pas la carte. En artif, j’ai fait remonter sur corde mon second sur un vieux spit pourri sans renvoi. J’ai assure mon second sur un relais avec des pitons pourris qui sont partis a la main lorsque mon second est arrive parceque je ne les avaient pas testes, … et beaucoup d’autres erreurs que j’ai oubliees.

Maintenant, il m’arrive toujours de faire des erreurs, parfois meme des erreurs de debutant, parceque l’habitude tue l’attention due a la peur de la nouveaute.

Un jour, avec un camarade, il s’est trouve que nous sommes alles faire le couloir sous l’Aiguille du Midi : le Porter-Mallory, avec un grand de l’alpinisme : Erik Decamp … Bon, il n’est pas reste longtemps avec nous, car il allait trop vite dans cette voie en solo (d’ailleurs, plus haut, nous nous sommes decordes avec mon camarade, car il allait plus vite que moi - enplus, il voulait tenter d’en remontrer a Decamp) ; il n’empeche que lorsque nous nous sommes revus le soir, nous avons discute et il nous a parle de formation. Il nous a dit que nous tenions nos piolets comme des crayons, que notre cordee n’etait pas securit, etc … Il nous a dit que des erreurs idiotes, il en avait fait un paquet lors de son apprentissage, et qu’il etait conscient qu’en apprenant nous en faisions beaucoup, et que c’etait ce qui lui faisait le plus peur lorsque son fils irait en montagne sans lui, et ce, quels que soient les conseils et l’apprentissage qu’il aurait pu lui communiquer. Cela m’avait marque …

J’ai des copains qui ont appris tard dans des bouquins et en echangeant sur le tas avec d’autres. Je n’ai pas l’impression qu’ils aient pris plus de risques, ni qu’ils aient fait plus d’erreurs que moi.

Je crois, oui, que l’on peut apprendre « seul » l’escalade, mais en allant toujours chercher des conseils a droite ou a gauche, en bouquinant ou en venant poser des questions ici par exemple lorsque quelque chose ne marche pas, et surtout en se posant des questions a chaque instant. Pour avoir fait beaucoup d’erreur, et pour connaitre beaucoup de belles erreurs arrivees y compris a des gens connus et reconnus aujourd’hui, je crois que la montagne pardonne, contrairement aux hommes, beaucoup plus qu’elle ne condamne.

Alexis, dont l’avis, comme dirait Ben, n’engage que lui.

Posté en tant qu’invité par strider:

ta contribution est intéressante, c’est sur…Curieusement je n’ai pas fait autant de bêtises, en école, du moins, mais bon j’avais un ami sur pour apprendre…parfois c’est vrai qu’au début, du moins la première fois, j’ai « assuré » avec un huit à l’horizontale! (hum!hum! je sais, referais plus!) bon en montagne il m’est déjà arrivé de mettre des coinceurs dans des fissures fouareuses, les enlevant en cassant les bouts de pierres autour! de toute façon on ne peut pas être parfait non plus…mais de bons conseils valent de l’or et surtout des frayeurs en moins , et d’autant moins de temps à se prendre la tête dans des désagréments techniques qui gachent le style! Mais tu as raison Alexis, il ne faut pas jouer la carte de l’élitisme, c’est de la pure prétention, car ça arrive à tout le monde de se tromper…le tout c’est de s’en apercevoir à temps, ou de savoir réagir en conséquence!
A ce propros il y a un excellent bouquin c’est LE GRAND LIVRE DE L’ESCALADE…enfin un bouquin où on ne te bassine pas sur les bavardages ennuyeux sur les cotations (à peine une page pour dire, sur plus d’une centaine!) , là j’ai dit victoire quand je l’ai découvert!

Posté en tant qu’invité par dan:

J’admet que j’exagère en ce qui concerne la haute montagne; quoiqu’il est possible de se roder sur des courses où les dangers objectifs (qui demandent de l’expérience pour être correctement évalués) sont limités puis de choisir des objectifs un peu plus engagés au fil du temps. Je ne clame pas que la montagne est sans risque et ne compare pas l’alpinisme à de la rando… Mais on peut faire les choses seul en prenant beaucoup de précautions et en étant tout à fait lucide.
Celà dit, fréquenter un club pour s’initier permet de rencontrer des partenaires expérimentés avec lesquels on apprend plus vite et ça facilite souvent les sorties.
Chacun fait comme il le veut; mais il faut arrêter de dire qu’un montagnard solitaire est forcement un inconscient et qu’un cursus de 5 ans au caf est indispensable pour grimper en tête ou savoir bocher.
Je dévie un peu du sujet de Simon, désolé!

