bon … les longueurs font plutôt 30 à 70 me à céüse…avec une bonne moyenne à 50 m pour les dernière
tu peux donc revoir ton budget…
n’oublie pas les points qui serviront à l’accès par le haut etc etc etc
les cordes
les forets
etc
etc
etc
C2C interpellé par les équipeurs
Je ne crie sur rien, je fais part de mes opinions. Ensuite, ce genre de banderole, (comme le fait de rentrer frénétiquement des références à des livres ou à des couennes) procède d’une intention (? de se border) qui anticipe sur des accords qui ne sont pas encore actés par les parties.
C’est pas tout à fait ce à quoi je pensais allusion du genre si des contributeurs en venaient à modifier les données sur les itinéraires…
Même si aujourd’hui beaucoup tentent de les confondre, je ne sais pas si on lit la même chose…
Toutefois, si le terme « éthique » est synonyme de morale dans un sens « ordinaire », pourquoi le mot « morale » ne se rencontre-t-il pas une seule fois dans l’Éthique de Spinoza ? La raison en est que la morale consiste en un ensemble de règles « relatives » fictivement érigées en Bien et Mal absolus, comme le confirme sa définition dans le paragraphe suivant, alors que l’éthique est précisément la morale débarrassée de ses croyances superstitieuses absolutisant le relatif et de ses condamnations moralisatrices utilisées comme une arme contre les Autres
…
Une distinction courante consiste à entendre par « morale » l’ensemble des normes propres à un individu, à un groupe social ou à un peuple, à un moment précis de son histoire et à appeler éthique la recherche du bien par un raisonnement conscient. Durant l’époque moderne, le terme « éthique » est généralement employé pour qualifier des réflexions théoriques portant sur la valeur des pratiques et sur les conditions de ces pratiques ; l’éthique est aussi un raisonnement critique sur la moralité des actions. Il est, par exemple, question de « comité d’éthique » au sein d’institutions scientifiques ou d’hôpitaux. L’éthique aurait donc ses fondements dans une décision dite rationnelle prise à partir d’un libre dialogue entre des individus conscients des savoirs et de cultures parfois riches de traditions et de codes idéologiques assimilés.
Une autre distinction est proposée par certains philosophes contemporains (Deleuze, Ricœur, Comte-Sponville, Robert Misrahi, etc.) pour définir la morale comme un ensemble de devoirs (impératifs catégoriques qui commandent de faire Le Bien posé comme valeur absolue, par exemple « tu ne tueras pas ») et l’éthique comme la réalisation raisonnable des besoins (tendance naturelle à chercher le bon comme valeur relative - la recherche de son bonheur, qui peut par exemple légitimer certains actes médicaux généralement considérés « immoraux » comme l’euthanasie, l’avortement, le don d’organe, etc.).
La morale est ainsi généralement rattachée à une tradition historique et parfois idéaliste (de type kantienne) qui distingue entre ce qui est et ce qui doit être, selon le dogme. Alors que l’éthique est liée à une tradition contemporaine et parfois matérialiste (de type spinoziste) qui cherche seulement à améliorer la perception de la réalité par une attitude « raisonnable » dans la recherche du bonheur pour tous. Ainsi, le droit se distingue de la morale et de l’éthique, dans le sens qu’il ne définit pas la valeur des actes, le bien/mal, le bon ou le mauvais. Il définit toutefois ce qui est permis et défendu par les pouvoirs d’une culture, dans une société humaine. La déontologie professionnelle est, pour sa part, l’ensemble des obligations que les professionnels s’engagent à respecter pour garantir une pratique conforme au code d’éthique de la profession, d’où le concept intermédiaire d’éthique déontologique.
Éthique — Wikipédia
Tu as raison, sur cette page, il n’y a rien. Il faudrait le rajouter, par respect pour les ouvreurs, je te rejoins entièrement.
Ah oui, les forêts sont super-jolies, par là-bas, c’est aussi vous qui les avez plantées?
