C’est dans ce cas précis que je propose que le contributeur, lorsqu’il modifie un document soit contraint :
-.soit de conserver la complétude manuelle du document avant modification s’il n’a pas envie de se poser de question (mais avec une action, simple, de validation qui permet de rester en manuel)
- soit de la modifier à la hausse (en général) ou à la baisse s’il estime que la complétude était manifestement sur-évaluée.
Pour les documents n’ayant pas de complétude manuelle et typiquement pour les documents nouveaux (sorties), proposer au contributeur une valeur de complétude calculée à partir de ce qu’il a rentré, et lui demander de la conserver/valider (s’il la juge OK ou tout simplement s’il n’y capte rien) ou de la modifier, s’il estime qu’elle reflète mal la qualité du document (avec sans doute des limites à définir, pour ne pas se retrouver avec un document excellent alors qu’il est formellement vide)
Tout ça dans l’optique de n’avoir que des completudes manuelles, le calcul auto n’étant là que pour donner une indication au contributeur et lui permettre de pas trop se prendre la tête s’il y capte pas un beignet.
Et toujours dans l’idée que je maintiens, que la complétude est plutôt qualitative certes mais que la complétude formelle fait aussi partie de la qualité. Et qu’il ne faut pas faire deux champs différents, déjà qu’on n’en comprend pas un.