On peut le faire (à la louche) mais faut-il un champ de plus pour ça?
Et pus après il faudrait aussi différencier le hiors sentier bien balisé du hors sentier peu balisé voire pas du tout balisé…
Et dans le pas balisé il ya les cas où ça en pose pas de pb car on voit bien le cap à prendre et que ça passe partout et le plus problématique où il faut étudier le terrain, voire déjà connaître l’endroit pour ne pas se fourvoyer.
Cotation Randonnée sur c2c
Avoir un chant inciterait plus les gens à le renseigner. Pas 100% obligatoire.
Je suis aussi pour comme déjà écrit de différentier le hors sentier balisé ou évident du hors sentier non balisé avec recherche d’iti.
J’avais fais une proposition qui avait l’avantage d’être simple. Si ça peut vous donner des idées …
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"Proposition de cotation randonnée :
A - Parcours sur sentier totalement balisé pouvant être réalisé sans carte.
B- Parcours sur sentiers balisés ou non balisés nécessitant une carte.
C - Itinéraire totalement ou quasi totalement hors sentier, ou il est nécessaire de s’orienter et de choisir au mieux son chemin, mais qui ne présente pas de difficulté autre que la progression en terrain naturel (pierriers, végétation, petits ruisseaux à traverser, etc, …)
D - Itinéraire sur sentier et/ou hors sentier exposé mais sans passages techniques et/ou engagés.
E - Parcours présentant des passages techniques engagés (escalade facile, pentes raides, …), pouvant être exposé, sur sentiers et/ou hors sentier.
Remarques :
Hors terrain glaciaire
Conditions estivales (l’itinéraire le plus facile peut devenir difficile et technique avec la présence de névés durcis)."
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Ce que je souhaite mettre en évidence, c’est que chaque précision est un principe d’exclusion. Dès que tu définis un critère, tu exclus tous les itinéraires qui ne répondent pas à ce critère (*).
C’est ainsi que la cotation actuelle exclue de nombreux itinéraires qui ne trouvent même pas place dans le périmètre de la cotation, ou les frontières entre les niveaux sont complètement floues, tant il y a de critères différents et contradictoires qui se croisent.
Par ailleurs, il est toujours possible (souhaitable?) de préciser les difficultés par les exemples référents et les descriptions des itinéraires.
(*) Ça me fait penser à un principe que doivent souvent rencontrer les informaticiens, par exemple lorsqu’ils créent un site. L’importance de bien couvrir toutes les cases, que tous les utilisateurs du site puissent se retrouver dans le cheminement. Ça nous est tous arrivé d’être sur un site mal fichu, sur une page de questionnaire ou l’on ne sait pas quoi répondre car notre situation n’a pas été prévue.
Est-ce que le plus efficace ne serait pas plutôt des exemples argumentés comme pour la cotation alpine globale ?
A mon avis si, mais il en faudrait beaucoup pour bien différencier T4/T5 et T5/F. Dans ce dernier cas il y en a déjà: Néron en T5/F, Coolidge seulement en F, mais il en faudrait plus.
Des exemples référents serait une très bonne idée. Mais pas besoin de beaucoup. Il suffirait de qq exemples judicieusement choisis pour chaque niveau.
Bonjour,
Sur OpenTopoMap, quand c’est renseigné (pas très souvent dans les zones où je pratique), le niveau T2, T3, T4, est indiqué pour chaque portion de segment. C’est précis, mais ce n’est pas forcément très pratique, parce que dans certains cas, on repère un sentier indiqué T2, on ne pense pas à suivre tout le détail sur la carte, et on découvre que sa difficulté varie plus loin à T3 ou T4, sans qu’il y ait de bifurcation permettant de rester sur le niveau qu’on avait choisi.
Bernard
Mais dans différents massifs (Pyrnées, Alpes du S, du N, Suisse, Italie, …) pour avoir plus de chance qu’un utilisateur en connaisse qq uns.
Ca ne me gêne pas d’avoir une vingtaine d’exemple par niveau.
Ca fait une décennie qu’il y a plusieurs dizaines d’exemples de référence sur différents massifs et pays dans l’article définissant la cotation randonnée.
Je lirai le reste plus tard, mais à rajouter des champs supplémentaires perso je les zappe de plus en plus. À vouloir trop bien faire, trop exhaustif, on verra apparaître des sorties très bien renseignées (super) mais à mon avis une majorité de sorties type « croix » sans rien d’autre parce-que trop rebutant.
Puis pour le lecteur ça commencera à piquer les yeux, il n’y a qu’à voir à quoi ressemblent les sorties ski de rando avec tous les détails de la neige tous les 100 m … À discuter à mon avis sur le coin du contributeur.
20 ça me parait beaucoup. Mais environ 4 pour chaque niveau, ça serait pas mal. Et comme tu dis, par massif (Écrins, Vanoise, Mt Blanc etc. liste non exhaustive !).
D’autre part, aller chignoter dans les détails n’apportera rien, à mon avis, sauf que ce sera rebutant à lire (et à remplir).
Il y a déjà entre 5 et 10 itinéraires référence par niveau dans la cotation randonnée depuis une décennie.
D’accord, mais c’est très axé « autour de Grenoble » en général.
Il manque un exemple T1 en Suisse, je proposerai bien :
https://www.camptocamp.org/routes/904279/fr/col-de-torrent-versant-e-depuis-moiry
Des avis ?
As-tu lu l’aide ? Il y a des exemples dans les Pyrénées, les Vosges, le Mont Blanc, en Italie, en Espagne, en Suisse.
Les itinéraires grenoblois sont minoritaires.
A l’instar de la discussion sur la cotation risques objectifs, « on » demande souvent des chose qui existent depuis longtemps. Le problème est avant tout de faire vivre l’existant et donc également de prendre connaissance de ce qui existe.
On voit dans cette discussion que le T3, T4, T5 n’est pas la même chose pour tout le monde, qu’il y a une grande variété de terrain/difficulté qui correspondent à la même cotation. Pour illustrer tout ça, il me semble utile d’avoir plusieurs exemples pour chaque niveau, et pour chaque ensemble de massif. On arrive vite à 15-20 exemples par niveau.
Intéressant, mais quand il y a plusieurs départs ou des variantes (typiquement départ de la vallée ou d’un parking 500m plus haut), la proportion va varier, il faudra préciser depuis quel départ et par quelle variante.
Cette info peut déjà être mise en remarque.
Tout comme la qualité du terrain : je met déjà en remarque si le sentier est mou ou casse-patte, roulant ou raide, etc. Infos utiles quand on souhaite minimiser les chocs à la descente.
Ça manque en T4. Seulement 5 dont 3 dans les Pyrénées. Et aucun que j’ai fait donc ça m’aide pas trop.
Quelqu’un pourrait-il rappeler sur quel base de projet l’on discute actuellement? Pour recentrer pratiquement le débat.
Un point qui me semble important : distinguer « Exposition » et « Technicité » : Un itinéraire peut être facile et exposé sans être technique. Un autre sera exposé (engagé?) avec des passages techniques.
A mon sens, c’est ce qui doit distinguer les niveaux T4 et T5 dont la frontière est trop floue pour l’instant.
En rando je pense que la cotation doit tenir compte du facteur risque de vertige qui est quand-même assez proche sans être totalement identique au facteur exposition