Crowdfunding et financement de C2C

#12

Oui, mais j’ai déjà eu plusieurs fois des problèmes en voulant faire des dons ( j’arrive pas à accéder à helloasso juste là, encore une fois -.- ).

C’est pas la première fois que j’essaie pourtant et que ça me bloque l’accès ( donc ça ne dépend pas que du pays ) -> connexion pas sécurisée ça écrit là ( je ne sais pas ce que c’était le problème la dernière fois, pareil ? )

Y aurait pas moyen de proposer d’autres manières de payer ? ( Car si ça me le bloque, je ne pense pas être le seul dans ce cas, et en général ça peut vite décourager ). C’est peut être la faute à certains téléphones ? ( Je suis pas pro d’informatique ).

Pareil si je veux être adhérent je crois.

*Dans le cadre de l’utilisation de réseaux publics, nous vous préconisons d’utiliser un VPN (avec une adresse IP située en France).

Un VPN est un “réseau privé virtuel” : il permet de protéger votre connexion internet et de protéger votre confidentialité en ligne. Nous vous conseillons d’en installer un et de sélectionner une connexion française*

-> mais j’ai pas envie, et Swisscom c’est censé être safe quand même ? => Des les faits, j’ai aucun soucis avec d’autres sites que helloasso

#13

Pas de prb avec des sites sur lesquels tu fais des paiements en ligne ?

#15

En plus d’être contraire aux statuts de l’association comme expliqué plus haut, c’est incompatible avec l’intérêt général obtenu il y a quelques années et qui fait que les dons sont déductibles à 66% (en France, et avec un plafond).

1 Like
#17

Facile à dire vu de l’extérieur

Qui est volontaire ?
Entre la recherche de mécénat auprès des entreprises, d’adhésion et dons auprès des contributeurs et autres actions, je commence à être découragé de brasser du vent pour rien :frowning:

je veux bien connaitre la recette pour convaincre ?

2 Likes
#19

J’allais poser la question. Par curiosité, comment procèdent ceux d’en face ?

#20

Tu connais le boulot que cela représente pour avoir trempé dedans mais la majorité des contributeurs l’ignore.

Même dans le cas précis de « la mobilité douce », les entreprises ne lâche pas un centime. C’est du vécu actuellement.
Où alors notre méthode d’approche des entreprises est mauvaise !

#21

C’est partout pareil : les mairies non plus, la plupart des élus n’ont pas encore compris l’intérêt de la mobilité douce (et puis surtout, ça les obligerait à réfléchir à leurs utilisations personnelles de la mobilité).
Il faut beaucoup de persévérance.

Bernard

2 Likes
#22

bien ça se comprend également, on voit bien que la plupart des salariés dans les entreprises ont des difficultés pour se véhiculer, et quand ils utilisent les moyens de transports collectifs, c’est souvent l’enfer.
Alors offrir des facilités pour une activité de loisir au plus petit nombre, ça peut agacer, quand on ne peut pas améliorer la situation de nos propres salariés.
Ce sont les régions qui devraient réfléchir à cela, et je vois bien que les activités touristiques sont le dernier soucis des métros qui prévilégient plutôt l’accès à l’emploi et demandent aux stations de ski d’assurer leur propre désserte car ce sont des usines à cash.
il y a un principe en droit administratif d’un traitement équitable des administrés également devant leurs charges et ça peut se comprendre qu’on ne puisse pas faire supporter à une collectivité, des tours de maneige à quelques personnes qui ont envie de prendre du bon temps.
Ce serait plutôt aux demandeurs de ses services de mettre la main à la poche, et si ils ne le font pas, tant pis pour eux, moins de loisir, ça arrive.

#24

La société est constituée d’individus et aussi d’entreprises. Tous doivent participer à la construction sociale, et non se contenter de s’occuper de leur propre existence. Plus on incite chacun à se renfermer sur lui-même et à s’occuper seul de ses problèmes, moins on arrive à mettre en œuvre de solutions. Chacun dans son coin, on ne peut pas mettre en place de transports en communs, ni même de covoiturage. Par contre, chacun peut agir pour demander et aider ceux qui ont le pouvoir, aussi bien les élus que les chefs d’entreprises, à mettre en place des solutions dans l’intérêt de tous.