Posté en tant qu’invité par J2LH:

dan a écrit:

Chacun fait comme il le veut; mais il faut arrêter de dire
qu’un montagnard solitaire est forcement un inconscient et
qu’un cursus de 5 ans au caf est indispensable pour grimper en
tête ou savoir bocher.

C’est quoi bocher ?

Pour ce qui est de grimper en tête au CAF il faut effectivement arrêter de le dire puisqu’on les fait grimper en tête dès la deuxième séance.

Posté en tant qu’invité par dan:

J’ai oublié un r: brocher.

qu’un cursus de 5 ans au caf est indispensable pour grimper
en tête
Je voulais dire par là que je reproche à certains clubs (pas tous) une approche trop scolaire de l’escalade et de la montagne en général (à mon goût, je ne veux pas généraliser).

Posté en tant qu’invité par Tum:

Moi aussi j’ai débuté seul direct en falaise -Et y’ a jamais eu de soucis ;seulement il faut connaitre les quelques manip de base -et quelques principes importants comme assurer sa corde au relais-(La methode de Stephanie te permet en plus de rester encorder au cas ou ta longe pete !!

L’utilisation des differents types de mousquetons pour chaque usage …etc

Et un bon bouquin ça peut aider…

Le positionnement des degaines lors de l’ascension est egalement important pour eviter qq frayeurs en cas de vol

De toute façon il vaut mieux se remettre en question regulierement et affiner ses techniques-

Ceci dit il peut arriver qu’il n’y ait qu’ une grosse broche scellée en guise de rappel sur certains sites …
Donc dans ces cas il peut etre bon de priviligier un rappel plutot qu’une moulinette…

Il faut s’attendre à quelques « imprevus » d’une maniere generale…

Bonne grimpe dehors (c’est quand meme autre chose qu’en SAE )))

Posté en tant qu’invité par J2LH:

dan a écrit:

Je voulais dire par là que je reproche à certains clubs (pas
tous) une approche trop scolaire de l’escalade et de la
montagne en général (à mon goût, je ne veux pas généraliser).

Je ne pense pas que ce soit le cas du CAF, du moins pas celui d’Annecy où on pousse plutôt les gens vers l’autonomie.

Posté en tant qu’invité par Phil:

J2LH a écrit:

Pour ce qui est de grimper en tête au CAF il faut effectivement
arrêter de le dire puisqu’on les fait grimper en tête dès la
deuxième séance.

Et c’est comme ça que tu passes, casqué, une 7a en SAE après 2 ans de pratique ?..
Merde, ben j’aurai dû m’inscrire au CAF…

Posté en tant qu’invité par J.Marc:

Quelques remarques.

Apprendre à grimper seul en falaise, c’est évidemment possible, il y a de bons bouquins, mais ça augmente fortement les risques d’accidents par fausse manip… sans apporter grand chose en retour, si ce n’est une pointe d’orgueil.

Il est nettement préférable de se faire initier par des grimpeurs expérimentés. Si vous avez des amis qui peuvent s’en charger, c’est tant mieux.

Sinon, les clubs permettent de le faire pour pas cher. Et en prime, tu t’y feras un carnet d’adresses, qui te permettra de grimper dès que tu seras libre, sans que ton pote le soit… Toujours être tributaire de la même personne n’est pas le bon plan. Libre à toi, après, une fois autonome et connaissant plein de grimpeurs, de quitter le club.

A propos du CAF : il n’y a pas un club CAF, mais plus d’une centaine, et ils sont très différents de l’un à l’autre : aucune généralisation possible. Près de chez soi, il faut essayer de se renseigner sur tous les clubs qui font de la grimpe, et choisir entre autres critères selon l’ambiance, plus que l’étiquette.

La mode actuellement dans les clubs, c’est l’apprentissage à l’autonomie rapide (en tête évidemment), CAF ou pas. Attention aux pré-jugés qui datent… et aux exceptions qui confirment la règle !