Euh… Ce n’est pas vraiment le principe ! Hormis pour quelques bavards du clavier ou autres piliers du bistrot tels que moi, personne ne vient sur c2c pour le forum, qui est un accessoire utile et sympathique au moteur, qui est le topoguide et ses composantes.
En fait ce qui serait quand même bien, ce serait de lister ce qui heurte les uns et les autres dans la forme actuelle de c2c, parce que j’ai quand même l’impression qu’on est en train de déterrer de vieilles rancoeurs, que les gens comme moi n’ont pas connues, et j’aimerais bien comprendre.
Hormis ces vieilles histoire de boutons volés sur les blouses de la bande adverses…
Si le problème vient de la forme, du manque de politesse ou autre, pourquoi ne pas essayer de repartir du bon pied, à savoir le pas alerte mais l’oeil ouvert aux nouveautés ?
Si le problème vient de la peur de voir le topo papier perdre son succès, est-ce qu’on pourrait objectiver le tout et identifier ce qui relève de la peur justifiée et ce qui relève de la peur irrationnelle ?
Si l’inquiétude est d’ordre matériel, est-ce qu’on peut réfléchir ensemble aux solutions ?
Si le problème est la reconnaissance de la part du public, est-ce qu’on peut réfléchir à cela ?
Si le souci est de vous sentir floué, usurpé, est-ce que vous avez réfléchi à la représentation (au sens psycho) que vous avez du fruit de votre travail ?
J’oublie des choses hein, mais c’est la fin de journée…
Qui a demandé au père Noël que tous les contributeurs de ce topic, et tous ceux qui sont concernés en général, réussissent à avancer pour que chacun trouve du plaisir et s’épanouisse, que ce soit en équipant, en rédigeant, en grimpant, en décrivant, en commentant, en coupant des ronces, en purgeant, en rêvant aux voies à venir, en repensant aux voies passées, en flânant au gré des pages d’un livre ou d’un site, en s’intéressant à la géologie et à l’histoire et aux oiseaux et à l’ouverture et aux petites fleurs et aux autres usagers, en organisant des chantiers d’entretien, en faisant des rencontres virtuelles et réelles pour que nos terrains de jeu soient accessibles, en échangeant autour de la cotation, en proposant de l’aide, en demandant un coup de main, en grimpant encore évidemment, bref, en étant des grimpeurs et/ou des équipeurs responsables, solidaires, « fair-play », généreux, optimistes etc, etc etc ?