C2C interpellé par les équipeurs

[anon67039162]

@ThomasR

Tu comprendras qu’entre ma vie professionnelle et familiale,

parce que je n’ai ni vie perso ni vie pro…

[j0k3R]

Fait un effort Plus rapide que d’ouvrir mon topo d’Orpierre :
http://www.orpierre.info/contact.html

Nicolas Jeannin

[anon67039162]

@pulse

Fait un effort

et encore plus rapide que moi car il aurait fallu que quitte mon ordi, ouvre mon tel, me rende compte que leurs coordonnées sont dans un calpin papier etc etc etc
le collaboratif y a que ça de vraie… la preuve

[Jose12]

@jpm31

Perso j’en ai marre des topos papier:

• Ils sont obsolètes trop rapidement.
• Ils sont pas écologiquement optimaux.
• Ils pèsent.
• Ils s’abiment.
• Ils sont souvent épuisés.
• ils sont trop nombreux et fractionnés pour s’adapter à un mode de vie un peu nomade.
• Ils sont parfois pas bons.
• Ils sont trop chers (30 euros pour une aprem de grimpe sur un site, c’est cher payé)
• Une trop faible part de leur prix va effectivement à l’équipement.

C’est un peu rapide.

Les éditeurs de topos papiers devraient utiliser les informations des plateformes numériques pour faire des bons topos

[j0k3R]

@laurentM05

le collaboratif y a que ça de vraie… la preuve

J’en suis convaincu… sauf que faut qu’une grande majorité adhère au projet final. Donc que ce dernier soit défini au minimum à un instant t.

[anon67039162]

@pulse

sauf que faut qu’une grande majorité adhère au projet final.

du collaboratif… du local et… du respect…

respect de personnes, respect du travail, respect de l’histoire

et on avancera

[gug]

Pi d’abord, c’est kiki définit le projet final??

[bernard_guerin]

Bonjour,

@captain-iglo

tellement stérile comme réponse

Et pourtant, cette réponse, elle représente aussi l’avis de certains « consommateurs ». Des consommateurs qui n’ont pas envie que tout soit décidé par les « puissants », que ce soit le patron, le politique, le banquier, le commerçant, ou en ce qui nous concerne l’équipeur.

Je ne trouve pas que « sortir » soit une façon d’essayer de comprendre ou de répondre.

Bernard

[Chti.nain]

Les éditeurs de topos papiers devraient aussi communiquer sur le où acheter leur topo!
Moi ça me gonfle de perdre une demi journée à tourner entre l’OT ( quand il est ouvert…), le tabac (qui ne l’a pas), le camping (non plus), 3× le tour du bled pour trouver l’auberge de jeunesse qui a déménagé et où peut être si tu as de la chance il en reste un vieux où tu peux prendre en photo les voies qui t’intéresses car ils n’en ont plus qu’un qui n’est pas à vendre… Et c’est du vécu…

Pour d’autres topos, on voit un post sur c2c, hop un petit mail au local du coin, et t’as l’adresse du tabac dans le bon bled où tu le trouves (encore merci à @maniba pour celui de Die).

[mister_orange]

@bernard_guerin

Des consommateurs qui n’ont pas envie que tout soit décidé par les « puissants », que ce soit le patron, le politique, le banquier, le commerçant, ou en ce qui nous concerne l’équipeur.

Seigneurs des falaises et maintenant bourgeois capitalistes … ça devient surréaliste

[maniba]

Je trouve les critiques envers les équipeurs injustes. certes ils ont de l’ego mais pas que. Sans un « ego » d’équipeur, ils se contenteraient d’être des grimpeurs consommateur en grimpant les voies de sites en sites en râlant contre le mauvais rocher, les mauvaises équipements, les mauvaises infos des topos…
Le monde de l’escalade sur sites naturels est en crise. La FFME veut se débarrasser de la responsabilité de la plus grande partie des SNE, quitte à en généraliser l’interdiction ( pour les site deconventionnés) et en professionnaliser la gestion ( équipement, entretien…) avec l’impact financier qui va avec.
Les râleurs pourront alors râler contre le prix à payer pour leur terrains de jeu( Impôts via les collectivités, financement via les clubs, entrées payantes…), le non renouvellement des sites, la surfréquentation, les prises patinées, l’obligation de porter un casque, d’avoir un diplôme d’autonomie…
Le système avec les équipeurs bénévoles ( plein d’égo) actuels assure un un nombre de voies pléthorique, avec l’ouverture régulière de nouvelles voies, un entretien pas si mauvais que cela, une liberté de pratique pour un coût modique. Alors au lieu de taper sur ses équipeurs ( dont je fais partie), posez vous les bonnes questions:
Quelle escalade je veux pratiquer ? Est -ce que le prix que je « paye » pour accéder aux différents sites d’escalade est juste ? Est ce que je souhaite un nouveau système plus commercial, plus professionnel, plus aseptisé, plus normé, mais aussi plus cher, plus contraignant…
Sur ce je vous laisse à vos réflexions.

