@CharlesB, sur mon téléphone je n’ai pas les boutons de votent qui apparaissent.
J’ai un
poll type=regular public=True] * Pour * Contre [poll]
@CharlesB, sur mon téléphone je n’ai pas les boutons de votent qui apparaissent.
J’ai un
poll type=regular public=True] * Pour * Contre [poll]
J’avais mal compris alors. La confiance mutuelle, ça me va bien
Ça me va bien aussi. Cf mon message du dessus…
Ca me va.
C’est parfait
Tout cela va dans la bonne direction
Ce choix d’autoriser la fonctionnalité carnet de course personnel a été fait en 2004 ou 2005. De mémoire, cela avait été voté lors d’une réunion physique. Il s’agissait d’accepter des sorties multiples en ski de rando sur un même sommet (typiquement Jas des Lièvres ou Chamechaude) ou des sorties cascades sur une classique le même jour et des sorties qui n’apportent pas de vrais renseignements complémentaires sur des voies P1 (cas des sorties rapprochées sur un même itinéraire).
Nous n’étions pas forcément tous d’accord, mais le choix a été de dire OK. Aussi parceque nous n’avions pas forcément les moyens de contrôle pour interdire deux Chamechaude le même jour, que ceux qui sortaient ensemble ne voulaient pas apparaître dans une méga sortie avec tous les autres campistes sur le même itinéraire, le même jour.
Du coup avec le recul, c’est vrai que de ne pas juger si la sortie relève du simple carnet de croix ou d’un vrai désir de partage d’information (ou même de blog matuvu ou toute autre intention que j’ignore) et autoriser la fonction carnet de course est le choix le plus rationnel.
Concernant les sorties vides qui n’ont QU’une fonction de liste de course, elles devraient ne plus apparaître sur la home dans le futur.
Ce choix peut tout à fait être remis en cause, mais ce n’est pas l’objet ici. Pour ce débat sur la charte, il est nécessaire de considérer que le carnet de course est une fonctionnalité de C2C acquise à ce jour.
Ah mais je suis pas pour l’interdire hein ? Juste que, pour moi c’est pas le but de C2C et on n’a pas a s’inquiéter des conséquences de la charte sur ceux qui utilisent c2c comme carnet de croix.
Et j’espère qu’on sera plus que les 3 ou 4 qui s’expriment ici à voter. Sinon, la représentativité sera limite…
Je parlais des itinéraires et non de sorties.
Citation du projet de charte (tout au début) :
Il faut « physiquement » connaître l’itinéraire pour le décrire complètement sur Camptocamp.
Donc il deviendrait impossible qu’un itinéraire décrit sur Camptocamp n’ait pas été parcouru par un contributeur.
De là, les itinéraires décrits sur Camptocamp sont le carnet de courses des contributeurs réunis.
Puisque le nom de l’utilisateur qui a créé un document itinéraire est connu, c2c deviendrait (mais pourquoi pas) un regroupement de carnets de courses personnels.
De n’entrer que des itinéraires parcourus, c’est l’éthique des sites non wiki (du type summitpost). Je pense que la fonction wiki est une force permettant d’être plus audacieux. En effet si on a l’impression qu’une description est bidon, pompée, ou simplement fausse, on peut intervenir, changer la description, en discuter, etc. C’est cette liberté qu’il ne faut pas perdre.
EDIT (merci Martin pour le +1, mais je vais rajouter quelquechose)
En fait si l’association pouvait se dégager de toute responsabilité quant au contenu, le problème serait réglé. C2c en reviendrait à une douce anarchie (un petit peu modérée, comme maintenant ) dans laquelle par exemple un detracteur devient acteur, et ou la créativité a libre cours.
Il faut aussi lire la phrase suivante :
Quelques cas de figures permettent de le décrire tout de même sans le connaître.
Et c’est peut être ambigu et à préciser, mais « décrire complètement » signifie « décrire complètement pour la première fois ».
Mais une fois qu’il existe une description détaillée, il n’y a pas de restriction pour l’améliorer.
Typiquement, si on décrit une voie qui en croise une autre (dont il existe déjà une description), on peut mentionner ce croisement dans la description de l’autre voie alors qu’on ne l’a pas parcouru.
