cela reste un supposition … pas une affirmation
donc à chaque longueurs, elle a du noter le métrage etc etc etc
car sinon elle a une sacré mémoire
C2C interpellé par les équipeurs
Ca reste un métrage à ±5m …
Je me suis fais reprendre des métrages de cascades que j’avais donné à + 5m (par sécurité) par des modérateurs de C2C…
« Chez C2C on est très rigoureux la dessus » m’avait on répondu
le fil des post doit se retrouver
et il faut avouer que si le métrage est indiqué sur le topo italien (que je ne connais pas) et que ce sont les même il peut franchement y avoir ambiguïté
si par contre c’est pour corriger une approximation ou une erreur du topo c’est parfait…
Après vérification, les informations ont été traduites depuis le site Gulliver. Cela n’est pas compatible au niveau licence, la description des longueurs a donc été supprimée. Merci pour votre vigilance.
Bonjour,
Canaliser les skieurs sur un espace limité peut permettre de laisser des zones de nature intactes autour, alors que les skieurs de randonnée ont tendance à aller partout.
Et aussi, toutes les activités ont un impact sur la nature, même réserver un terrain et utiliser des matériaux pour construire une salle d’escalade, mais on ne peut pas tout interdire non plus, il faut trouver les compromis les plus adaptés.
Bernard
Gulliver, si google m’a bien traduit, c’est un « concurrent » italien à C2C.
http://www.gulliver.it/user/itinerario_home.php?cg_cna=FR&cg_reg=RA&old_cg_cna=FR&old_cg_reg=RA
Visiblement, il ne sont pas sous licence libre. Donc eux, peuvent très bien, un jour, quand tout le monde sera accroc au site, se mettre à rendre payant l’accès aux topos. Contrairement à C2C. Ils demandent bien aux contributeurs de ne pas mettre d’info protégée par du droit d’auteur, ,mais on voit bien que le contrôle est diffcille à faire.
(juste pour rapeller que C2C n’est pas l’ennemi).
Ah bah pour les photos, là par contre la loi est très claire (*). Elles sont à toi et le resteront 70 ans après ta mort.
Tu dois pouvoir attaquer les sites qui t’ont volé des photos et leur demander de te payer les droits d’auteur dessus.
Si ce sont des sites étrangers, bien sûr, ça va être compliqué. Mais si ce sont des sites français, aucun pb. (sauf si tu les as publiées sur un site qui prévenait explicitement qu’ils allaient diffuser tes photos).
(*) pour les descriptions de voies, le pb est, légalement, pour prouver le plagiat.
(message supprimé par son auteur, sera supprimé automatiquement dans 100 heures à moins qu’il ne soit signalé)
A tes souhaits !
Et c’est quoi le sujet sinon ?
oui, j’étais un peu HS. Mea culpa.
c’est un problème sans solution, alors.
- l’appel des ouvreurs demande à ce que l’historique soit mentionné (je suis d’accord avec eux la dessus)
- donc les contributeurs font la chasse aux itinéraires non renseignés -> à l’aide de leur topo papier, ils remplissent le nom de l’ouvreur
- Comme c’est toi qui avait trouvé après moult recherches le nom de l’ouvreur, tu t’estimes « doublé » et tu as de la rancoeur.
Question : on fait comment ? mis à part interdire tout topo sur C2C (et là je suis pas pour) je vois pas de solution.
Il me semble que copier les infos du type « nom, ouvreur » ce n’est pas faire du plagiat…
Le plagiat est une faute d’ordre moral, civil ou commercial, qui peut être sanctionnée au pénal, elle consiste à copier un auteur ou accaparer l’œuvre d’un créateur dans le domaine des arts sans le citer ou le dire, ainsi qu’à fortement s’inspirer d’un modèle que l’on omet, délibérément ou par négligence, de désigner.
(Wikipédia)
Le plagiat répond donc à une définition bien précise.
En complément et notamment à propos de la contrefaçon : https://fr.wikipedia.org/wiki/Contrefa%C3%A7on#Aspects_l.C3.A9gaux
Le fond de la discussion n’est pas tant de citer les auteurs (évidemment il faut les citer !) mais de reproduire des contenus protégés par le droit d’auteur et de les diffuser sans l’accord de l’auteur. Ça, c’est le droit et pas seulement pour les œuvres d’art car la propriété intellectuelle ce n’est pas que les œuvres d’art.
Ensuite : que cela soit fait à titre gratuit, payant, loi 1901 ou SA, licence CC etc… Tout cela ne change rien au fait et n’exonère d’aucune responsabilité.
Etant donné qu’il y a pléthore de topos des Calanques, afin d’indiquer sur c2c quel topo finance le rééquipement, as-tu des infos à ce sujet concernant le topo dont tu fais la pub ?
C’est le principe d’internet : dès qu’on publie une info sur le net, elle peut être copiée par des dizaines de sites un peu partout dans le monde.
Si ce sont juste des copies d’infos (par exemple les cotations et longueurs des longueurs d’une grande voie), c’est autorisé par le droit de citation (à condition de citer la source), donc il n’y a pas de problème.
Si ce sont des copies d’images et de longs texte en entier, c’est du plagiat, et il faut demander à celui qui diffuse la copie de la retirer.
Mais il n’est pas possible (et pas souhaitable) de surveiller tout le contenu de millions de sites et blogs avant qu’il soit mis en ligne. La modération est forcément faite a posteriori. Sur c2c, on conserve ce principe.
Et quand un modo modifie un document, ça ne signifie pas du tout que la modération a mis un tampon sur le document certifiant que le document est clean !
La modération aussi est itérative : on corrige successivement différentes choses, les plus simples étant ce qui ne nécessite pas de connaitre l’itinéraire (mise en forme, mauvais sommet, doublon, etc).
N’importe qui peut signaler un problème à la modération. La modération ne contrôle pas tout le contenu systématiquement, elle n’est pas omnisciente.
La travail de surveillance des copies illégales est aussi un travail collaboratif.
le tout est de savoir ce que sont ces contenus. Et de trouver un équilibre entre recopier purement et simplement les topos et s’abstenir de toute description de voie sous prétexte que l’équipeur veut garder sa création pour lui seul…
Il suffit de voir les plagiats dans le monde littéraire. Qui soulève les lièvres ? des journalistes ou des particuliers dans 99.99% des cas. Les éditeurs ‹ papiers › ne sont bien évidemment pas à l’abri de ce genre de mésaventures. Il ne faut donc pas demander à des éditeurs en ligne d’être plus vertueux que des éditeurs ‹ papier ›.
Désolé, ce n’est à personne d’autre qu’à l’auteur d’en décider !!! Il n’appartient à personne d’imaginer quelque solution que ce soit, même si ça nous arrange d’avoir de l’info sans payer. C’est le droit de l’auteur et il doit être respecté.
De même lorsque C2C choisit de diffuser sous licence CC- (x ou y) ses propres contenus dont il dispose des droits, c’est son choix aussi.
Tout à fait et en premier lieu c’est au contributeur de savoir si les infos qu’il va publier sont libres de droit ou pas ===> on demande à l’auteur ! Voiiiilà
pas d’accord
il faut modérer avant diffusion…
ce qui peut aussi être un travail collaboratif et même là vous ne saurez pas si c’est plagiat / recopiage ou pas …
il faut connaitre le topo le lieu et la voie