Caroux : Quel avenir?

la réhabilitation respectera l’itinéraire et le nombre de points de l’ouverture.
le rééquipement se fera à l’identique, en respectant l’engagement antérieur le nombre de points dans chaque longueur.
dans certaines voies, les points rajoutés au fil des ans, seront supprimés, ceci rendra tout son engagement à l’itinéraire et permettra de conserver sa configuration d’origine.

comment connaitre le nbre de points utilises a l’ouverture ? ttes les voies ouvertes ont leur CR ds de vieilles revues ou sur des notes mis a disposition par les ouvreurs ?

un balisage discret des chemins d’accès sera choisi en concertation avec les représentants d’Hérault Sports, principal partenaire institutionnel du CD34.

pourvu qu’il soit effectivement reellement discret. une des joies du caroux est de chercher son itineraire en allant grimper, en grimpant et en rentrant !

Merci Daniel pour la présentation du projet.

Je confirme ma présence à la réunion le 21 Juin.

Pierre et Circus désignés d’office.

/* Me décevez pas les petits ou je vous pète les genoux la prochaine fois que je vous croise. */

Je remonte le sujet pour rappeler que la réunion d’informations est samedi prochain.

Pierre et moi nous nous chargeons de collecter les questions… pour peu qu’il y en ait…

Vous aurez bientôt un mail :wink:

Posté en tant qu’invité par bruzy alain:

bonjour à tous
voici quelques petites réflexion jetées dans le forum:
notre terrain de pratique n’est pas extensible et si nous n’y prenons garde nous ne pourrons bientôt plus pratiquer autrement qu’en allant chercher très loin (alors bonjours le bilan carbone) des parois et des lieux de pratique.
Nous avons besoin en France pour développer l’alpinisme de leiux accessibles, pas trop angagés et où le pratiquant pourra s’initier, se perfectionner à l’utilisation des friends, stoppeurs et ball nuts en tous genres. Si nous détruisons ces zones d’apprentissage comme la mature et le caroux non seulement la pratique va encore reculer mais on va également justifier l’équipement de la haute montagne et des zones reculées au nom du fait que les gens ne savent plus se protéger.
Autre réflexion plus méthaphysique: l’escalade n’est elle qu’un produit touristique parmis tant d’autres?
La partique du *TA comme vous dites n’est pas élitiste. Il suffit de vouloir aquerir et découvrir lentement le savoir faire. Dans d’autres pays qui produisent parmis les plus forts alpinistes du monde cette pratique est possible du II au 7C et les itinéraires équipés cotoient les itinéraires TA sans que celà ne pose de pb à personne. Alors pourquoi la France est elle soumise à l’intégrisme des équipeurs? Mauvaise connnaissance de la planette mondiale de l’escalade? gout du lucre?
Dans ces pays aussi les alpinistes ont du parfois ferrailler pour faire entendre leur point de vue. C’est globalement une réussite.
Mobilisons nous pour le Caroux, pour les grimpeurs de demain qui grace à ce massif accèderont à une autre pratique qui leur permettra de connaitre la joie de grimper dans des parois virges d’Oman ou du Tchad en ne laissant comme trace que le souvenir de aventure, un petit topo dans passe murailles et la sensation tenue mais bien réelle d’avoir vécu des moments exeptionnels.
Pour finir le principal aménagement à faire au Caroux est de virer tous les pitons qui représentent le danger le plus objectif de l’escalade dans ce petit massif si attachant
Salut à tous
A Bruzy

Salut,

Nous serons ce dimanche à la Petite et Grande Paroi, Pascalou, Pierre et moi afin de commencer notre propre état des lieux selon nos critères (longueurs totalement protégeables de manière « clean », en vue d’un déséquipement total).

Si d’autres personnes souhaitent se joindre à nous afin de parcourir le plus grand nombre d’itinéraires possible, et de tailler le bout de gras (au propre comme au figuré) à midi au sommet, c’est totalement open. il va de soi que tout le monde est invité, quel que soit son positionnement à l’égard de la question du rééquipement, ça n’en sera que plus passionnant.

De même, le CAF Perpignan a prévu la même démarche le we suivant (28/29 juin), au même endroit. Eux aussi souhaitent que d’autres personnes se joignent à eux pour poursuivre l’état des lieux.

Dans les 2 cas, contactez-moi par MP ou par courriel (je ferai suivre au CAF Perpignan le cas échéant).

François.