On peut aussi faire des corrections à partir d’infos issues des sorties : c’est comme si l’auteur de la sortie faisait une modif par procuration.
Comme on fait couramment depuis 2007.
Et sans charte, en plus.
Le cas de figure le plus courant est la rédaction d’une ébauche dans le cadre d’une revue de presse pour intégrer la voie à la base de données afin de permettre la recherche par critères. Cela renvoie vers l’info originelle, puis l’info devient originale au fur et à mesure des parcours le cas échéant.
A améliorer pour le prochain débat : quand il y a un post contenant la proposition de vote, ajouter un lien vers ce post dans 1er post. Car actuellement, il est introuvable sauf à balayer les 119 posts.
Comme je n’ai pas pris le temps de le chercher pour vérifier une dernière fois hier soir, j’ai loupé une formulation ambigue :
Il faut comprendre « autorisé » par « tant que l’ouvreur/gestionnaire local ne s’y oppose pas ».
C’est à dire que par défaut, un topo tierce est considéré comme autorisé, et le contributeur n’a pas à vérifié que le topo tierce est autorisé ou non.
Avec la formulation actuelle, on peut comprendre qu’il faut contacter l’ouvreur/gestionnaire local ou l’auteur du topo tierce avant de faire le moindre topo, alors qu’il existe un topo sur le net ou dans un autre topo papier depuis des années, publié par qqun qui n’a jamais demandé quoi que ce soit.
La suite du texte précise ce qu’est un support non autorisé, mais pas ce qu’est un support autorisé. Ce flou laisse la place à des interprétations autres que celle ci-dessus.
J’ai donc voté contre entre autre à cause de cela.
Par ailleurs, comment gère-t-on lorsqu’il y a un topo papier d’un site d’escalade publié depuis 15 ans, puis que suite à des bisbilles le gestionnaire local édite son propre topo, puis que ce même gestionnaire s’oppose à un topo de ce site sur c2c ? Il pourra dire qu’il s’oppose aussi à l’autre topo papier, mais sans pouvoir l’interdire pour autant, car légalement il n’y a pas de problème. Et donc on censurerait c2c alors que l’autre topo papier continuerait à être vendu.
Voici le genre de situation de censure abusive de c2c où mène cette proposition de modif.
J’ai eu sur facebook un message d’un ouvreur. Je vous le livre tel quel :
C’est bien
La cotation n’est pas primordiale, ni la hauteur ou les types.
Le nom des équipeurs/ouvreurs non plus (dommage pour le coup).
Pour ma part, c’est très bien.
C’est simplement du détricotage du projet de charte, menant modif après modif à l’interdiction pur et simple de la couenne et des grandes voies sur c2c.
En effet, la modif contient :
Or il y a un vote en cours pour une modif de la section IV.4.A.
Donc selon le résultat de ce vote, les conséquences de cette 2ème modif sont différentes.
Avant la modif de IV.3, on pouvait créer des topos de couenne et grandes voies quand ça ne gênait pas des négociations, des travaux ou un topo local en préparation (dans ce dernier cas, seules les voies inédites étaient concernées).
Avec la modif, un gestionnaire peut s’opposer indéfiniment. Il lui suffira d’envoyer un mail tous les 12 mois en indiquant qu’il s’oppose à tout topo détaillé des voies sur c2c, pour raisons personnelles, ou parce qu’il trouve que les c2cistes sont des pilleurs de topos (et ceci sera affichés sur tous les document concernés).
De plus, la modif de IV.4.A ne permet même pas d’opposer le fait qu’il existe d’autres topos en circulation depuis des années.
Si une telle charte était en application depuis le début de c2c, et si tous les gestionnaires utilisent leur droit de censurer c2c (ce qui sera le cas de tous les signataires de l’ADO), aucun topo de grande voie P1 ou P2 n’aurait pu être fait sur c2c.
Même une simple liste des cotations de chaque longueur ne pourra plus être possible, alors que c’est souvent la seule info donnée pour la 1ère description détaillée d’un itinéraire (le contributeur se contente de donner ses cotations pour chaque longueur, sans se donner le peine de copier l’approche et le retour communs à d’autres voies).
