Justement je veux dire qu’il ne s’agit pas d’un site de couenne.
C2C interpellé par les équipeurs
y’a rien à dire
et il y a vraiment matière
faut juste que certain prennent leur retraite de copieurs de topo
@proto pas si loin de ce qu’il se passe pour les couennes
Un petit niveau en grimpe , du ski rando en hiver , et de l’alpi facile en Eté. A mon avis t’as pas le profile.
tu oublis la cascade… à mon niveau bien sur
Ooohhh, faut pas pousser mémé dans la glace pilée quand même !
As tu eu besoin de défricher un chemin, de négocier avec les propriétaires et les élus, avec les chasseurs et les ornithodéfenseurs, de purger, de choisir et acheter des points, de jouer du perfo et j’en passe ?
Que tu sois vexé d’accord, mais là tu pousses le glaçon un peu loin !
comprends pas …
Ben, tu te plains de « recopiage » d’un topo internet de cascade de glace, en arguant qu’hormis le financement la problématique est la même que pour la couenne.
Je te réponds que je ne suis pas vraiment d’accord, c’est tout !
Pour quelle raison as tu publié le topo initial ? Qu’attendais tu au juste ?
Non, @laurentM05 a toujours été clair dans la discussion, ce qui le gène ce n’est pas une question de financement, c’est une question de reconnaissance. Il l’a suffisamment répété, on ne peut pas lui retirer ça quand même. Par contre, c’est sa position, à la différence de l’appel des ouvreurs qui se veut un communiqué commun. Or, là le propos est tout aut:
4- Nous demandons à C2C de renoncer à ces topos exhaustifs, couennes ou grandes voies, car cela, en étant clairement concurrentiel avec les topos papiers ou numériques qui servent directement à l’équipement et à la maintenance.
C’est un peu ça que je reproche à cet appel. Le texte de l’appel original est tourné autour de la notion de couennes et mets en avant la problématique du financement comme motivation principale. Et c’est ce qui fait le plus réagir les gens, parce-que oui les problématiques d’équipement et d’entretient sont ignoré par la plupart des grimpeurs. Donc quand on explique que leur terrain de jeu est en danger à cause de C2C, ils réagissent facilement. Mais quand on discute un peu, on se rends compte que la problématique est bien plus complexe que ça, et ne peu se résumer à un impact financier supposé sur des sites de couennes équipées.
La situation actuelle (vendredi 24 à 20:00, ça poste tellement vite ici ) est une bel exemple: on parle depuis quelques dizaines de messages de reconnaissance et de cascade. Pas grand chose à voir, je crois, avec le texte de l’appel des ouvreurs.
au bout du 1780 eme message je précise…
- dans mes commentaires je n’engage que moi
- je suis équipeur ouvreur défricheur …
- je suis un mauvais grimpeur et piètre alpiniste
- je suis signataire de l’appel
- je défends le financement, le reconnaissance, l’égo, la légitimité, la pérennité, la cohérence des infos « locales », le travail hors équipement des ouvreurs, le plagiat déguisé de C2C… et j’en oublie…
le tout dans l’ordre que vous voulez mais à pourcentage égal…
à peu prêt
et si j’insiste (lourdement) c’est que je crois en une issue cordiale qui satisfera tous le monde
et je pense être en accord avec l’appel des équipeurs
mouais… t’es quand même Guide de haute montagne. On a pas la même définition de « mauvais grimpeur »
je suis lucide sur le niveau du guide…
même si c’est souvent -un peu trop à mon goût- idéalisé…
on peut ouvrir un post???
Juste au passage, tu dis que tu n’engages que toi mais pour les commentaires on va dire que (pour simplifier appelons les les ‹ partisans › de c2c) c’est pareil. C’est une association, même plus largement des contributeurs pas membres de l’association avec des avis qui parfois convergent, parfois divergent. Faut pas forcément croire que l’avis d’une personne vaut l’avis de ‹ c2c ›. Même si je pense que les gens se rejoignent sur beaucoup, quand je lis ça me gène / titille quand tu reprends une phrase et la généralise. Enfin ca crispe un peu le débat je trouve (et sans doute de même dans l’autre sens, même si j’y suis forcément moins sensible)
je comprends…
Et je précise que je ne vise personne en particulier, des fois que
Merci de recentrer le debat Laurent.
Par rapport a l’appel (que je viens de relire), il me semble que les 3 premiers points ne font pas tant debat que cela (meme si les modalites de la moderation mentionnee dans le point 3 - qui soit dit en passant existe deja - sont en effet a definir).
Le point 4 par contre me gene vraiment, tout comme @jewok
D’abord parce qu’il sous entend effectivement que le financement est le coeur probleme, « car cela met gravement en danger la pérennité de nos terrains de jeu, en étant clairement concurrentiel avec les topos papiers ou numériques qui servent directement à l’équipement et à la maintenance. » Or il semble que le financement ne soit pas le probleme principal in fine.
Ensuite parce qu’il ferme la porte au traitement inteligent du probleme au cas par cas.
Du coup, @laurentM05, il me semble a te lire que tu ne sois pas completement en ligne avec ce point 4 de l’appel, si?
je suis totalement en ligne avec l’appel
la gestion des sites de couennes(voire des grandes voies) doit se faire localement (financière matérielle humaine…) le topo (papier ou numérique mais payant) est le lien dans tout ça …
sur ce…
Pfuuu, on a discute ce point en long en large et en travers et la on repart a la case depart, ca me deprime.
non non non
chaque point est important
de l’égo au financement en passant par tous les point que je cite audessus
mais le débat est chouette
par contre là… je lâche
ouf ce dit @Bubu
@laurentM05 faut arrêter de tourner en rond et de mélanger les rancœurs passées .
L’objet initial ce sont les 4 points de l’appel des ouvreurs, pas le hors sujet !
Après, viens pas te plaindre que la modération supprime/déplace des posts qui sont hors sujet et n’apportent rien au débat.
Bonjour,
Pour arrêter les rancœurs passées, il faut aussi en tenir compte : Laurent exprime qu’un de ses topos a été recopié sur ce site, si j’ai bien compris quasiment en intégralité et juste après qu’il l’ait sorti.
Même si c’est il y a de nombreuses années :
- Est-ce que ça c’est vraiment produit ?
- Est-ce que ça pourrait encore se produire aujourd’hui ?
- Est-ce que c’est acceptable ?
- Qu’est-ce qui peut être fait pour que ça ne se reproduise pas ?
On ne réparera jamais complètement les erreurs du passé, mais il faut savoir en tenir compte pour qu’elles ne réapparaissent pas et que l’avenir soit plus simple.
Bernard