Petite histoire de topos d’un méchant utilisateur de C2C :
Cette semaine, des potes me branchent pour aller grimper en exté sur un site proche de chez nous. Organisation à l’arrach (entre la veille et le jour même), mais on fini par prendre tout le matos. Ils y sont allé une fois, moi jamais, du coup check sur le net à quoi ça ressemble. Je trouve 2-3 infos sur C2C et ailleurs, histoire d’être sûr du niveau des voies, et de la longueur pour le matos à prendre.
On arrive sur place on ne connaissant la cotation (approximative) que de deux voies, dont une sans doute trop dure pour nous. Pas de soucis, on est motivé et on se dit qu’on le fera à l’aventure.
Sur place, un autre binôme est là, avec le topo posé à leurs pieds. Ils nous laissent gentiment regardé, on discute un peu, puis je tente une voie … sans avoir vérifié la cotation avant, mais regarde quand même après pour vérifier !
L’autre binôme fini par s’en aller. Du coup je leur demande si on peut prendre une photo de leur topo, le but étant de trouver une voie facile pour le débutant du groupe. Ils nous laissent faire, mais on un discours moralisateurs sur tuer le livre etc. Je ne réponds rien, mais je pensais de toute façon acheter le topo, je n’avais juste pas eu le temps de le faire avant de partir (orga à l’arrach comme déjà dit).
Le lendemain, je me prépare a aller acheter le topo. Avant de partir je fais quand même une vérif et qu’est-ce que je trouve chez moi : le fameux topo. Acheté 6 mois plus tôt pour aider les ouvreurs de la région et en me disant qu’il servirait sans doute un jour. Entre temps ayant fait des sorties en montagne dans un autre massif, je l’avais totalement oublié !
D’autre part, dans mon terrain de jeux de prédilection : j’ai les topos modernes, des bouquins sur l’histoire, les topos anciens (en grande partie imprimé depuis internet, avec l’accord de leurs auteurs, car introuvables depuis longtemps), et pourtant en situation c’est souvent l’impression de C2C, d’un blog voir une photocopie du topo que j’ai dans la poche. Les autres topos restant au fond du sac ou dans la voiture.