Vous énervez pas, j’essaie de dire une connerie pour m’occuper…
Fouille un peu plus.
OK, alors pour ça, il faudrait peut-être justement rentrer les infos éthiques sur C2C… c’est-à-dire le nom de l’ouvreur, la date, les remerciements, la référence du topo, etc.
Le reste, c’est quand même une histoire de pognon, non?
Oui mais c’est une proposition concrète, au moins. Après, je ne dis pas que c’est une bonne proposition…
Bonne nouvelle pour les topos papiers !
Il peut être intéressant pour anticiper l’évolution, de comparer notre situation avec l’expérience (>10 ans de recul) de l’IGN qui parallèlement aux cartes papier fournit aussi des cartes numérique, gratuite et / ou payante, et subit aussi la concurrence.
Cet article montre qu’un regain d’intérêt pour le support papier se manifeste. Idem dans d’autres pays.
En tout cas, ils diversifient les sources de revenus. (Idem pour la presse)
Non…
Pas plus que l’investissement perso, pas plus que l’attachement à une région, une falaise, pas plus que la joie d’équiper, pas plus que le plaisir de voir grimper des gens dans MES voies…qui restent et resterons MES voies (même si pour C2C elle tombent dans le domaine public et au fait…sur une falaise privée???)
mais ça facilite les choses … le pognon
Je rappele qu’il s’agit de 30 000€ payant des professionnels pour réaliser un travail.
tu devrais relire… avant d’écrire des âneries sorties du contexte…
30 000 - la via (je dirais 10 000 désolé je ne me rappelle plus exactement) sur 4 ans soit en gros 5000 par ans à ceci il faut enlever le matos …bien sur
nous étions 3 ou 4 … quel pactole pour un travailleur indépendant…!!!
on est plus proche du bénévolat que du jack pot
oui… pour le bonheur de centaines de grimpeurs chaque année
je t’invite à venir au printemps @hedera veut organiser une journée ou un we ou on fera de la prévention et du ré équipement
Les licences Creative Commons ont été créées en partant du principe que la propriété intellectuelle était fondamentalement différente de la propriété physique, et du constat selon lequel les lois actuelles sur le copyright étaient un frein à la diffusion de la culture.
Leur but est de fournir un outil juridique qui garantit à la fois la protection des droits de l’auteur d’une œuvre artistique et la libre circulation du contenu culturel de cette œuvre, ceci afin de permettre aux auteurs de contribuer à un patrimoine d’œuvres accessibles librement par tous.
C’est bien, pendant que tu te bats pour faire rayonner la culture et les arts à travers l’humanité, l’ambition de @laurentM05 et consort est beaucoup plus modeste : c’est juste te permettre de grimper en toute sécurité.
Yann Borgnet explique le sujet : quelques personnes défendant des intérêts privés sous couvert d’altruisme. J’aime.
Ecoute @Jose12 tu as raison…
je l’avoue …
Sous couvert d’altruisme (c’est une jolie phrase ça je ne pensais jamais l’employé dans ma vie et j’équiperais une voie avec ce nom) je me fais les c******* en or…
Les panamas papers c’était moi… et j’ai enchainé sur les paradise paper car je ne savais plus ou mettre le pognon détourné en équipant des voies…
C’est tellement une méga couverture que les descendant de Ravel m’ont contacté…
ça t’intéresse ??? viens jouer avec nous
Tu devrais arréter de crier. Nous ne sommes pas sourds.
Ce n’est pas en montant sur la table que tu seras plus grand.
écoute @Jose12, pour le moment celui qui invective, menace et gronde c’est toi…
moi je répond gentiment (pour le moment ) et avec humour à tes dires farfelues et sans fondement…
tu devrais finir ton pastis et rentrer à la maison…
quasiment 90 personnes (côté équipeur)… ça fait plutôt quelque dizaines de personnes… dont quelques grands nom remerciés régulièrement par l’impétrant…
Pour la défense des intérêts privés… venant d’un mec sponso…et communiquant… la paille, la poutre… tout ça…