De la difficulté à trouver un partenaire motivé

Ou le vaccin.
J’ai un ami qui a des pbs d’érection depuis la 3eme dose.

Oui, mais dans ce cas là, il faut être ouvert. Faire des courses avec le maximum de gens, sans sélection drastique, adhérer à des clubs, participer à des évènements, faire des stages. Et on fini par trouver 2 ou 3 copains/ines pour vraiment partager des projets.
Commencer par faire la liste des gens que l’on ne supporte pas n’est pas la meilleure manière de trouver des partenaires :joy:

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Après faut regarder dans ses collègues (de boulot, d’études). Même à Paris il y en a forcément. Même si c’est sans doute plus simple à Annecy, Grenoble, Lyon…

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Mais peut-être que les jeunes d’aujourd’hui sont différents ?

En terminale, j’ai intégré le club alpin de ma ville pour pouvoir grimper plus (2h avec l’AS + 2h au CAF). J’étais alors la plus jeune et n’étais accepté (d’un point de vue responsabilité) que parce que mon père venait avec moi avant que j’ai 18 ans (bon ça le faisait grimper un peu ce qui n’était pas une mauvaise chose non plus). Je participais également aux réunions de préparation des sorties les vendredis soirs (même sans faire les sorties, de toutes façons le « taxi » étant encadrant, il y passait). C’est avec cette équipe de « vieux » (35-65 ans) que j’ai fait ma première course d’arêtes (enfin la moitié, il y avait de l’orage). Un WE à Buis les Baronnies, l’aînée du groupe devait bien avoir plus de 3 fois mon âge, grimpait dans mon niveau et faisait des marathons (en plus d’être sympa).
Depuis, j’ai participé à rajeunir un peu le club, et j’y suis restée très attachée (même aux « vieux »).

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Ben écoute, si tu te mouilles, même pas trop ( c’est pas moi qui le dis)… tu sais qu’il existe des couches pour les vieux ?

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Bon courage pour la découverte de la vie
Trouver la personne idéale (sport, amour, boulot, amitié…) c’est un peu le but de notre existence.
Je ne sais pas s il existe un mode d’emploi

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Non il n’y en a pas. Tout se fait par le fameux hasard des rencontres.

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Yakademander

Donc fais confiance au hasard des rencontres. On a souvent de bonnes surprises.

Meme toujours, c’est une sorte de règle, lorsque l’on cherche, on trouve.

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je ne veux pas être pessimiste mais avec une mentalité de « vieux con » à 19 ans tu vas avoir des difficultés…

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L’autre question qu’il faut se poser, c’est, quel est ton niveau pour entraîner, influencé peut être, d’autres jeunes !! tu grimpes sur Paris ? en SAE ? un peu sur FB peut être ? tu compte partir faire de l’alpinisme ? avec quelques bagages de plus j’espère !! sinon, vous allez en faire des kilomètres en hélico (assis j’espère).
A moins que vos périples se résument à faire griller des chamallows accompagnés de quelques cigarettes et quelques bières autour d’un feu de camp !!

un vieux

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Bonjour, 2 choses :

  • on apprend des vieux
  • soit un peu plus ouvert sur tes semblables

Inutile de tomber dans les invectives. Même si sa demande peut ne pas plaire aux vieux (cons ou pas), c’est tout à fait compréhensible qu’il souhaite rencontrer plutôt des gens de son âge. En tout cas c’est son envie et c’est tout.

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Le matériel est prêté,le guide de HM est compris dans le prix,sinon le CAF peut aussi être une solution

Perso je n’en connais pas beaucoup des jeunes de 19 ans qui ont le temps, l’argent et le bagage nécessaire pour pratiquer en toute sécurité.

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Les étudiants dans des branches où on peut se permettre de ne pas bosser 27h/24 pour réussir un concours ou examen, et avec des parents derrière qui aident.

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On est d’accord, donc ça ne doit quand même pas courir les rues.

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Quand on est basé loin des sites, passer par un projet c’est effectivement une bonne idée, et ça permet même de faire l’économie de l’amitié au départ.

Le projet tire le besoin de se renseigner, le besoin de progresser dans divers compartiments, d’accumuler de la pratique ou de l’entraînement en commun.

Au départ, il faut quand même la rencontre de ces envies de projet… et en région parisienne ça peut passer par des sorties club, des contacts à Bleau… Un peu de mal à croire au « coup de foudre immédiat » quand même ou à la « rencontre » en ligne:
Il y a forcément une phase où on se jauge un peu mutuellement, évoquer l’envie de faire tel ou tel type de projet, laisser venir un peu, définir un ou plusieurs projets possibles, en choisir un, jauger des capacités et la volonté réelle d’y aller… puis une fois décidé il ne faut plus douter: en fin de préparation il restera à chacun des forces et des faiblesses (par exemple l’un plus teigneux / persistant dans le crux, l’autre plus capable de s’engager dans le facile et d’aller vite…) mais faudra faire avec. C’est bien quand même quand les niveaux sont à peu près comparables: c’est agréable de partir dans des niveaux un peu dans le haut de ses possibilités, en sachant que tout ne repose pas sur le plus fort.
Une fois le projet défini, il aide aussi à « justifier » le volume de pratique en amont sans se poser de question ; plus facile de faire passer la pilule à ton éventuel entourage : « je ne vais quand même pas me lancer dans XXX cet été sans avoir mis toutes les chances de mon côté ! » : du coup, sorties en falaise, séances de volume en salle, quelques WE en montagne, voire des exercices techniques, pourquoi pas chronométrés (manips, artif, …)

Quand on habite quasi sur site, c’est différent car la proximité permet de se constituer une base de connaissances, et de décider au dernier moment en fonction des dispos et envies réciproques, et au bout d’un certain temps si l’envie est vraiment là, ya pas de raison de ne pas se retrouver régulièrement avec un ou des partenaires motivés. C’est beaucoup plus fluide, et en fonction de l’importance de sa passion… certains (beaucoup?) ont choisi leur lieu de résidence en fonction ! Ça reste une option.

En option intermédiaire : basé loin des sites, être prêt à sauter dans le TGV pour partir en montagne pour un oui ou pour un non, sur une recherche de partenaire en ligne (ex: C2C): certaines expériences seront bonnes, et d’autres moins bonnes.

Et si tu survis à tes partenaires de rencontre, ça peut donner aussi.

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