Oh !! mon couteau à saucisson ! 
Couteaux de falaise
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voilà, quand t’as fini le saucisson tu peux utiliser sa cordelette comme ficelou 
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Oui j’ai toujours un couteau sur mon baudard. Mais c’est le micro truc de chez trango.
https://www.auvieuxcampeur.fr/piranha-couteau.html
En cascade, avec les gants c’est un peu compliqué :-). Surtout quand tu viens de faire 10 mètres en traversée dans une pente de neige pourrie. Tu as envie de te sécuriser un peu avant de couper les vieilles merdes…
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ça pas l’air pratique ce truc. Le couteau Petzl est super. (par contre celui d’Edelrid est pourri).
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20g contre 43g pour celui de Petzl qui a l’avantage de pouvoir s’utiliser facilement avec des gants où à une seule main (pas tester avec une seule main gantée par contre).
C’est surtout qu’il est à demeure sur mon baudard, accroché au maillon rapide.
Mais vi, la prochaine fois en cascade, je prendrais mon couteau à saucisson (le petzl). Mais dans le cas que j’évoquais, c’étais la première fois (et la seule) où il était vraiment impossible de se vacher dans les points. En général c’est possible. Et là, on peut enlever un gant pour couper les ficellous pourris.
PS pkoi il est pas bien le edelrid ?
je ne crois pas que tu m’aies répondu :
- le trou pour l’accrocher est plus petit et le couteau est plus large à cet endroit que le spatha (moins adapté à certains mousquetons)
- la lame est longue et le manche assez court ce qui fait qu’il n’est pas ergonomique
- le manche n’a pas vraiment de grip, c’est du plastique dur
- Il coupe pas bien
- le mécanisme de fermeture est dangereux (le cran d’arrêt fonctionne mal, le couteau se ferme sans crier gare).
Un test:
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Y’a un truc qui m’interpelle vraiment : « Plus, the Piranha has one feature that no other knife could match — a bottle opener for popping open a summit beer. »
Sans déconner, ouvrir une bière avec une lame, c’est vraiment à deux balles. Surtout des lames larges comme celles de ces couteaux.
Par contre, avec aucun de ces couteaux, tu ne peux ouvrir une bouteille de rouge. Avec un Opinel, tu peux. Et la bière, et la corde, et la sangle, et le rouge, et le saucisson… Noté 92 dans ce test, mais y-z’ont pas osé publier car l’Opinel n’était pas assez cher.
- le trou pour l’accrocher est plus petit et le couteau est plus large à cet endroit que le spatha (moins adapté à certains mousquetons)
Admettons même si à l’usage ça me choque pas.
- la lame est longue et le manche assez court ce qui fait qu’il n’est pas ergonomique
là j’ai pas compris
- le manche n’a pas vraiment de grip, c’est du plastique dur
Effectivement, mais ça ne me gènerait pas s’il y avait un bourrelet qui protège le glissement vers la lame, dont l’absence est bien plus gênante
- Il coupe pas bien
Le mien ne m’a jamais fait défaut là dessus… en tout cas pour les cordes…
- le mécanisme de fermeture est dangereux (le cran d’arrêt fonctionne mal, le couteau se ferme sans crier gare).
Pour moi c’est plutôt le contraire le soucis. J’ai jamais eu de soucis avec la sécurité couteau ouvert, par contre ça m’ennuie plus qu’il ne bloque pas en position fermée.
On peut avec un Opinel ? Explique, ça m’intéresse !
Faut un numéro 8. Le 9 est trop gros.
Tu plantes la pointe dans le bouchon, le fendant en entrant dans le goulot. Ensuite tu tournes en sortant bouchon et lame. Inutile de dire que ça dépend un peu de la qualité du bouchon. Appris aux Glénans.
Merci, je vais essayer à l’occasion !
Dos de la lame bien calée le long du goulot…
C’est vieux pour moi. Je réessaierai aussi à l’occasion. Ça fait son petit effet. (Moins que le top rope solo il faut reconnaître
Ouvrir une bouteille avec sa chaussure aussi.
Faut aimer la lie.
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Comment ??
C’est assez compliqué comme truc, il faut un certain doigté, trouver la juste nuance entre précision et finesse.
Tu cales le cul de la bouteille dans la chaussure, là où tu mets le talon. Tu tiens la bouteille et la chaussure ensembles, pour que ça ne forme plus qu’un élément.
Puis tu cognes le sol comme un sourd plusieurs fois. Le bouchon sortira suffisamment pour le finir à la main.
Et je ne pense pas être hors sujet. Test et résistance des matériels usagés : une bouteille de 2016 c’est assez usagé, je ne parle même pas de la semelle de la pompe; la résistance de la bouteille (ou du sol) peut se mesurer facilement. 3 coups ça résiste, 7 c’est tout pété et la chemise est noyée dans le vin. Je ne parle même pas de la main encore plus usagée, baignant dans son sang s’il y a un raté.
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Le problème de ces couteaux : impossible, ou très compliqué à affuter.
Un couteau de qualité dure plusieurs vies mais il faut l’affuter régulièrement (et donc soi même). Ces 4 couteaux sont donc plus ou moins des couteaux jetables. J’en ai 2, un Peztl au fond d’un bidon de canyon et le Trango au fond de la pile de matos. Mais, je regrette ces achats pour « faire bien » parce que ça existe et que c’est vendu.
Pour couper un bout de corde tous les 5 ans, ou même tous les ans, ça fait le job. Mais c’est tout de même moyen d’acheter un couteau pour seulement faire cela. Ces couteaux n’étant pas affutables aisément, ils ne pourront pas faire grand chose d’autre. Au premier coup dans un piton, une plaquette, sur le rocher, ils seront tout de suite moins efficaces et pourront aller à la poubelle (hormis le Petzl ayant une bonne part de lame droite).
L’autre pb : le prix. Ca me semble cher pour ce que c’est.
En escalade, j’ai donc un tout tout petit opinel accroché au baudrier (cordelette 1mm passé dans un trou percé ds le manche et tape pour empêcher l’ouverture). Pour l’alpinisme, un opinel plus grand permettant d’être manié avec des gants. En canyon, je préfère le Petzl à cause de l’eau.
J’affute « régulièrement » sur pierre ces couteux, ainsi que le couteau suisse avec tirebouchon des bivouac de bord de route. Pour qu’un couteau coupe bien et longtemps, il suffit de l’affuter régulièrement et que le couteau soit affutable facilement.
A la maison pour des couteaux de qualité, je suis en Wüsthof, 
dont je finis l’entretien sur cuir.
j’ai aussi vu une vidéo qui montrait ça y’a quelques années.
J’ai testé chez un pote en collocation. Le bouchon est rentré dans la bouteille.
J’ai dû repeindre le mur.
Le guide que j’ai eu dernièrement à l’UCPA avait le sien depuis 25 ans. Pas si mal pour du jetable.
Tu peux affûter la lame avec un petit fusil diamant sans problème. Les dents sont peu dessinées.
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Tu n’as du affuter souvent de couteau pour écrire cela.
Sans être un maniaque, je finis ce type de couteau avec un grain de 3000. Pour les couteaux de cuisine, je monte à 8000 et au cuir.
Un fusil ne sert pas à affuter mais seulement à redresser le fil. Redresser le fil sur une lame crantée, j’attends de voir.
Il est effectivement possible d’affûter des larmes crantées (par exemple les couteaux à pains de qualité) mais c’est très compliqué !