Posté en tant qu’invité par nielda:

je confirme la date de la réunion publique qui se tiendra le samedi 21 juin à 14 heures.

je n’ai pas pu avoir de salle suffisamment grande à la maison des sports de Montpellier, nous organiserons donc la réunion à la

     Maison de la Vie Associative
    15 rue Général Marguerite 
    34500 BEZIERS       04 67 49 89 00     (près de la gare)

Posté en tant qu’invité par tetof:

Question à poser à la réunion :

Combien de point dans combien de voies ?
Combien de point sont enviseagés dans le budget prévisionnel?

C’est pragmatique et caractérisera parfaitement le plan de rééquipement.

Posté en tant qu’invité par jérém:

ca a donnez quoi la réunion?

Ce fut une réunion où à défaut d’être totalement rassuré sur l’avenir du TA au Caroux, on y a vu déjà un peu plus clair sur le projet. Il faut que je mette au propre mes notes et un compte rendu sera publié.

Petit compte rendu de la réunion sur le Caroux qui s’est tenu à Béziers le 21 Juin 2008 à la maison de la vie associative, salle trouvée par le CAF Béziers. Ce compte rendu n’a pas vocation à être entièrement exhaustif et peut être amené à être compléter par d’autres participants à cette réunion.

Etaient présents une vingtaine de personnes.

La réunion s’est ouverte par une intervention d’Henri Blanc qui a rappelé son attachement au Caroux. Parmi les points à noter, Henri Blanc a clairement annoncé qu’il n’était pas question de ferrailler le Caroux. Cependant il est sceptique quand à l’appellation Terrain d’aventure pour qualifier l’escalade au Caroux préférant parler d’escalade de voies « montagnes » voir carrément de voies Carouxiennes. J’ai aussi noté cette phrase : « Le Caroux doit rester à portée des gens qui le grimpent »

Ensuite Daniel Cruz, président du CD 34 nous a exposé le projet.

Ce projet est dans les cartons depuis 1997 et a été plus ou moins accéléré par la mise en place de Natura 2000 qui a exigé l’inventaire des activités humaines sur le massif du Caroux, en particulier de l’escalade.

Suite à ça, l’ONF a cherché un interlocuteur référent pour gérer l’escalade. Le CD FFME s’est naturellement imposé.
La Convention TA a été proposé à l’ONF, qui l’a refusé. Une convention FFME/ONF a alors été rédigée mais n’est pas encore signée. Il s’agit d’une « convention autorisant l’usage des terrains domaniaux en vue de la pratique de l’escalade ». Il s’agit d’une convention générale, ensuite une convention secteur par secteur sera signée dans la quelle seront décrite précisément toutes les voies couvertes par cette convention.

Cette convention a une durée de 9 ans renouvelable.

Pour cela il faut faire un inventaire des voies, notamment du matériel en place, pour cela il y a mise en place d’une commission technique qui va assurer le suivi des travaux.
Les voies qui vont être étudiées par la commission sont au nombre de 240-250 (liste établie notamment par H. Blanc et JL Raynal)

Sur le massif du Caroux, il va donc y avoir :

  • des voies conventionnées
  • des voies non conventionnées.

Parmi les voies conventionnées, certaines qui peuvent se protéger naturellement seront nettoyées des pitons actuels, les autres seront plus ou moins équipées en fonction de l’avis de la CT.

Dans les voies non conventionnées, l’équipement actuel sera laissé tel quel.

La CT travaillera sur la base de fiches établies par des grimpeurs et comportent notamment un descriptif de la voie, le nombre de points en place, ceux qui sont estimés comme indispensable et/ ou mal placés et qui seront dans le cadre du conventionnement remplacé par des scellements. Les autres points seront enlevés.

Le cahier des charges provisoire fait état d’un certain nombre de points (précédemment énoncé par Daniel sur le forum) :

[quote=nielda]avant d’être équipées/déséquipées, les voies seront parcourues par les équipeurs afin de s’imprégner de la voie.
la réhabilitation respectera l’itinéraire et le nombre de points de l’ouverture.

le rééquipement se fera à l’identique, en respectant l’engagement antérieur le nombre de points dans chaque longueur.

aucun point ne sera rajouté y compris aux relais. (par exemple, en cas d’arbre au relais, on ne rajoute rien)

dans certaines voies, les points rajoutés au fil des ans, seront supprimés, ceci rendra tout son engagement à l’itinéraire et permettra de conserver sa configuration d’origine.

pour le remplacement des points vétustes, des points scéllés seront placés dans un rayon de 50 cm du point originel.

un balisage discret des chemins d’accès sera choisi en concertation avec les représentants d’Hérault Sports, principal partenaire institutionnel du CD34.

tous les travaux, quels qu’ils soient, ne se feront qu’apres validation de la commission de suivi technique.

celle ci assurera le suivi, le controle et la validation de chaque conventionnement.

