Posté en tant qu’invité par Orgere:
Châpeau bas, bel exposé.
Je suis dans le même cas que toi : chasseur, amoureux de la nature et du ski de rando, mais je n’ai pas tes talents d’orateur (si l’on peut parler d’orateur ici)
Un grand bravo
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par Orgere:
Châpeau bas, bel exposé.
Je suis dans le même cas que toi : chasseur, amoureux de la nature et du ski de rando, mais je n’ai pas tes talents d’orateur (si l’on peut parler d’orateur ici)
Un grand bravo
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par sylvain:
merci chui tres touche ! et heureux de pas etre tout seul !!!
tu sévis sur quel secteur?
Posté en tant qu’invité par Régis:
une question sur les poissons : est-ce que l’ameçon leur fait mal ou est-ce qu’ils ne sentent rien au niveau de la bouche ?
merci si vous pouvez m’instruire
Posté en tant qu’invité par mp2:
Les bouquetins qui bloquent les routes, qui font de dégats aux cultures, et puis quoi encore, n’importe quoi ou c’est un troll ce truc
Laissez les en paix, le loup arrive !
Posté en tant qu’invité par Mic’hel:
m’ouais, en gros, je trouve que ton discours très politiquement correct n’apporte rien de nouveau. J’ai bien compris que tu es un chasseur responsable, que tu ne tires pas, comme certains, sur tout ce qui bouge (promeneurs inclus…), que tu as une approche longue et laborieuse de ta proie, que des fois tu ne tires pas … etc … tout ça c’est bien, mais ça change pas la chose principale, c’est que quand tu tires tu le fais par plaisir. En gros, malgré toute ton argumentation (je ne la remets pas en cause, c’est ton approche de la chasse), on en arrive au meme point: TU AIMES TUER alors que ça ne t’est pas nécessaire pour vivre. Non toi c’est pour passer le temps.
Et comparer le fait de tuer par loisir au fait de faire ou non les dix derniers mètres d’un sommet, je vois pas trop le rapport. Le sommet que je le gravisse ou pas, que cela me frustre ou non, il est toujours là quand j’en redescends…
Posté en tant qu’invité par claude:
moi je chasse avec mon appareil photo, j’ai le plaisir de m’approcher du chamois sans me faire repérer , je ramène des « trophés numériques » mais je ne vois pas pourquoi j’irai en plus lui mettre une balle pour le remercier de mon plaisir!
J’arrive à comprendre le « viandard » qui veut remplr son congélateur mais le noble « chasseur » là ca me dépasse.
Posté en tant qu’invité par ;0):
Ce serait très chouette des petits animaux de toutes les couleurs dans la neige!
Posté en tant qu’invité par Gepi:
Mic’hel a écrit:
TU AIMES TUER alors que ça ne t’est pas
nécessaire pour vivre.
A bon ? Ca satisfait ta conscience de manger du veau tué par quelqu’un d’autre ?
Celui qui les tue, quel monstre, à moins qu’il ne se contente d’entretenir le robot qui s’en charge. Oui c’est ça, c’est le robot qui tue, comme ça le boucher aussi peut dormir tranquille.
Au fait, tu es végétalien ?
Et encore, en toute rigueur, le végétal est bien vivant. Bon, d’accord, la plante ne crie pas, les huitres non plus d’ailleurs. Heureusement que les huitres ne crie pas, car là, ça me poserait un cas de conscience de les avaler toute vivantes. Ce serait dommage, j’aime les huitres. Plus précisemment j’'aime manger les huitres, ce n’est pas à proprement parler de l’affection.
Pareil pour les escargots. Depuis tout petit, j’adore me lever à la fraîche et les traquer dans les herbes humides, ensuite je les ébouillante (je les tue quoi), donc J’AIME TUER. Je ne suis pas obligé de ramasser des escargots pour vivre, et je suppose que celui qui les achète tout prêt est un gars bien, il n’aime pas tuer lui.
