ça fait quand même pas mal de monde…
C2C interpellé par les équipeurs
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berk… la compression dégueulasse…
Je voulais dire, « à la dernière AG, en plein dans l’affaire de l’ADO »
Du coup, la réponse doit être « non ». Ben c’est dommage (litote).
.
utiliser TOR pour du BT c’est mal.
oui mais jouer au parasite c’est aussi mal. Par exemple on retrouve avec les livres électroniques la situation de la musique il y a quelques années (prix souvent supérieur à la version papier !)
Hadopi = truc franco-français. Le téléchargement illégal est une question planétaire. Les gens finissent pas savoir utiliser google pour savoir comment contourner les petits obstacles ridicules placés par des gouvernements qui ignorent la technologie…
Oui c’est déjà énorme !
Je suis également d’accord,
- mais avec le fait qu’on arrive pas à juguler le piratage
- que la solution gratuite de C2C fonctionne, et grossit
ne justifie en rien le fait de ne pas essayer de faire un truc « réglo pour tout le monde, y compris les équipeurs » à la source.
Là à ce jour « C2C, fonctionne, mais n’est pas réglo pour les équipeurs qui se font aspirer les topos »
Tu voudrais que la question soit reposée ? Tu peux déjà faire un sondage consultatif sur le forum. Ça te donnera une idée.
décrire un itinéraire != copier un topo (d’ailleurs c2c enlève rapidement les copies qui sont signalées)
Les états qui construisent des routes réclament-ils des royalties aux boites qui font du fric (ou pas) avec les cartes ? L’IGN/swisstopo vend peut-être moins de cartes depuis l’avènement d’openstreetmap, mais ils ont su proposer d’autres produits adaptés aux technologies actuelles au lieu de juste montrer les méchants du doigt.
oui mais ils faudraient que ces derniers, comme pour ceux qui détiennent les droits de la musique/des videos, se mettent d’accord pour accepter une offre légale et arrêtent de rendre responsable de tous leurs maux c2c et les personnes qui rentrent honnêtement des itinéraires. En outre, comme pour la musique, certains topos ne sont plus disponibles et malgré les recherches impossible de mettre la main dessus. Je n’ai pas beaucoup entendu de solutions pour ça.
Merci pour ce commentaire. De nombreux contributeurs bénévoles ont contribué aux topo c2c de Presles. Ça fait plaisir de lire que cela sert à quelque chose.
Concernant les approches et les retours par le haut, il serait intéressant de compléter les topos par des traces GPS précises afin de représenter ces approches/retours sur la cartographie. Un waypoint pour chaque ligne de rappel serait également au top.
Une personne équipée d’un GPS US/Glonass/Galileo pourrait également faire un essai pour les approches par le bas. Mais, la précision au pied de la paroi devrait toujours être assez mauvaise.
Ce débat va vite tourner en rond mais j’aimerais malgré tout faire un petit rappel…
les équipeurs et découvreurs de falaises sont bien souvent les « gestionnaires » de ces falaises…
Il est très facile de toujours ramener cela à l’argent que peut rapporter un topo mais il y a tous les accotés que les fervents défenseurs de C2C semblent volontairement oublier…
Bien au delà du petit nombrilisme aigue de celui qui fera le plus beau topo il y a l’existence de base de la falaise et la possibilité ou pas de pouvoir y grimper dessus de pouvoir y accéder et souvent bien avant de pouvoir y planter un goujons…
Même l’équipement confidentiel devient compliqué et peut mettre en péril le reste de l’activité…
A tout ceci C2C ne participe en rien
Mais se permet de se gargariser de faire les plus beau topos
Bien au contraire C2C permet la publication de topo en zone interdite mettant en péril le reste de l’activité…
Tout ceci rajouté au plagiat régulier quasi incontrôlable, (découvert de ci de là au fil de ce post) et avec un petit peu de réflexion, et surtout en étant proche du terrain on se rend compte que plutôt que de contribuer à l’activité, C2C nuit de diverse manière à l’activité…
Et c’est bien dommage…
Vous continuerez à défendre vos topo, votre collaboratif qui annihilent petit à petit les motivations « administratives » sur le terrain…
Vous poussez les gens à équiper dans leur coin sans communiquer et partager…
Un comble…
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il est même évident que sans hadopi en france, netflixe et deezer n’auraient jamais démarré et trouvé leur publique.
litote est le mot à la mode, n’est-ce pas ?
Merci pour tes propos constructifs.
pas d’accord, proposez une offre légale, si elle est OK, les équipeurs l’accepteront/ou pas de manière individuelle.
Ils se sont unis pour hurler un ras le bol…
pas forcément pour valider d’une même voie la voie de la reconstruction.
soyez moteur, c’est ce qu’ils attendent.
comprend que si le système perdure sans changement, on roule dans le mur
Si si j’ai fais une proposition de mise à disposition (la Numéro 7, la plus importante) (scan pdf de bonne qualité), vendable au prix d’un topo numérisé (3 ou 4 € ???), juste définis ensemble C2C/équipeurs? / FFME ?, et reversement des sous, une partie à C2C qui aura géré la vente, comme éditeur, une grosse partie soit à une caisse commune pour de nouvelles ouvertures, soit à celui qui gère le secteur.
Quand on passe outre les invectives, des deux côtés, il y a des propositions, qui me paraissent, à moi, pauv’ petit camptocampeur loin d’être inintéressantes. Et je suis pesuadé que si il y avait sur certains topos un lien pour faire un don à l’équipeur, ca rapporterait de l’argent.
Ca coûte quoi d’essayer ?
Plutôt que paypal, https://www.helloasso.com/
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Je ne peux que te répondre le graphique de l’article mis en lien :
Et te donner les chiffres que vous aimez tant : 42% des je ne sais combien de retoqué d’hadopi se sont tourné vers le légal…
Ouais mais le picto il jette quand même 
boarf… pas fan…
je préfère le « C » caché dans le logo de Carouf Ca c’est du sacré boulot de graphiste:
du temps et de l’envie…
la balle est dans votre camp… (tocamp).
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Moi j’aurais cru que c’est l’équipement en zone interdite qui met en péril le reste de l’activité. Mais ca doit être parceque j’y connait pas grand chose…
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dans « leur » camp. Je ne suis même pas membre de l’asso.
Mais faudrait aussi un équipeur ou un collectif d’équipeur pret à jouer le jeu et à justifier auprès des donateurs de l’usage des fonds ainsi récoltés.