Le plagiat a été signalé moins de 15h après la copie sur c2c.
Les copies ont été supprimées 30min après le signalement.
Est faux dans le fond puisque les données demeurent. La raison du pourquoi elles demeurent n’est pas ce que je souhaitais pointer, c’est juste que le fait est qu’elles demeurent ; c’est tout
Je sais très bien que c’est un gros travail technique que vous faites et que vous ne pouvez pas être sur tous les fronts en même temps.
Sauf qu’il est impossible de les trouver via google ou le moteur de recherche de c2c.
De plus, la plupart du temps ce n’est pas un vrai plagiat. Copier un paragraphe d’un livre est autorisé. Et il faut que le texte soit original.
On supprime quand même ce genre de copie pour éviter qu’on nous casse les pieds. Et aussi parce que l’accumulation de dizaines de copies de paragraphe depuis le même livre deviendrait du plagiat.
Ici, c’était la traduction d’une partie de la description disponible sur gulliver, qui elle même est la description disponible au parking et qui est en photo sur FB.
Enfin, les auteurs nous ont autorisé à copier la description FB sur c2c, donc celle de gulliver.
Du coup, il n’était pas nécessaire de supprimer la description.
On peut remarquer la différence d’état d’esprit entre ces ouvreurs italiens qui souhaitent que le topo soit diffusé le plus possible, et les français qui nous accusent de plagiat dès qu’on copie une cotation.
tout a fait d’accord.
Et ne pourrait on pas proposer de modérer les photos des topos a priori ? Ca éviterait les plagiats simples en photographiant un topo. S’il y a une photo d’un topo, il faudrait demander au contributeur de fournir sa source et son autorisation. La surcharge de travail serait elle supportable par la @Moderation_Topoguide (qui sont je le rappelle des bénévoles) ?
Pour l’instant, il semble bien qu’il n’y ait pas de baisse significative de la vente des topos. Par exemple, Marcel Demont, à donné l’ensemble de ses topos à la communauté des grimpeurs, via C2C, et il n’a constaté aucune baisse de vente de topo.
Ensuite, pour faire un paralèlle, il y a sur le web, une foultitude de site de cuisine qui détaillent en libre accès toutes les recettes possibles et imaginables. Il suffit de faire un tour dans une grande librairie pour voir que ça n’empêche pas les éditeurs de vendre des livres de cuisine. Au contraire même, les livres de cuisine sont quasi toujours des succès. Si marmiton.org n’a pas tué les livres de cuisine, pourquoi C2C tuerait il les topos ?
Tu sais que quleques heures après que tu mettes quelque chose sur internet, c’est indexé par les moteurs de recherche ? Et que donc c’est souvent accessible sur leur cache ?
Et qu’en plus l’Internet Wayback machine archive l’ENSEMBLE DU WEB !!! et à plusieurs dates en plus ?
par exemple, le site d’un guide des hautes alpes TEL QU’IL ETAIT LE 23 AVRIL 2015 :
Du coup, même si tu le supprimes, ca reste accessible ?
En fait, c’est pas C2C que certains devraient critiquer. C’est l’ensemble du Web. Et particulièrement le web collaboratif…
Sinon, @laurentM05 est en train de devenir addict à C2C. Bientôt il postera encore plus que moi ;-).
(Je suis quand même super heureux de pouvoir échanger avec lui et @maniba de façon calme).
non non l’histoire terminée (ou pas) je retournerais dans mes pénates …
je préfère être actif sur le terrain plutôt que dans une vie finalement peu réelle
vous êtes en décalage complet derrière vos écrans…
et ça m’énerve d’autant plus car vous voulez dicter vos règles
quand je vois ce type de post liké par un modérateur je me dis qu’il ni a vraiment rien à tirer de C2C
et qui montre un manque total de politesse, de respect dans un échange qui se voudrait constructif
là aussi faudrait modérer
Elle est bien bonne :-)) pourquoi la notion de plagiat existerait-elle si un auteur ne pouvait pas se prévaloir d’une protection sur le contenu de sa publication
Pourquoi ? J’ai simplement expliqué que ces anciennes versions ne posent pas un gros problème légal, car en réalité il n’y a pas beaucoup de vrai plagiat dans ces anciennes versions. On supprime en préventif, sans prendre le temps de savoir si ça pourrait être condamné pour plagiat ou non.
Mais si qqun n’est pas d’accord avec la façon dont sont modérés les copies sur c2c, RDV au tribunal.
Concernant les copies, c2c est bien plus clean que bon nombre de topos papier !
Les modos font un gros boulot pour détecter les copies, et les utilisateurs aussi en signalant des copies. Malgré tout, par an, il y a moins d’une dizaine de suppressions de copies de texte copiés sans l’accord de l’auteur. Parmi ces copies, une petite partie relève du vrai plagiat.