C’est à dire que même un fonctionnement comme promo grimpe n’est pas possible.
En fait on pourra contourner ces interdictions car cette charte ne concerne que les itinéraires et points de passage, mais pas les sorties, donc on pourra mettre tous les topos qu’on souhaite dans les sorties. Mais on perd tout le côté collaboratif.
Ces modifs signent simplement la fin de l’escalade sur c2c, car ce qui fait l’intérêt de c2c par rapport à d’autres sites contributifs, c’est l’aspect collaboratif. c2c est en retard pour d’autres aspects, car la priorité a été donné sur les outils collaboratifs. Dès lors qu’il n’y a plus l’avantage de construire un topoguide collaboratif sous licence libre, il n’y a plus d’intérêt à saisir des sorties sur c2c si c’est plus simple ailleurs.
Te rends-tu compte des dégats qui auront pu être faits dans le topoguide entre temps ?
Éventuellement sur tous les docs déjà existants et de façon irréversible, car d’autres modifs de la charte s’attacheront à ce que ce soit rétroactif, et veilleront à ce qu’il n’y ait aucune sauvegarde des descriptions et schémas supprimés.
A mon avis, ce passage est à virer car soit obsolète, soit trop en avance sur son temps. Je m’explique :
En pratique, les évolutions sur les couennes seront discutées dans un futur aujourd’hui incertain et l’ordre de priorité de développement des fonctionnalités couennes sera établi à ce moment-là. La limitation pourra se faire lors d’un débat / vote à ce moment-là sur la géolocalisation :
Il est plus sain et logique de pouvoir choisir que d’imposer une logique de blocage. Et ceci dans les deux sens : le cas du champ ouvreur est symptomatique de la chose. Ce champ n’est pas obligatoire, au grand dam de certains. Aujourd’hui, on se retrouve avec un topoguide dont le taux de remplissage de l’ensemble des itinéraires est égal ou supérieur à celui de l’ensemble des topo papiers et qui permet de laisser un champ ouvreur non rempli dans les cas où l’ouvreur souhaite rester discret (cas des Calanques notamment).
C’est vrai, on devrait attendre la fin du vote de la section IV.4.A.
La par contre je ne suis pas d’accord: Il faudrait que l’ouvreur prouve qu’il a toujours été contre la publication d’infos sur son ouverture et qu’il a entreprit des démarches pour s’opposer à chacune de ces publications. Donc pour des voies mentionnées sur moult supports depuis des années, il risque d’avoir beaucoup de mal à nous couillonner.
Tout à fait: je défends l’idée de charte alternative avec droit discrétionnaire pour les ouvreurs dans l’optique d’amener la plupart des signataires de l’ADO à avoir une attitude constructive et raisonnée vis à vis de ctoc. (Pour la frange la plus radicale, je pense que c’est peine perdue, mais peut-être qu’ils nous surprenderont)
A eux de faire bonne usage de ce droit discrétionnaire.
Si clairement ils en abusent et nous prennent pour des cons, bien évidemment on remettra tout sur le tapis. La charte n’est pas un texte de loi qui fera loi pour l’éternité, simplement un support pour trouver un compromis suite au conflit actuel. C’est donnant/donnant.
Je tiens à rappeler que absolument personne ici n’a remis en cause le fait que la charte n’aura pas d’effet rétroactif, donc la forme actuelle des 30.000 itinéraires actuels est hors de tout danger.
Pour les itinéraires futurs, on se rendra vite compte quel usage est fait de ce droit. Dans un premier temps, ca va pas faire des milliers.
Si on part du postulat que les signataires de l’ADO sont tous des pervers narcissiques qui n’ont rien d’autre à faire dans la vie que faire chier ctoc, en effet à terme, cela condamne ctoc de se passer de topos exhaustifs décrivant les voies qu’ils ont ouvertes et qui ne sont pas encore décrites de manière exhaustive à la date d’entrée en vigueur de la charte.
Si on considère que ce sont des gens normaux qui ont exprimé leur ras-le-bol de voir leur voies décrites en mode no-limit depuis des années, ca devrait bien se passer.