Le premier secteur réhabilité serait « la Grande Paroi ».[/quote]
En ce qui concerne le calendrier, le CD espère fait les travaux à la grande Paroi d’ici la fin 2008 puis de laisser s’écouler quelques mois histoire d’avoir un maximum de retour de grimpeurs pour ensuite pouvoir corriger le tir si nécessaire.

Un exemple de fiche est montré. L’exposé se termine là et on passe aux questions. La discussion ayant été menée tambour battant, je n’ai pas eut le temps de noter toutes les questions et les réponses.

Tout d’abord, le but du réequipement/réhabilitation est avant tout d’éviter d’envoyer les grimpeurs « au carton » en enlevant les mauvais points et en les remplaçant par des points solides.

En ce qui concerne Natura 2000, son emprise au Caroux est uniquement sur du territoire domanial et non du territoire communal et 80% de l’escalade au Caroux se déroule sur un territoire ONF / Natura 2000. Hors des réserves Natura 2000, rien n’est interdit pour l’instant et deux sites sont à surveiller : la Main de Farrière et la Roque rouge qui pourrait faire l’objet d’une réserve.

Il a été mentionné qu’une voie ne peut pas être réequipée à l’identique, on va donc avoir « une revisite » de la voie.
Ceci a conduit à des questions sur l’éthique du réequipement notamment :

   - Est ce que la volontée de mettre les nouveaux points dans un rayon de 50 cm des anciens est réaliste ?
- Les passages qui se font actuellement en artifs et qui peuvent être libérés : comment on les réequipe ? Doit on avoir un passage en libre obligatoire quitte à ce que cela fasse « exploser » le niveau de la voie ?
Autre temps, autre mœurs, le niveau et aussi les moyens techniques en escalade ayant évolués, on ne peut pas trop comparer les méthodes utilisées à l’ouverture de la voie et celle dont dispose le grimpeur actuellement.

La cas de la « Batarde » à la grande Paroi a été évoquée. Grosso modo dans cette voie, il y a une traversée d’une dizaine de mètres non protégeable et non protégée. Dans cette longueur le relais est composé d’un vieux spit de 8 et d’un piton, il y a ensuite un piton puis la traversée et ensuite un piton à la fin de la traversée : la question est de savoir comment on rééquipe ?
Toutes ces questions seront discutées au sein de la commission technique.

L’équipement se ferait en ring (scellement) et non en goujons même si il a été mentionné que cette dernière méthode serait plus rentable notamment en terme de coût puisque sa pose nécessite moins de travail. Les pitons n’ont pas été retenus comme équipement sur car le président du CD FFME engage sa responsabilité en cas d’accidents sur un site conventionné et que D. Cruz ne tient pas à engager sa responsabilité sur des points qu’il ne considère pas comme sûr NOTAMMENT au cours du temps puisque le massif du Caroux étant soumis à une influence maritime, les pitons peuvent être amenés à se corroder assez rapidement.

Le financement sera assuré par le conseil général de l’Herault.

Une question est restée sans réponse : pourquoi la grande Paroi a été choisie comme « site pilote » pour le projet, un site dans les gorges d’Heric, plus facile d’accès, aurait pu être choisi. Pour ceux qui ne connaissent pas le Caroux, les gorges d’Heric sont le site le plus fréquentés du Caroux, notamment par les grimpeurs et le plus sujet aux équipements sauvages, alors que la Grande Paroi, par son ampleur reste sans aucun doute un site mythique et sans doute un chouilla sensible et susceptible de heurter les sensibilités.

En ce qui concerne la question de Tetof, en l’état actuel du projet, il n’est pas possible de répondre.

La prochaine réunion de la CT aura lieu en Septembre.
Voilà pour ma part, les autres participants complèteront éventuellement mes omissions.

Posté en tant qu’invité par Jérem:

je pense qu’i on choisi la paroi car, c’est un des endroi ou il ya le moins de monde qui grimpe ( le niveau y est elevé, il ya un pe de marche, et ya du gros gaz). ducoup il font un petit essais a la parois puis aprés il vont équipé des seceur ou il y a beaucoup plus de passage, ce qui est logique.

par rapport a la batarde, cet voi j’en garde un souvenir énorme, surtout vers la fin de la tarv, quand les prise sont un peu petite, meme si c’est 5, c’est quand meme un peu chau et trés trés exposé, la chute est interdite, donc a la rigeur metre un point dans la tarv ne serais pas débile.

mais bon dans le caroux une chute est rarement bonne a prendre meme si c’est sur des rings.

jerem

Posté en tant qu’invité par tetof:

Merci Pierre du CR.

