C2C interpellé par les équipeurs

En effet.
Ton evaluation me parait scientifiquement plus sérieuse que celle de l’IPSOS…

Ben j’espère que non. Cela signifierait qu’il y aurait autant de grimpeurs que de chasseurs. C’est plutôt une bonne nouvelle. On va pouvoir combattre à « armes » égales.

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je pense que c’est effectivement ça qui monte le nombre de « pratiquants ».

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Effectivement, un million me parait un peu gros, faudrait voir comment l’IPSOS a obtenu ces chiffres.

Après, il me parait tout à fait possible que le nombre de grimpeurs en France soit assez élevé (comprendre une personne qui pratique l’escalade en loisir au moins une fois de temps en temps). Et dans cette foule de grimpeurs, l’énorme majorité est surement constitué de grimpeurs évoluant en SAE commerciale et ayant une très faible connaissance du milieu, de la culture de la grimpe.

Par exemple il y a quelques années je travaillait en région parisienne, et découvre par hasard qu’un collègue fait du bloc dans une salle depuis deux ans. On discute et je lui propose de m’accompagner un weekend à Fontainebleau. « ha bon, y’a une salle à Fontainebleau? » ça ressemble à un gag et c’est pourtant véridique. Je pense que l’écrasante majorité des « grimpeurs » en France n’achète pas de topos, ne sort pas grimper dehors et ne consulte pas C2C.

Page 50, pour cette enquête de 2010 :
http://www.sports.gouv.fr/IMG/pdf/la_pratique_des_activites_physiques_et_sportives_en_france.pdf

:flushed:

@Dani Et alors cette réunion du 18-11 ??

Motus et bouche cousue. Vous attendrez le communiqué officiel de c2c, dans l’assoce et hors assoce.

On verra ensuite ce qu’il convient de faire. Ou pas.

@Gros je ne sais (encore) rien :slight_smile: pas de stress. :wink:

Du coup vous avez été ici ? Lol, je sors

http://karma.ffme.fr/index.php/karma/presentation

Ça donne l’impression au cours de ce fil, que les grimpeurs de SAE ne connaissent pas forcément les codes etc des SNE et à l’inverse que les grimpeurs de SNE sous estiment là quantité et les pratiquent de ceux qui grimpent en SAE ( notamment dans les métropoles). 1,2 million même d’après cette enquête de 2010? Après, le nombre précis on s’en fou 1 peu, faut plutôt y voir l’ordre de grandeur.
La frontière n’est pas étanche, et une partie (de cette masse [2.0 ??]) va bien aller voir ce qu’il s’y passe sur le rocher. L’enjeu est peut-être là: Communication sur les bonnes pratiques sur les sites SNE et achat de topo solidaires.

Bonsoir,

Probablement assez comparable aux skieurs : je ne sais pas combien il y a de millions de skieurs en France, mais je suis presque sûr qu’il n’y en a qu’une infime partie qui fait du ski de randonnée.
Il y a un tas de raisons à ça :

  • méconnaissance de la nature,
  • préférence pour une activité plus sécurisée,
  • préférence pour une activité plus facile d’accès,
  • influence de la publicité pour orienter les pratiquants vers les activités payantes,
  • et peut-être aussi pour quelques-uns la volonté de laisser la nature intacte,
  • etc.

Bernard

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Effectivement, j’avais lu 100 000 pour la france

Pour revenir au débat : Topo papier Vs Topo numérique.
J’ai acheté ces derniers jours (malgré que j’ai déjà les topos concernés ) ce bouquin: http://www.grimper.com/news-livre-escalade-les-calanques-enfin-beau-livre
Une beauté! Un régal à feuilleter.Le genre de livre qui te donne l’envie d’aller cocher toutes les voies. Bien conçu également avec toutes les descriptions et un récapitulatif final par niveau de cotation.
Le genre de livre que le numérique ne supplentera pas.
Et pourtant, c’est un livre. Grand, volumineux, que tu n’emmènes pas dans le sac, et finalement complémentaire du numérique. Y’a de la place pour les deux.

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A propos de plagiat et de copie directe d’un topo, que fait la modération dans ce cas?:
https://www.camptocamp.org/routes/946185/fr/placche-di-oira-il-cammino-del-sole

une fois qu’elle est prévenue (@Modo_Topo_FR en commentaire du document), elle regarde et agit. Merci pour votre vigilance !
En l’occurrence, les images (photo d’un topo - placardées ?)ont été supprimées en attendant de voir si la personne qui a saisi le topo avait l’autorisation pour les diffuser
La description semble bien être celle de l’auteur ; elle n’a pas été modérée dans l’immédiat.

Voilà exactement ce que j’appelle du plagiat déguisé, l’auteur de la sortie recopie un topo…
et je comprends que ce soit très difficile à modérer…
les commentaires sont ils celui du topo???
ou celui de l’auteur de la sortie.???
les détails des longueurs sont ils ceux du topo ou l’auteur de la sortie a t il mesuré les longueurs lui même???
les commentaires de la descente idem…

ce qui veut donc dire que sans une modération extrêmement vigilante, connaissant les topos papiers, c’est très compliqué…

La situation aujourd’hui est : on laisse mettre et on corrige ensuite, pendant ce temps là le topo plagié est libre d’accès, ce qui sans doute enrage les auteurs de topo…

alors plagiat, recopiage, ou création???

ATTENTION je ne jette pas de pierre, mais nous sommes plutôt d’en une situation a essayer de comprendre et trouver des solutions (sans savoir ce que la réunion de samedi à donné)

Je ne sais pas si on peut avancer cet argument pour des personnes préférant le ski de piste au ski de randonnée avec un prétexte écologique, de préservation de la nature :slight_smile:

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Les cotations saisies sur C2C sont différentes des images du topo (description en italien) qui étaient associées. Avec une attitude bienveillante, on peut donc supposer que c’est bien la description et le ressenti de la personne qui a parcouru l’itinéraire. Peut être cette personne pourra préciser cela si elle nous lit ?

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oui… et c’est vers là que nous devons aller pour garder de la crédibilté
même si c’est très compliqué
par exemple depuis plusieurs mois je fais des recherches pour un topo sur les ouvreurs et historique de certaines voies
recherches qui seront reprise en 2 clics et ça c’est décourageant :wink:

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