C2C interpellé par les équipeurs

je dis ça car les voies sont crées et ensuite vous récupérez l’info…

ces infos que vous copié, on est pas sur qu’elles ne pourront être exploitées à un moment ou un autre à des fin commerciale…

enfin personne de chez c2c n’a apporté de confirmation que ce serait totalement impossible

oui, c’est ça…
en me disant que le post allait être fermé si je n’arrêtais pas…

mais là… promis j’arrête…
:wink:

La licence CC permet à n’importe qui de reprendre les infos, pour en faire ce qu’il veut, tant qu’il cite la source. Entre autres, seb constant a repris dans son topo une voie rentrée par Rob. Bonnet. (sans citer la source d’ailleurs).
Ce qui est impossible c’est que personne ne peut reprendre les infos à son usage exclusif. La licence CC l’interdit totalement. On a échangé pas mal sur la notion de droit d’auteur, en disant que « tout se plaide », là, pas besoin de plaider.

ce qui est également certain, c’est que C2C n’a pas été créé pour que quelques un récupèrent le travail des bénévoles en éditant un topo (papier ou non) payant . Ca f’rait longtemps que ca serait fait sinon. Y’a largement moyen de faire un beau truc vu le nombre d’itinéraires rentrés…

et reste encore @laurentM05

Bonjour Laurent.
Ce point t’a au contraire été répondu plusieurs fois, clairement.
Les licences utilisées sur camptocamp pour les documents collaboratifs autorisent l’utilisation commerciale : Camptocamp.org
Ce choix d’utilisation commerciale, qui avait était débattu à l’époque, avait entre autre était fait pour permettre aux auteurs de topos commerciaux de pouvoir reprendre (dans le respect des licences) des infos de camptocamp pour leurs ouvrages (mais aussi assurer une compatibilité avec wikipédia).
Mais dans les faits, cela a peu d’intérêt de vendre quelque chose qui est disponible gratuitement ailleurs (sur c2c) sauf à le présenter sur un support différent (un livre ?).

C’est quand même cocasse qu’après 200 messages tu n’aies toujours pas vu ce point fondamental des licences, qui garantit la pérennité du projet c2c.

4 Likes

extrapolons …
demain l’assos est dissoute et se rapproche de la société du même nom .org …
je crois que c’est largement faisable et cela à déjà été vu pour d’autres assos
Est il possible que toutes ces infos glanées au fil du temps deviennent payante ???

je crois qu’ils se sont parlé et c’est une…une seule… au milieu
.

alors que c2c c’est du recopiage de combien de voies ???sans rien demandé aux auteurs…
sans rien demandé et là je sais de quoi je parle !!!

si elle est dissoute, elle ne peut pas s’approcher de qui que ce soit puisqu’elle est dissoute ;-).

Et encore une fois, la base de données de topos est sous licence CC. Elle n’appartient pas à C2C.org, .com, .fr, . ch …
Elle n’appartient à personne !!!

C’est un bien commun. Comme l’air que nous respirons, un paysage…ou une voie d’escalade…

donc potentiellement les infos rentrés par les contributeurs bénévoles peuvent être reprise commercialement …
cf UNE voie dans le topo de seb

du coup je comprends vraiment pas pourquoi on reproche aux editeurs de topo de « faire du fric »…

ah…là tu te trompes … il y a moyen

Disons qu’une asso peut vendre ses biens AVANT de se dissoudre… Je te faisais juste une blague sur la temporalité des actions (se dissoudre puis se rapprocher) ;-).

Et la base de données ne peut pas être vendue. Puisque n’importe qui peut la récupérer et en faire ce qu’il veut. Tant qu’il cite sa source et la laisse libre :

La loi , les écolos , les chasseurs , les conventions etc… En gros en Suisse il est plus facile d’équiper une falaise qu’en France .Faut arrêter de jeter des jokers à la mord moi le nœud qui ne font pas avancer le schmilblick. Le sujet c’est le conflit entre 88 équipeurs en France .

