Posté en tant qu’invité par LBO:
rien à voir (sans vouloir être brutal)
Les titres sont des éléments très pariculiers, et si tu regardes les traductions des films par exemple, la traduction du titre, aussi fantaisiste soit-elle, ne préjuge pas de la qualité de la VF ou des sous-titres (qui eux sont souvent catastrophiques, parce qu’il manque la moitié du texte, les gens ne savent pas lire vite…)
Quelques exemples de titres traduits de façon très libre en français :
A bug’s life ------- 1001 pattes (faut le faire, non ?)
Trading places – Un fauteuil pour 2 (la notion d’échange est transformé en conflit)
From here to eternity ---- Tant qu’il y aura des hommes
A beautiful mind — Un homme d’exception
Même chose dans les titres de presse. La langue anglaise permet des constructions strictement impossible à traduire, en tout cas pas par une phrase susceptible de constituer un titre accrocheur.
Alors chipoter entre « Ma vie à la verticale » et « Ma vie dans le monde vertical »…