Impressionnant. Il y aurait donc un projet, un budget mais pas d’estimation du 1er poste de dépense.
Je vais essayer de faire la même chose avec mon patron.
En tant que contribuable moyen, j’espère seulement que la réponse était bidon.

[quote=tetof]Impressionnant. Il y aurait donc un projet, un budget mais pas d’estimation du 1er poste de dépense.
Je vais essayer de faire la même chose avec mon patron.
En tant que contribuable moyen, j’espère seulement que la réponse était bidon.[/quote]
Le problème c’est que le bilan des voies n’est pas complet et comme chaque voie va être traité au cas par cas, pas de généralité possible. On en saura sans doute plus en Septembre. Le budget global ne peut pas être calculé, on aura juste un budget par secteur…

Est-ce qu’il existe une estimation de l’accidentologie au caroux ?

Donc en résumé : si le site est conventionné, c’est « foutu »… non ?

Pour Tetof: je pense qu’en l’occurence, le prix du matériel est négligeable devant le prix de la main d’oeuvre.

Pour compléter l’excellent CR de la réunion de Pierre :

- Concernant l’ONF et sa volonté d’une convention :

Nous (les défenseurs du TA) n’avons pas eu de réponse sur la raison du refus d’une convention FFME « TA » de la part de l’ONF. Celle-ci permettrait de couvrir l’ONF et éviterait une convention « équipement » au Caroux. En l’absence du représentant de l’ONF (normalement prévu à cette réunion), il ne nous a rien été répondu à notre remarque sur l’argument de responsabilité juridique de l’ONF sur ses terrains domaniaux. En effet, celle-ci n’est que gestionnaire et ne peut donc pas être attaquée en justice en cas d’accident. La question se pose dans tous les autres sites ONF, Bleau ou les parcs nationaux sans que pour autant un « spitage » s’impose à cause de nécessités sécuritaires.

- Cahier des charges de la Commission Technique pour le rééquipement :

–> Respect des points d’origine.
–> respect de l’engagement (cf le point particulier de la Bâtarde).
–> Balisage à refaire.
–> Validation des fiches de renseignements des cordées par la CT (par consensus en son sein, par vote majoritaire ?), puis contrôle dans la voie, puis à nouveau validation par la CT du travail des équipeurs.

Cette commission est encore incomplète : moins de 8 membres pour l’instant, il faut donc la peupler. Le président s’est montré très ouvert et les déclarations qu’il avait faites sur C2C ont été suivie dans les actes : le CD FFME 34 souhaite travailler le plus possible avec toutes les sensibilités carousiennes. Nous avons été plusieurs à nous inscrire sur cette liste, mais il y a encore de la place. A noter qu’il a été décidé que les réunions de cette CT se feront à Colombières, sur site donc, et dans un but de rapprocher tout le monde (Mazamétains et Toulousains notamment).

- La fiche de renseignement à remplir sur les voies concernées par le rééquipement :

C’est une fiche bilan de l’équipement d’une voie, non définitive (Daniel nous a dit qu’elle sera améliorée, mais n’ayant pas eu d’exemplaire en main et lui-même étant resté évasif -beaucoup de choses se disaient et il a été souvent difficile d’être soi-même rigoureux dans le fil de ses propos, il est donc tout excusé- on ne sait pas trop quoi lui reprocher).

Un exemple a été projeté sur l’écran, à savoir l’exemple de la voie « Sortie de l’artiste ». On a pu tout de suite voir combien les discussions de la CT allaient ête animées et combien il y a un gouffre entre les deux visions du « lifting » selon les équipeurs ou selon les « TAistes » :
–> La fiche remplie donne plusieurs points « indispensables » par longueurs (5 environ par longueur), c’est-à-dire que ces points seront remplacés par des broches/spits. Notre question sur les choix des critères permettant d’établir « l’indispensabilité » d’un point est restée sans réponse (la faute là encore à l’entrain de la discussion). N’ayant pas parcouru cette voie, cette indispensabilité ne peut pas être actuellement discutée : il est tout à fait possible que la voie franchisse ces dalles très compactes parcourues de minces fissures, dans laquelles seules les lames fines (pitons) permettent la protection, et qui sont si caractéristiques de la Grande et Petite Parois.
–> En revanche, l’exemple d’un des relais de la voie est un cas d’école flagrant de nos deux visions diamétralement opposées : un relais se fait sur 1 piton/1 becquet/1 coinceur, ils proposent de le remplacer par 1 broche/1 becquet/1 coinceur. Alors là on n’est plus d’accord ! Ou bien le becquet est solide et alors il suffit au relais, ou alors il est douteux et il faut le consolider (coinceur) ou faire autre chose. Mais où passe la valeur pédagogique des voies du Caroux si tous les relais nécessitant de réfléchir pour les fabriquer disparraissent ???
–> De plus, un départ d’un relais pose la question du respect de l’engagement des auteurs de la voie et de son caractère : en effet, si dans les principes du rééquipement le critère de ce respect est clairement affirmé, l’exemple de la fiche montrait que ce départ devait être protégé par un point, pour éviter un facteur 2 et éviter un passage expo, point qui n’existe pas actuellement.
–> Enfin, autre point délicat, la question des blocs à purger. La fiche mentionne 2 fois la nécessité de blocs ou écailles à faire partir. Je suis personnellement en désaccord avec ça : le Caroux est aussi un terrain où l’on apprend à se confronter à un terrain qui demande de l’attention.