[gug]

Ouai… bientôt les équipeurs devront demander l’aval de C2C pour ouvrir… payer une taxe pour la V7 et proposer des boulots de maintenance pour les personnes voulant se rendre utiles…
Bientôt, il faudra faire un débat sur le positionnement des points… @Kryst0f ira autoassurré du haut pour dire que c’est 7C du point de vue de ses jumelles.
Pendant ce temps là, il lancera comme d’hab, 12 trolls et 56 jumellage de la salle d’escalade (et un peu de troll sur skitour… les RTT, tout ça tout ça…)
… Et le pire c’est qu’à la fin on ne saura pas si on doit poser le machard dessus ou dessous…

Non mais sans dec, les points que l’on clippe, y a bien fallu les poser non?? et le mec qui a fait ça… ben dans la plupart des cas*, comme ça plait à la communauté, faut lui dire merci… et respecter son travail… et s’avouer que même si avec un peu plus de temps, de moyen, de connaissance, d’argent,… on aurait pu faire une via ferrata à la place… on est qd même content de faire cette jolie voie…
Et ce mec, ds 5 ans, il va se taper le rééquipement (ou pas) financement participatif (ou pas)

Pis des fois, voire même souvent, l’égo… ça a du bon ( on ne dirait pas sinon: « un ego mal placé »)

@maniba

Le système avec les équipeurs bénévoles ( plein d’égo) actuels assure un un nombre de voies pléthorique, avec l’ouverture régulière de nouvelles voies, un entretien pas si mauvais que cela, une liberté de pratique pour un coût modique. Alors au lieu de taper sur ses équipeurs ( dont je fais partie), posez vous les bonnes questions:
Quelle escalade je veux pratiquer ? Est -ce que le prix que je « paye » pour accéder aux différents sites d’escalade est juste ? Est ce que je souhaite un nouveau système plus commercial, plus professionnel, plus aseptisé, plus normé, mais aussi plus cher, plus contraignant…

*les cas de dérapages sont qd mêmes rares

[Ml2]

@Bubu et @Jibie : j’avais pourtant écris ça:

@Ml2

Je n’attend pas de réponses a ces questions précises, c’est juste un exemple de la complexité qui s’annonce et qui ne doit pas êtres si facile que ça à anticiper pour les acteurs traditionnels du milieu.

Je comprend très bien que dans le meilleur des mondes, tout le monde travaille main dans la main pour créer le meilleur des mondes (et en passant le meilleur des topos c2c).
La position actuelle de certains équipeurs (entre autres) montre quand même qu’on est très loin du meilleur des mondes.
Mon constat est simplement que dire aux équipeurs qu’ils n’ont qu’à « collaborer » avec c2c si ils veulent s’en sortir (ce qui était mon point de vue au départ) n’est pas aussi simple puisqu’ils y perdront une partie de leur liberté/indépendance/identité.

Encore une fois je n’essaie pas de dire qui a raison ou tord, j’essaie juste de comprendre leur point de vue sans faire trop de raccourcit.

[jp13]

@captain-iglo

ustement le problème du financement est hélas le nerf de la guerre.

