Je connais au moins une personne qui fait 7b+/c régulièrement sans jamais avoir fait de muscu, et en ayant commencé l’escalade « tard » (milieu / fin de vingtaine). Pour le niveau max que quelqu’un pourrait atteindre théoriquement grâce à une sorte d’entraînement parfait, il y a un plafond génétique c’est certain, mais pour la plupart des gens ce plafond est plus haut qu’ils ne le croient. Il ne faudrait pas négliger les autres facteurs, l’un des plus importants à mon sens étant l’intention mise dans la pratique. Si l’on est content de son niveau pour et que l’on ne cherche pas particulièrement à s’améliorer, on va forcément atteindre un niveau moins élevé que si on grimpe, au moins de temps en temps, avec l’intention de s’améliorer, ce qui implique d’être analytique dans sa grimpe et d’aller essayer des voies dures (voire très dures) pour soi. Pratique 100% à vue ? Après travail ? Combien de séances dans une même voie ? Acceptation de (beaucoup de) chutes ? Couenne ou GV ? Tout ça joue énormément. Bref on s’éloigne du sujet, même si des réponses ont déjà été apportées.
Conseils muscu pour progresser en escalade!
évidemment, la muscu en est 1 parmis 50 autres. Pas une raison pour le négliger.
D’autant que c’est un truc que tu peux faire peinard chez toi, quand t’as juste 30 minutes et qu’il pleut dehors.
Merci à tous pour vos réponses, c’est super cool d’avoir autant de retours 
Je vois que la majorité conseille de « juste grimper » au début, et franchement ça me rassure pas mal.
Je vais donc y aller tranquille, me concentrer sur la technique, la souplesse et le gainage, sans vouloir forcer comme un bourrin dès le départ, avec les conseils muscu de l’atelier gym
Et intégrer un peu de course à pieds pour améliorer ma forme générale
Encore merci à tous, ça motive grave pour la suite ! 
Oh, je fais ça aussi, parfois, quand je rêve toujours à 2 bras (mais plutôt sur des beaux murs à réglettes bien abrasives, chacun ses fantasmes).
Si tu veux, mais surtout, je dirais…
Concentre toi sur Le PLAISIR !
Mais après ça tu étais bien plus light ! C’est ça ton secret.
Pas sûr que ça soit vrai pour les amateurs. Pour les pros, je suis d’accord, car les marges entre les participants sont bien plus fines. Mais pour les sportifs amateurs, c’est plutôt l’entraînement (qualité et quantité) et la motivation (qui influence évidemment la qualité et quantité d’entraînement). Et évidemment le temps et l’énergie libre.
J’ai ouï dire qu’en fin de compte, en escalade, gainages et doigts seraient les muscus essentielles.
la force joue beaucoup dans la grimpe. T’as de jeunes, en 4 séances ils sont meilleurs que moi qui grimpe depuis 5 ans.
La force vient de l’entraînement.
C’est vrai que je n’ai pas inclu l’âge dans les critères.
En partie. T’as des gens qui sont naturellement forts, et d’autres naturellement faibles.
C’est un leurre de croire qu’avec de l’entraînement n’importe qui peut devenir bon.
Ça depend de ce que tu entends par « bon ».
« When you’re climbing 9a, you’re an accomplished climber »
A.Ondra.
Ce qui ne veut pas dire que faire du 8a n’est pas être un bon
Donc un niveau 9a est suffisant mais pas nécessaire. Je pense que même un grimpeur de 7 en falaise peut être considéré comme « bon ».
Bravo !
(sincèrement)
7a ou 7c+ ?
Disons 7b, ou alors 7a à vue la majorité du temps comme le font même les guides les plus « faibles » en escalade.
Faudrait regarder le niveau en championnat départemental jeune, j’ai aucune idée.
On peut regarder par rapport à la moyenne des grimpeurs :
Visiblement un grimpeur dans le 7a à vue est dans le top 10%, je pense qu’on peut appeler ça « bon », à minima.
En fait je pense que de par la spécificité de l’escalade c’est un sport assez peu compétitif en général.
En course à pieds ou en vélo, tu fais le même parcours que les bons, tu vas juste moins vite.
En escalade, ce n’est pas le cas… 