Comment faire pour racheter mon âme ?
J’ai trouvé, je jette les insecticides, car je suis monstrueux d’éliminer les mouches pour mon seul confort (me font pas de mal à part me tourner autour) et les araignées car ma femme en a une peur irrépressible. Je vais lui demander d’en domestiquer une pour dompter sa peur. Ca existe des conserves de mouches ? Parce qu’il ne faudrait pas je sois obligé d’en tuer pour nourrir son araignée.
Pffff, c’est trop compliqué, peut-être que la solution est dans le thread de Dani : « stérilisation collective » ?
Je m’y rend pour trouver une réponse philosophique à ces questions.
A+
PS : Je ne suis pas chasseur.
Posté en tant qu’invité par Hansvon:
Augmentation ? Plus vraiment !
Depuis le milieu des années 90, les effectifs de bouquetins sont en stagnation, voir légère diminution en Suisse. Dans certaines colonies, de nombreux jeunes souffrent de maladie pulmonaire et dépérissent. Pour l’heure, les causes du recul des effectifs ne sont pas connues : consanguinité, changement climatique et maladie. (Source: OFEV)
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par sylvain:
comme une question en appel souvent une autre …
pourquoi les chasseurs ont ils mauvaise reputation alors que les pecheurs n’attirent pas les foudres de l’ecolo moyen ?..?
pourtant je sais pas si je prefererais etre un poisson pendu a un ameçon ou un chamois cadré dans la lunette d’un chasseur…
Posté en tant qu’invité par sylvain:
merci ami non chasseur !!
c’est souvent le probleme …les personnes qui ne se sentent pas capable de tuer un animal (et c’est tout a fait conprehensible , je ne leur jette pas la pierre ) ,cassent du sucre sur le dos de ceux qui l’assument .
Et pourtant , combien de méméres a chienchiens appelent au scandale quand un chasseur tue un animal , alors qu’elles nourrissent consciencieusement les sourris de leurs belles demeures avec du grain empoisonné …
Posté en tant qu’invité par sylvain:
ben moi c’est le noble viandard que j’ai du mal a comprendre !
parceque , c’est tellement agreable de se reunir autour d’une bonne table pour faire un bon casse croute et au passage deguster une belle piece de gibier ,
Alors que le jour ou j’irais a la chasse QUE pour remplir le congele (ou mieux pour faire le commerce de la venaison…) , alors ce jour la , puisse le dieu des chamois (et pourquoi il existerait pas hein??) m’encorner sauvagement au detour d’un sentier !!
pour l’amateur de sensations seculaires , il y a la chasse (entre autres…)
pour le creve la faim , il y a le mac do… ( entre autres aussi )
Posté en tant qu’invité par sylvain:
je suis tout a fait ok avec toi de laisser les bouquetins tranquile ! mais lance pas le debat sur le loup …parceque ca va etre encore plus animé !!!
Posté en tant qu’invité par sylvain:
maladie , consanguinité , mort de jeunes animaux …
tu peux aussi rajouté avortement en grand nombre ,observation d’animaux aux poils « vilains » (parasites externes), d’animaux a l’arriere train tres sale ( la chiasse !) (parasites internes) ,mort inexpliquée d’animaux de bonne constitutions , et bientot l’arrivée des tres redoutées épizooties (epidémie animale)…que du bonheur tout ça !!
il y avait pas un amis skieur qui disait que la surpopulation animale n’existait pas ???
ben si elle existe pas, en voila deja les consequences les plus flagrantes !!
c’est sur ,le chasseur n’est pas indispensable … la nature etant tres bien faite ,elle se charge elle meme de son equilibre …
Posté en tant qu’invité par claude:
Puisque j’ai affaire à un chasseur responsble et qui m’a l’air honnête, peux-tu me dire pourquoi finalement tu tires?