Et en balançant tout ici, plus de financement

Tu prends les calanques par exemple,

C’est vraiment pas le bon exemple!
Une petite mise au point.On a pas absolument besoin d’un topo pour grimper en couenne. On peut voir la plupart des points, au besoin en se déplaçant un peu et en regardant la lignes on a déjà une bonne idée de la difficulté. On sait si on est autour de son niveau ou vraiment au dessus. C’est bien suffisant pour se lancer. Dans le pire des cas, on prend un but et on redescend. De toutes façons même avec un topo, on peut avoir des surprises.
Si on avait du à chaque fois attendre la sortie de la nouvelle édition du topo des calanques pour essayer les sites récents! Ça ne m’a jamais empêché de l’acheter ensuite (et d’être pressé qu’il sorte pour comparer les cotations). J’ai les trois éditions du topo FFME, j’ai aussi le rouge (celui qu’il faudrait boycotter). Et j’ai même un paquet de Luchesi. Le topo en couenne, ça ne sert pas à choisir une voie mais à choisir un site. Ca permet en le feuilletant la veille, le lendemain ou n’importe quel jour de se dire; tiens là ça fait un moment qu’on y est pas allés! J’y retournerais volontiers. Ou de passer en revu tous les endroits possibles quand il y a du mistral, etc. . Pour ça, le topo est irremplaçable parce que je ne me vois pas faire la même chose sur C2C (ni même avec la première édition, celle avec Edlinger, complétée par des feuilles volantes). C’est le cas aussi pour les autres endroits où je grimpe un peu, j’ai tout un tas de topos Cambons (depuis l’Oisan nouveau est arrivé jusqu’au 2017 d’Ailefroide). Et tous les gens avec qui je grimpe font de même. On a tous les différentes éditions du topo des calanques alors qu’une fois sur place, on ne le consulte quasiment jamais. C’est pour ça que quand on me dit que C2C fait baisser la vente des topos papiers, j’ai du mal a y croire.

[anon67039162]

@jp13

Une petite mise au point.On a pas absolument besoin d’un topo pour grimper en couenne. On peut voir la plupart des points, au besoin en se déplaçant un peu et en regardant la lignes on a déjà une bonne idée de la difficulté. On sait si on est autour de son niveau ou vraiment au dessus. C’est bien suffisant pour se lancer. Dans le pire des cas, on prend un but et on redescend. De toutes façons même avec un topo, on peut avoir des surprises.

et bien pas la peine de les mettre non plus sur c2c ou ailleurs…
droit dans la ligne de l’équipe à la tête de c2c…

[unCplus]

@Jose12

@Jose12

Les deux sont compatibles. Les interventions répétées et de mauvaises fois des équipeurs et éditeurs de topos papier sont déplacées.

Je suis bien d’accord que les 2 sont compatibles et doivent collaborer. Le collectif d’ouvreurs ne met d’ailleurs pas au pilori l’ensemble de l’outil C2C mai seulement certains aspects tout à fait légitimes.

Après il faut prendre du recul et faire le distinguo entre l’humain et les choses objectives.

Ne jète pas tout sur les équipeurs et éditeurs de topo, C2C a aussi ses défauts et son mea-culpa à faire

[unCplus]

Perso j’en ai marre des topos papier:

• Ils sont obsolètes trop rapidement.
• Ils sont pas écologiquement optimaux.
• Ils pèsent.
• Ils s’abiment.
• Ils sont souvent épuisés.
• ils sont trop nombreux et fractionnés pour s’adapter à un mode de vie un peu nomade.
• Ils sont parfois pas bons.
• Ils sont trop chers (30 euros pour une aprem de grimpe sur un site, c’est cher payé)
• Une trop faible part de leur prix va effectivement à l’équipement.

Tu n’es aussi pas obliger de faire de l’escalade !

Les topos papier et leur édition fait partie intégrante de l’escalade.

[anon67039162]

@gug

Est ce que je souhaite un nouveau système plus commercial, plus professionnel, plus aseptisé, plus normé, mais aussi plus cher, plus contraignant…

c’est ça… ou à peu prêt, la fédé se désengagement, ce sont les autorités locales qui vont prendre en charge les sites (sui les intéresseront) et là ce sera appel d’offre, société travaux sur cordes qui récupèreront des marchés
L’expérience a déjà été faite et c’est une catastrophe…

[unCplus]

@Ml2

Mon constat est simplement que dire aux équipeurs qu’ils n’ont qu’à « collaborer » avec c2c si ils veulent s’en sortir (ce qui était mon point de vue au départ) n’est pas aussi simple puisqu’ils y perdront une partie de leur liberté/indépendance/identité.

Et pourquoi ne pas leur réserver 1 siège ou 2 au sein du CA de C2C puisqu’ils sont en train de fonder un collectif des ouvreurs ?

[anon67039162]

Je me permet de signaler que depuis que je suis entré dans le débat 2 initiatives m’ont été proposés en MP en aide humaine (qui je l’espère sera mené à bien au printemps) ou en matériel…