Oui, bon nombre de copies de texte, comme la description de l’approche d’une voie dans le Mont blanc, n’est pas du plagiat. Mais on le supprime quand même.
Des vrais plagiats de texte, il n’y en a pas eu beaucoup, peut être 4 ou 5 en 20 ans. Généralement c’était à la création d’un article ou itinéraire, donc tout a été supprimé, il n’y a rien dans les versions.
Pour les images, il y en plus, mais tout est supprimé aussi.
le message est clair…
vous voilà donc éditeur de topo pirate …
ne contribuant en rien à l’activité
totalement en décalage avec votre concept…
totalement en décalage avec l’éthique de nos activités
Juridiquement un auteur est protégé du plagiat.
Et ce n’est pas ta vision des choses, ta volonté qui y changera quelque chose.
C’est peut être ce qu’il va se passer mais j’espère qu’un point d’accord compromis sera trouvé à l’amiable entre être humains empathiques
Je trouve qu’avec des réactions de la sorte (mépris, têtu, borné, irrespectueux) on est pas sortis de cette problématique des topos ; que ça ne créé pas un climat propice.
Tu remarqueras que si un contributeur faisait la même chose sur c2c, ce serait immédiatement supprimé.
C2C est plus clean que google. Et google n’est pas dans l’illégalité.
et bien vous n’avez qu’à le modérer lui et son disciple ou encore mieux, l’exclure si il ne rentre pas dans les status C2C (ce que vous avez fait pour Fara…)… peut être qu’on pourra avancer…
allo allo allo on me dit dans l’oreillette qu’il menace de créer un clone de c2c si vous vous « pliez » aux « exigences » des ouvreurs…
On n’en a déjà beaucoup parlé.Juridiquement, il n’y a pas grand chose d’attaquable sur C2C. Bubu et mollotof ont raison totalement raison sur ce point. Celui qui essayerait aurait toutes les chances de se casser les dents. Les deux accusations récentes de plagiat se sont révélées être l’une la reprise de documents que leurs auteurs souhaitaient diffuser le plus largement possible, l’autre un simple lien vers une autre site (quelque chose de tout à fait légal) pris par erreur par Maniba comme un scan de son topo. En cherchant on trouvera peut-être quelques autres exemples douteux à modérer, mais rien sur une grande échelle qui pourrait justifier une condamnation en justice. Vous le savez.
Le débat se situe sur un autre terrain. Est ce que la diffusion à grande échelle d’informations qui par nature sont totalement libre de droit peut oui ou non nuire à la vente des topos et si c’est le cas, ou s’il y a des arguments sérieux qui indiquent que ça pourrait être le cas, comment prendre ce problème en compte?
Je précise argument sérieux parce que dire simplement « si c’est gratuit sur le net alors les gens n’achèterons plus de topos » c’est juste un a priori qui ne tient pas compte des multiples raisons pour laquelle on achète un topo papier. Ca aussi ça déjà été dit par moi mais aussi par d’autres.
Au passage, c’est amusant parce que Jean louis Fenouil qui a été qualifié ici de légitime par son activité d’équipement dans les Calanques est aussi l’auteur du topo rouge.
Et ?
Franchement, je pense que c’est ce qui pourrait arriver de mieux dans cette histoire : qu’une ligne plus contraignante soit adoptée par c2c. Ligne partagée par une grande majorité de la communauté grimpante.
Un éventuel clone ne ferait alors que courir après les infos présentes sur la version officielle (qté de travail importante, stockage physique, etc…)
Après il faut que les ouvreurs intègrent qu’il faut que la ligne de la version officielle satisfasse la majorité évoquée plus haut. Pourquoi ne pas être moteur sur la définition de cette ligne ? (d’ailleurs, tous les signataires vous pourriez adhérer à c2c. Je pense que vous seriez dès lors majoritaire dans l’assoc je provoque un peu )
De mon point de vue (et la je reviens peut être 1000 messages en avant) :
sur la couenne, ça me semble faisable
sur les GV. L’adéquation entre la demande les ouvreurs et le besoin du grimpeur me semble pour le moment difficile. D’un côté, JMC développe par exemple la nécessité d’entretien équivalente voir supérieure aux couennes : OK. Mais je n’ai pas eu entre les mains un topo de GV d’ouvreurs (Le Galley par exemple répond à ce que j’attend d’un topo de GV… nb de page du Cambon en description équivalente ? ) équivalent à ce qu’on peut trouver sur c2c : rien de développé sur ce point côté ouvreurs.
Un topo devrait servir à rétribuer, même modestement, un ou des ouvreurs de leur travail, mais la fonction 1ere de l’objet est de répondre aux besoins du grimpeurs.
Est ce que une obligation de saisir une sortie lors de la création du document ne suffirait pas ? On ne pourrait alors plus parler de plagiat.