Humanitaire : pour éviter la déchéance de la vieillesse à ce chamois dans quelques années
Citoyen : pour rendre service à nos amis agriculteurs dont des hordes de chamois dévastent les cultures
Alimentaire : quand même un bon cuissot de chamois…
Peur : pour éviter d’être attaqué par ce monstre
Revanchard : je subi mon chef au boulot, la c’est moi le chef qui ai droit de vie ou de mort
Egoiste : pour éviter que d’autres profitent du spectacle de ces magnifiques anmaux
Jouisseur : pour profiter ce cet instant suprême ou j’ai le droit quasi divin de décider de la vie ou de la mort de ma proie
Vais-je enfin savoir? (si ce n’est pas une de ces raisons, le paintball serait une bonne solution qui éviterai en plus les quelques dizaines de mort d’hommes par dommage collatéral chaque année)
Posté en tant qu’invité par Gepi:
claude a écrit:
Bonjour Claude, comme je ne suis pas chasseur, je vais essayer d’apporter ma contribution sans risquer de passer pour un pervers qui AIME TUER.
Puisque j’ai affaire à un chasseur responsble et qui m’a l’air
honnête, peux-tu me dire pourquoi finalement tu tires?
Humanitaire : pour éviter la déchéance de la vieillesse à ce
chamois dans quelques années.
Ce n’est sûrement pas une motivation personnelle, mais c’est une nécessité pour les espèces dont les prédateurs naturels ont disparus. Sauf à réintroduire ces prédateurs en quantité suffisante (est-ce possible partout ?).
Sachant que la surpopulation pose des problèmes à l’espèce elle même, mais également à l’environnement. Les chevreuils mangent les jeunes pousses, les cerfs finissent par manger l’écorce des arbres qui meurent. L’ensemble du biotope est impacté.
Citoyen : pour rendre service à nos amis agriculteurs dont des
hordes de chamois dévastent les cultures.
Idem réponse précédente par exemple pour les sangliers, mais toujours pas une réponse à ton « pourquoi tires tu ? », quoiqu’il y a des agriculteurs chasseurs auxquels il faudrait poser la question.
Alimentaire : quand même un bon cuissot de chamois…
Rôle social ? Partage d’un moment, d’une saveur particulière ?
Forme de fusion ? Chez certaines tribus, à la mort de l’un des leurs, une cérémonie était organisée, pendant laquelle certaines parties étaient mangées. Ce n’était pas un besoin vital, mais de l’ordre du spirituel. C’était aussi le cas pour leurs ennemis, ils pensaient ainsi se procurer les qualités et la force qu’ils reconnaissaient en eux,
de même pour le gibier.
Nous même dans nos pratiques et notre vocabulaire amoureux, utilisons des termes ou des pratiques liés (pas seulement symboliquement) à l’acte nourricier, ce n’est sûrement pas un hasard.
Peur : pour éviter d’être attaqué par ce monstre
Egoiste : pour éviter que d’autres profitent du spectacle de
ces magnifiques anmaux
Je regroupe ces 2 hypothèses de même nature.
No comment.
Revanchard : je subi mon chef au boulot, la c’est moi le chef
qui ai droit de vie ou de mort
Jouisseur : pour profiter ce cet instant suprême ou j’ai le
droit quasi divin de décider de la vie ou de la mort de ma
proie
La recherche du sentiment de puissance n’est sans doute pas absente chez la plupart des chasseurs. Comme certains recherchent ce sentiment au volant de leur voiture, malheureusement, avec des dégats collatéraux bien plus conséquents que ceux que tu cites plus loin.
Mais ce n’est pas le cas chez tous les chasseurs. C’est je pense ce que dit Sylvain lorsqu’il parle de « savoir ne pas tirer ». Dans son cas, il me semble qu’il s’agit d’avantage d’une recherche de retour à la nature, de communion avec elle.
