Posté en tant qu’invité par Francois:
Moi qui en chie dans le 3+ (ça existe?) j’ose à peine montrer le bout de mon nez…
Posté en tant qu’invité par Francois:
Moi qui en chie dans le 3+ (ça existe?) j’ose à peine montrer le bout de mon nez…
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Une petite suggestion : la « Voie Normale » à la Martinswand (Hautes Vosges), 3 longueurs aériennes : 3b, 3b, 3c (autrement dit 3+) ; si tu en sors vainqueur, cerise sur le gâteau, une 4ème longueur facultative au nom évocateur de « Mummery », une fissure en 4a, t’amènera au sommet même de la Martinswand ; évidemment, si tu es limite dans le 3+, je te conseille pour cette sortie extrême un entraînement spécifique, style le Nose en libre.
Sans rire, malgré sa facilité, cette voie est superbe, et a suscité bien des vocations chez les nord-estiens.
Posté en tant qu’invité par Francois:
« Sans rire, malgré sa facilité, cette voie est superbe, et a suscité bien
des vocations chez les nord-estiens. »
J’y suis d’autant plus sensible que c’est à la Martins’ que j’ai fait mes premiers pas en escalade alors que j’étais étudiant à Strasbourg. Il y a déjà un certain temps…le temps passe, le temps passe…
Posté en tant qu’invité par Etienne:
Et au moins là ça ne patine pas…
C’est toujours sur coinceurs?
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Et non, la Martins’ a subit un gros lifting dans les années 80/90 : il y a des spits partout…
Heureusement l’espacement reste raisonnable - style grande voie moderne - et il est judicieux de rajouter par-ci par-là quelques coinceurs.
Pour les fanatiques du terrain d’aventure, on peut toujours parcourir quelques itinéraires vierges de clous - mais aussi de brossage : la mousse ça glisse…
Si certains dimanches il y a de quoi s’affoler quand des dizaines de cordes vous tombent sur la tête prêtes à mouliner des paquets de chair, ce site reste un lieu privilégié pour l’apprentissage de l’escalade en cordée, avant d’affronter les terribles Alpes voisines.
Attention tout de même à la météo : par 2°C dans le vent et le brouillard en juillet, ça ne rigole pas… mais quel plaisir d’y mouiller le T-shirt en février, lors d’une inversion de température, quand tous les strasbourgeois ou autres colmariens se les caillent dans la purée de poids…
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Moi c’est l’inverse : je suis arrivé à Strasbourg après mes études. Bon, ça date aussi un peu…
Sans oser te demander ton âge, aurais-tu connu un certain Bernard G., strasbourgeois de souche, et inconditionnel de la Martin’s depuis plus de 40 ans ?
Posté en tant qu’invité par Eric:
Je suis d’accord avec olivier.
Je suis bien loin du 7a mais j’ai peu de plaisir a faire des voies qui sont largement en dessous de mon niveau.
Posté en tant qu’invité par Eric:
Tant qu’a faire la tarte au mirtille en haut des ecrins…