- Diverses réactions individuelles :

  • Intervention de Dominique Bourret, rééquipeur de l’Hortus et habitant de Rosis (qui s’est étonné d’avoir été prévenu de cette affaire il y a un mois seulement…) :
    –> une convention peut -être dénoncée unilatéralement si elle ne satisfait pas l’un des contractants. Donc la Convention actuelle avec l’ONF n’est en rien le seul cadre de nos rapports avec cette institution (ça nous renvoie à la question « pourquoi pas une convention TA ? »).
    –> Le rééquipement ne doit pas être à l’identique car les pratiques ont évolué et le niveau a monté. Il faut favoriser le libre. Cette remarque n’a pas fait l’unanimité, on s’en doute, pour tout un tas de raisons pas nécessairement convergentes de la part des différentes tendances.
    –> Tout le budget prévisionnel des 200 000 € sera-t-il utilisé ? Daniel a répondu en expliquant que « non », et qu’il s’agit d’un budget prévisionnel de la part du Conseil Général. Le reliquat à chacune des étapes du rééquipement sera restitué. Daniel a par ailleurs expliqué en détail le déroulement des étapes et des rapports entre le CD FFME et le Conseil Général.

  • Intervention d’André Théron, conseiller municipal à Colombières et ouvreur de voies au Caroux :
    –> Il souhaitait connaître en détail les limites de Natura 2000 et savoir comment le plan de rééquipement se calquait dessus. Comme Pierre le rappelle au-dessus, 20% du Caroux sont hors de cette zone et n’ont donc aucune raison d’être concernés par l’oukaze de l’ONF. La discussion s’est égarée sur l’imprécision des cartes disponibles et a oublié de répondre à la question « pourquoi conventionner les 20% restant ? ». A noter qu’André Berché a resoulevé ce point (à propos du Pilier du Bosc) et qu’à nouveau pas de réponse plus claire n’a été donnée.

  • Intervention de Pradel, du CAF Béziers :
    –> Il souhaite un rééquipement à l’identique, spits/broches remplaçant les actuels pitons (tous ou rien que ceux jugés « indispensables », je n’ai pas très bien compris).
    –> A noter une invention du « déconnoscope » certainement promise a un bel avenir !

  • Mon intervention personnelle :
    –> Je ne me suis pas noté, ne pouvant pas parler et écrire en même temps, ça serait donc sympa qu’un autre intervenant (Pierre ? Voire un membres du camp d’en face ?) la résume.

Voilà ce qui peut être ajouté à ce qu’a dit Pierre.

Toutes vos questions sont les bienvenues !

Posté en tant qu’invité par tetof:

Certes, mais tous les projets necessite une estimation du budget. C’est du basic du basic est le projet ne peut pas être monter sans avoir de budget.
Une estimation du budget mentionne necessairement un nombre de voie rééquipé, un nombre de point et un nombre d’heure d’équipement.
Ces chiffres permettraient de sortir du flou.

Faut il rigoler ? Qu’elle est l’interet de mettre un coinceur à coté d’un scellement.

Merci Pierre et Circus.
Je vois qu’il va falloir suivre les évolutions du projet de très près… et je compte sur vous pour continuer à nous tenir informés !

Posté en tant qu’invité par Sylvain TBM:

[quote=Circus]Il fallait bien qu’une date arrive, et que quelqu’un la choisisse :wink: , alors la voilà :

Deuxième week-end de septembre, grande fête du TA au Caroux ![/quote]
Cette date a-t’elle été confirmée lors de la réunion ?