Bernard

#25

mais combien coute le projet? je n’ai rien vu dans la présentation du dossier au niveau de l’enveloppe financière

#26

oui bien pourquoi ne pas voir les régions et les départements, c’est à eux d’organiser la politique de transport et de définir le budget qu’ils mettent dedans, et c’est vrai que dans un pays comme la france, où les services sont développés à l’excès par l’état, ça ne fait qu’augmenter le coût au près du contribuable. Autant pour le ski, ça se comprend, ça amène plein d’argent dans les caisses de l’état, autant les activités de loisir hors saison, c’est déployé des moyens financiers disproportionnés au regard de la très faible quantités d’usagers qui recherchent en plus la solitude.
il y a toujours le taxi et le covoiturage, ça parait plus dimensionné au nombre d’usagers concernés.
je fois que le caf a des plaintes de ses usagers au sujet du prix de la journée raquette, et ils rejettent la faute sur la mauvaise négociation du cout de location des bus ou du mauvais remplissage, alors que c’est une activité qui regroupe déjà un certain nombres d’usagers certains vers la même destination, alors faire du transport collectif pour une occupation aléatoire et incertaine des bus…

#27

Le projet mobilité douce, c’est à la grosse louche 100 000€ pour débuter

#28

Pour moi, il faut mettre le paquet pour favoriser les dons réguliers : un utilisateur a la flemme d’aller sur helloasso et rentrer les infos bancaires. S’il doit le refaire chaque année, c’est autant de pertes en route. Aussi (dsl c’est trop tard pour cette année), il faudrait faire un message au moment de la déclaration d’impôt en mode « vous avez déclaré vos dons C2C ? ils sont déductibles! ».

Aussi, pour que ces communications soient plus marquante et pour attirer l’intérêt des entreprises mécènes, il faudrait être plus présent sur les réseaux sociaux, en partageant aussi du contenu intéressant (issu du topoguide) et en interagissant. Je ne le fais plus.

3 Likes
#29

Helloasso envoie un mail automatiquement à ceux qui ont fait un don/adhésion (reçu le 11/04 pour ma part).

2 Likes
#30

oui enfin ça rentre dans le bilan comptable de 2023, donc il faut que ce soit comptabilisé en 2023, le meilleur moment pour les entreprises, c’est novembre décembre, car elles ont la visibilité sur leur résultat, et elles savent si elles ont surperformé ou si elles sont dans le rouge.
en début d’année, on définit des objectifs, mais il n’y a qu’à l’issu qu’on sait si ils sont atteints ou non.

#31

Evident mais toujours le même problème :
Manque de bras pour gérer et suivre nos réseaux sociaux

Appel aux bonnes volontés

#32

Bien j’ai du mal à saisir en quoi une activité gratuite (extrêmement peu coûteuse) par rapport à la majorité des autres activités sportives,peut générer une envie pour une entreprise d’investir de l’argent, en dehors de se faire une notoriété en affichant le logo camptocamp, mais pour séduire quelle clientèle?
L’alpinisme concerne une infime minorité de pratiquants et personnellement, je sucite nettement plus la sympathie et les fous rires de mes clients en racontant mes aventures en montagne qu’en indiquant adhérer à un site d’alpinisme.
Si les alpinistes sont porteurs de ces valeurs, dont ils sont les seuls bénéficaires, demander une collecte de 2 à 10 € par personne, c’est rien. viso rando c’est 25 euros par an pour 2 millions d’utilisateurs.
J’avoue qu’en dehors de la sympathie que j’ai pour le site, ces besoins me dépassent, et je ne me sens absoluement pas concerné par cette demande. Les entreprises ont aussi des obligations de réduction de leur dépense d’energie avec des travaux très lourds à engager pour les surfaces tertiaires supérieures à 1000m2. Donc faire économiser du co2 pour quelques grimpeurs éparpillés dans toute la montagne, je ne me sens pas concerné, et je ne vois pas en quoi mes clients grenoblois auraient la moindre sensibilité dans un type d’action là-dessus.
La majorité des français a connu une énorme inflation du cout de l’énergie que ce soit pour le transport ou se chauffer, alors venir en aide à des gens qui ont le temps d’aller grimper pendant les autres n’arrivent pas à finir leur fin de mois… si les alpinistes n’arrivent pas à payer pour leur propre besoin, je dirais tanpis.
Et de ce que je compense à comprendre, cette pratique de la montagne est plutôt solitaire ou en quête de solitude, alors pourquoi demander aux voisins d’aider des gens qui veulent vivre seuls.
Il y a toujours le caf pour les gens qui veulent mutualiser les moyens de transport.

#33

C’est quoi la différence entre mécénat et Pub ? le choix de l’assoc est de faire peu voire pas de pub malgré la fréquentation du site. Pourquoi du mécénat c’est mieux ?

#34

le mecenat permet aux entreprises de donner beaucoup d’argent sans que ça ne leur coute, car on peut déduire 2/3 des impôts sur la société du fait que camptocamp est reconnu d’utilité publique, donc l’effort financier pour l’entreprise est minime, donner 1000€ pour une entreprise, c’est de se priver au final que de 150 € de distribution de bénéfice une fois tous les impôts payés, cependant, quelle entreprise en dehors d’être dingue d’alpinisme aurait besoin de porter les valeurs de camptopcamp pour développer son chiffre d’affaire, ou son réseau? c’est ce qu’il faut trouver…
peut-être les fabriquants de matériels dédiés à la pratique

#35

Oui, du point de vue entreprise. Mais du point de vue C2C ?