Bonsoir,

Qui a reproché aux éditeurs de topos de faire du fric ? Tout les participants ici semblent bien comprendre qu’un topo coûte de l’argent.
Après, le débat a évolué sur le fait que des ouvreurs disent que c’est la vente des topos qui leur rapporte de quoi payer le matériel d’équipement, et que certains grimpeurs ont dit que plutôt que de payer un topo papier qu’ils utilisent peu, qui gaspille des matières premières, qui est mal actualisé, qui ne présente pas les remarques des autres grimpeurs ayant fait la voie, ils préfèreraient verser une participation qui irait directement et en totalité à l’ouvreur plutôt que de financer pour la plus grande partie un livre.

Bernard

2 Likes

Déjà, il faut arrêter avec cette confusion (entretenue par certains à dessein ?) entre Camptocamp Association, association de droit français type loi 1901 à but non lucratif et la société Camptocamp SA (siège en suisse).
Les deux structures sont totalement indépendantes dans leur choix, même si évidement il reste des liens forts entre les deux structures du fait de l’histoire, voir l’historique des sites (a posteriori, je juge pour ma part que cela a été une erreur de garder le même nom pour ces deux entités).
Pour lever les fantasmes sur le financement de la V6, il y a eu une consultation pour retenir le prestataire, et je ne pense pas que ce dernier (camptocamp-SA, donc, en groupement avec :ratio et altimax) ait fait des milles et des 100 de marge sur ce projet, mais plutôt de la perte (demandez leur pour ceux qui ont des doutes, si le sujet vous intéresse ; l’association n’a pas accès aux résultats de cette société…).

Juridiquement, oui pour la partie collaborative du topoguide (pas pour les sorties), dans les faits ça ne pourra pas se faire pour les raisons que j’ai expliquées au dessus.

Si ça peut rassurer les gens, Camptocamp Association pourrait mettre à disposition un dump de la partie collaborative de la base de données pour que quiconque puisse reconstruire le site tel qu’il est actuellement si un changement comme tu l’imagines devait arriver (le code source est quant à lui auss libre et à disposition sur camptocamp.org · GitHub).

À quel moment as tu vu que Camptocamp Association reprochait aux éditeurs de topo de « faire du fric ». Ce n’est pas le cas si c’est ce que tu as compris.

certain… oui… peut être
pas tous…
je n’ai pas encore vu d’appel pour la fin des topo…
car lorsque j’interroge autour de moi du plus jeune au plus vieux ce n’est pas vraiment le sentiment que j’ai

les bécanes de chez c2c elles tournent à l’huile de tournesol???
les ordi nécessaires et leurs contenant pour lire ces mises à jours sont fait de produit hyper méga écolo…

heuuuu là si on y regarde bien je crois pas que le moins écolo soit le livre …

ben vu les démarches effectués pour trouver des palliatif …

enfin…

oui tu as raison…
c’est marrant, personne ne relève chez c2c…
@unCplus??? :wink:

j’ai eu un super contact avec le gars…
et je ne lui ai jamais demandé d’enlever ses topos…
du coup je lui ai demandé son adresse pour lui en envoyer …:wink:

2 Likes

si ils étaient tous comme toi à c2c j’ai l’impression que ce serait plus facile

Ouaip, comme ça il ne restera plus que C2C. Je parle que pour moi, bien sûr : en plus de rentrer les topos, on va évacuer leurs concurrents… Franchement, si j’étais un mouton, je chasserais les ours, lynx, tigres pour me faire bouffer que par le loup :joy:

Bonjour,

Chez le fournisseur, pour un produit de type encyclopédie, pour disposer de mises à jour au fur et à mesure, l’avantage écologique est très nettement à la dématérialisation, mieux vaut un serveur que des livres à rééditer.
Chez l’utilisateur, le matériel sert à une multitude d’usages, pas que pour consulter les topos. De plus en plus, c’est le smartphone, nécessaire déjà pour téléphoner, qui donne l’accès à toutes les autres informations dont la consultation de sites comme CampToCamp.

Bernard