J’ai pratiqué l’approche pour faire des photos. Pour approcher un animal sauvage (je ne parle pas des bouquetins des réserves qui ne connaissent pas de prédateurs et qui sont faciles à approcher (si l’on fait abstraction du terrain). Ca demande de se fondre avec son environnement, de le connaître ainsi que la faune, et de mettre tous ses sens en éveille. C’est là que se trouve le retour à la nature et à notre propre nature. Lorsque l’on est tout près de l’animal et que l’on peut l’observer, parfois si proche qu’on a l’impression qu’il manque si peut pour pouvoir le toucher.
Dans ce cas, je crois que peu de choses me sépare de certains (trop rares) chasseurs. Je parle de ceux qui sûrement sont partagés entre l’envie de pouvoir vraiment le toucher (tirer) et de le laisser poursuivre son chemin. Sylvain dit « savoir ne pas tirer », ce qui implique de résister à une pulsion par raison (respect de cotas, du plan de chasse), je dirais que pour certains amoureux de la nature, ils ne tirent pas parce que je jour là, à ce moment précis, leur coeur n’y est pas. C’est un sentiment paradoxal, une ambivalence en nous, qui fait aussi partie de la nature.
J’ai vécu mon enfance à la campagne, et avec les copains, nous étions souvent dans la forêt ou au bord des rivières. Nous tendions des pièges à oiseaux, l’été nous prenions des épis de maïs dans les champs, nous attrapions des poissons (souvent rien de bien commestible) et nous allumions un feu au bord de la rivière pour manger le fruit de nos chasses/cueillettes. Ce n’était pas par nécessité et je ne me souviens pas que le sentiment de puissance ou le plaisir de donner la mort étaient au coeur de notre démarche. Nous nous prenions plutôt pour David Crockett.
Vais-je enfin savoir? (si ce n’est pas une de ces raisons,
Il y a sans doute autant de chasseurs ou formes de chasse, que de grimpeurs ou formes de grimpe. J’ai essayé d’en décrire une sorte que je crois comprendre.
le paintball serait une bonne solution
Sylvain évoque l’utilisation d’armes hypodermiques, ce qui permettrait d’assouvir cette envie de fusion, de toucher/sentir, et cela conviendrait sans doute à ce type de chasseur, mais ne répondrait pas à la nécessité de réguler/gérer les populations dans de nombreux secteurs.
qui éviterai en plus les
quelques dizaines de mort d’hommes par dommage collatéral
chaque année)
A mon humble avis, la solution passe par la formation, la sensibilisation à une éthique et une sévère sélection par le permis de chasse, afin d’éviter de voir des gros nazes se promener avec une arme à la main, par définition, il y en a toujours trop.
A+
Posté en tant qu’invité par olivier74:
Chapeau ton argumentation objective, GEPI…
alors que la démarche et les arguments de Claude me paraissent au mieux répondre à une ignorance crasse de la faune, au pire à de la provocation basique…
Mais bon, le sujet est conflictuel, passionnel et d’une manière générale, chacun prêche pour sa chapelle faisant fi des arguments de l’autre… ton discours pondéré est d’autant plus méritoire…
Posté en tant qu’invité par Orgere:
Merci Claude, je vois que sans être chasseur, on peut comprendre les chasseurs.
Posté en tant qu’invité par sylvain:
salut les gens !
ben la j’ai plus grand chose a ajouté !! merci m’sieur gépi !!
tout est dit !
