Justement, c’est sur ce point précis que rien n’est clair, parce que vous ne pourrez pas apporter de réponse unilatérale : participent comment ? dans quelle proportion ? Je ne te demande pas de répondre à ces questions, tu vas t’énerver car il est impossible de donner une réponse en dehors de son pré carré et encore…
Vous avez retoqué l’argument financier, @laurentM05 dit que c’est la partie « gratifiante » moralement du travail d’équipeur, que la gestion d’un topo « doit » rester locale pour des raisons confuses, mal définies et à géométrie variable.
Il évoque la morale et d’éthique alors que les guéguerres d’équipeurs et de topos résonnent depuis des décennies avec comme point de départ, entre autre, la fameuse question de la « légitimité », des conflits de personnes, le « droit » de décrire telle ou telle falaise, secteur. Tel topo du Verdon ne contient pas la voie de Machin parce que l’équipement ne convient pas aux « légitimes » des Gorges (je n’invente rien… ) ni les sites de la rive gauche parce que ce sont des voies équipées à des fins touristiques et qui ne correspondent pas à l’éthique etc. (je n’invente toujours rien…) Quand ce ne sont pas des règlements de compte par topos, feuilles diverses interposées. On peut trouver 3/4 topos d’un même lieu.
C’est quoi la « légitimité », ça se gagne comment ? Sur quels critères ? En quoi et qui peut décider que qqn peut et doit être le seul à pouvoir décrire un lieu, une falaise ? Est-ce qu’on peut perdre sa légitimité ? Comment je sais dans tous mes topos lesquels sont légitimes? (je vais éviter de poser des questions susceptibles de mettre le feu en ne donnant aucun exemple )
J’ai l’impression que les sempiternels conflits et questions pas ou mal résolues du côté des topos papier, de l’équipement et de la gestion des sites rejaillissent ici aujourd’hui, que c2c c’est un peu l’âne dans la fable de La Fontaine dans « Les Animaux malades de la Peste »: tous les crabes du panier se jettent sur c2c alors que le problème est plus profond et ailleurs. Et, parfois le dindon de la farce, c’est le pékin qui achète les topos.
En attendant d’autres acteurs travaillent et ont déjà travaillé, feront des topos et …
Il faudrait, comme d’autres l’ont fait remarqué dans ce fil, dépassionner les échanges et entrer dans une vision globale.