Merde, à une lettre prêt c’était toi… le bel âne qui se présente
La formulation du problème est clairement ce qui pèche dans l’appel des ouvreurs sans doute à cause de la diversité des situations… ce que j’en retire c’est que la base de la demande, c’est la maîtrise de l’information. A partir de la et selon le contexte, ça peut avoir un impact :
- sur le financement (exemples : HotRoc avec la vente de topo / ECI réservant la primauté de l’info aux adhérents)
- et/ou sur l’envie d’équipé : réalisation des parties plaisantes de l’activité (cf les interventions de @laurentM05)
Du coup, il faudrait que les ouvreurs définissent ce qu’ils jugent acceptable comme infos disponibles sur c2c : nom des voies par liste alphabétique, cotations… et que c2c s’engage à une modération stricte de ces dernières.
Enfin, tous ça s’applique facilement aux couennes où on part quasi de rien sur c2c. Pour les GV, il faudrait bien que côté équipeur, on tente de comprendre ce qu’apporte c2c au pratiquant (là je parle pour moi : informations qui à mon sens ne peuvent pas être retranscrites dans un topo papier --> pour moi un bon topo de GV c’est le Galley sauf qu’imaginer la taille du bouquin si le cambon décrivait les voies de la sorte).