juste une remarque sur les flechettes hypodermiques qui seraient une solution si …elles etaient plus precisent , et surtout moins dangereuse pour l’animal ( dosage précis , chute du a l’etat d’assoupissement …)
et puis pour le « savoir ne pas tirer " , je voulais aussi ajouter le cote respect de l’animal , avec un petit exemple . J 'avais depuis le primtemps , reperé un tres jolis chevreuil dans un coin assez isole.j’avais hate d’etre en periode de chasse parceque depuis le temps qu’il me faisait de l’oeil … j’en etais pratiquement obsédé .le jour attendu arriva .comme je savais ses habitudes a force de l’observe , j’arrive sur le terrain avant lui , me place et attend son arrivéee .le coin est jolis , une belle clairiere entourée de bois , je suis en limite de clairiere , fondu dans la nature . du bruit se fait entendre a ma gauche , je me mets en place doucement pour mettre en joue l’animal quand ilaura franchit la lisiere (j’ai dit je me prepare , j’ai pas dis que je pointais la direction avec mon arme , le doigt sur la detente , pret a allume le premier truc qui sort meme si c’est un ramasseur de champis !!).puis , du coin de l’oeil , je vois mon chevreuil qui me passe dans le dos a 3 ou 4 metres derriere moi . j’éssaye de me retourner doucement , mais l’animal finit par disparetre dans des aboyements significatifs … en clair : il m’a bien baisé !. le lendemain , meme lieu , meme heure . bien décidé a lui faire la peau , je me poste de l’autre coté de la clairiere , de maniere a voir arriver le brocard de face . ca tombe bien le vent a tourne : il ne me sentira pas … comme prévu le brocard se pointe . il avance , se doute de rien , broute une pousse par ci par la …passe a une quinzaine de metres de moi , il me fixe (mais comme je ne bouge pas , il continu ses occupations …)…je dois bien le garder 10 bonnes minutes dans la lunettes ( et c’est long 10 minutes dans ces cas la !) a tres courtes distances 30 ou 40 metres .ce brocard est effectivement magnifique et comme je suis bien calé , il n’y a aucun doute qu’a cette distance ,il n’aurait pas grande chance face a ma carabine .Mais ce jour la il est repartis tranquilement , comme il est venu .j’ai juste pense , « t’as été plus malin hier , aujourd’hui c’était moi … ».il n’y a pas son trophée accroche au mur (pourtant il était beau !!) mais j’en garde un souvenir imperissable.et je n’oublierais certainement jamais son regard quand il est passe devant moi .Il n’était pas craintif , mais fier ,majestueux ,presque provocant (je me demande si il n’a pas eu conscience de mes pensées ce jour la !!). cette année la je ne suis pas retourné dans cette clairiere pour ne pas etre tenté …mais le printemps suivant , je ne l’ai jamais revu …la faute a un chasseur ? a un hiver trop rigoureux ? a une déloccalisation dans les pays de l’est (ben pourquoi pas c’est a la mode !) …
voila ce que j’appel , " savoir ne pas tirer " meme si le plan de chasse est tolerant ,meme si tout est reuni . je ne prend pas ca pour de la faiblesse , mais pour du respect vis a vis de l’animal . est oui , la chasse c’est aussi des moment magiques comme celui la ! ! !
la chasse ce n’est pas QUE tirer un animal , c’est surtout , la communion avec la nature , le retour aux sources …plusieurs activités permettent cela avec plus ou moins de force . j’ai choisi celle la , et je l’assume completement .En savourant chaque seconde de bonheur qu’elle m’apporte . certains disent que mon loisir est inutile… je leurs repondrais : » est ce que taper dans un ballon tous les dimanche est utile ?"…a chacun sa propre opinion . Mais soyez sympa , défendez la en douceur et dans le calme .
sylvain
Posté en tant qu’invité par tétras:
Tu est certainement végétarien pour tenir ce genre de propos. Car comment peut on aimé la nature et lui imposer tout les sévices liés à la production agricole, voir industrielle de viande (culture intensive de maïs, pollution de l’eau par les engrais, les pesticides et le lisier…)
Le chasseur, lui, se contente, si c’est un bon chasseur, de prélever ce que lui offre la nature. Comme faisaient les indiens, les esquimaux, les hommes préhistoriques… Je pousserai même plus loin en comparant le chasseur à un ceuilleur de myrtille, de champignons ou de génépi.
La nature à des choses à nous offrir, sachons en profiter respecteusement.