C2C interpellé par les équipeurs

On remet les derniers posts dans le topic de l’ADO ?

3 revendications concernent le contenu des topos c2c mais chacun est libre de collaborer et d’y ajouter des infos, pourquoi ne le font-ils pas ?

Les topos exhaustifs pour les sites de couennes comme c’est déjà le cas pour les grandes voies ? Pourquoi pas, dans le mesure où nombre de topos papiers sont tout simplement obsolètes.

au début je me disais que tu le faisais exprès mais en fait je pense que [modéré]

Tu peux retourner en hibernation c’était pas plus mal.

Peut-être.

Je pense aussi que les contributeurs destructifs à l’égard de c2c devraient payer une taxe pour leur consommation du site !

« Contributeur destructif » ? Tu parles de qui ? D’un « auteur » de topos qui jette de l’huile sur le feu en rentrant des couennes au km à l’acmé du conflit, affirme que C2C ne bougera pas sa position d’un iota, répète à l’envi que C2C est un projet individualiste et sait tout sur tout mieux que tout le monde ? :slight_smile: (il fait partie des « membres garants » au fait lui ?). Ben ça donne pas plus envie d’adhérer à C2C qu’à l’ECI…

Manu Ibarra, Bruno Fara, Laurent Girousse

On est obligé de repartir pour 5000 posts ou il est envisageable de ne pas réalimenter ce débat il me semble bien épuisé et désormais un peu stérile ?

non mais si t’équipes en electrozingué (dans un deversoir) et que tu mets qu’un point au relais ca suffit large les revenus des topos :mrgreen: après il suffit de traiter les gens de consommateurs car ils rééquipent pas ta voie 10 ans après

Le moindre grimpeur a 300€ de matos sur lui.

Combien d’argent…public?
Deux exemples parmi d’autres.
Entre 200 et 300 000 euros dans le mercantour / 06.
Pas loin de 200 000 euros pour le caroux.

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le moindre pieton aussi

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Plus même vu le prix des smartphones…

Je parle bien sur du matériel spécifique à l’escalade.

Est-ce que le fait que CERTAINS sites soient équipés avec des fonds publics change quelque chose? (sauf peut-être pour ces sites, et encore, les collectivités espèrent probablement récupérer au moins une partie de leur dépenses via les topos).
Sans compter qu’une majorité des falaises n’est probablement PAS équipé avec du matériel payé par les collectivités :

  • soit c’est un club qui équipe : est-ce normal que ses membres payent tout et que d’autres profites sans même acheter le topo (ou faire un don s’ils préfèrent)?
  • soit c’est des particuliers qui équipent sur leurs propres fonds. J’en connais un qui en est à sa troisième falaise qu’il équipe en 4-5 ans sur ses propres fonds (plusieurs milliers d’euros par an, entre les spits (bien rapprochés), les relais, les perfos, les mèches, les cordes fixes, et même le matos qu’ils se font piquer!) : il est maintenant en train de préparer un topo papier, d’un coté pour faire connaître ces falaises, mais aussi dans l’espoir de récupérer une partie de l’argent qu’il a investit (et ainsi pouvoir continuer à équiper).

Donc si vous ne voulez pas des topos papiers, pas de problème, mais alors soutenez l’ouverture autrement : soit en équippant/re-équipant vous même (ou en participant à l’entretien des sentiers et des voies), ou alors faites un don à un club/association qui équipe, ou alors à un équippeur qui équipe sur ses propres fonds.

Et pour ceux qui se plaignent de voies mal équippées : si l’ouvreur (ou même le club) équipe sur ces propres fonds, ne pensez vous pas qu’en les soutenant financièrement (via des topos papiers, des dons, …) vous les encourageriez à mieux équiper les voies? Quand financièrement il faut choisir entre équiper 1 voies béton ou 2 plus aériennes, le choix est dur ; si en revanche l’argent ne manque pas, alors l’équipeur aura je pense bien plus tendance à être généreux sur les spits.

Et à ceux qui disent que le grimpeur porte plus de valeur en équipement sur soit que le prix de l’équipement de la voie : raison de plus pour qu’il en donne ne serrait-ce qu’une fraction pour l’équipement

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Tu oublies au moins une autre situation : celles de pros qui équipent parce que ça permet de développer leur activité.

Du coup on voit que les topos contiennent aussi des sites qui ont été financés par de l’argent public, par des pros pour développer leur activité, des sites qui ont été équipés par des particuliers qui ne verront jamais la couleur de l’argent des ventes des topos…

L’auteur d’un topo a-t-il une légitimité quelconque à gagner de l’argent (même si ce n’est pas grand chose) pour autre chose que pour la rédaction du topo ? C’est à dire pour payer l’équipement si dans son topo il reprend des sites dont l’équipement a été financé autrement que par son propre travail ?

Simplifions en imaginant un topo avec 2 sites. Le premier a été équipé et financé par l’auteur, le second a été financé par une collectivité et équipé par un club. L’auteur du topo peut-il reprocher à C2C de mettre en ligne le topo du second site ? Lui-même n’a pas agit autrement que c2c, sauf qu’en plus il y ajoute une dimension financière.
Je n’y connais rien en droit mais l’équipeur d’une voie a-t-il des droits sur cette voie ? Peut-il interdire qu’elle soit décrite dans un topo papier ou en ligne ?

Je disais ça pour montrer que la vente des topos ne représente qu’une petite partie de l’argent que génère l’activité. Quand des sites sont équipés ce sont les vendeurs de matos d’escalade qui sont les premiers gagnants.

je pense que l’auteur du sujet pourras nous renseigner, je me suis toujours demandé quel était le % de voie équipés par lui dans ses topos
pour participer à l’équipement des voies, merci de continuer a laisser des maillons au milieu des voies :stuck_out_tongue:

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Moi je parle de ce que je connais et de ce que je fais:
Sites de couenne ( plus de 200 longueurs): le conseil général nous paye les points mis en place, rien pour l’usure de notre matos perso, rien pour les scies. sécateurs, tronçonneuses… rien pour nos déplacements pour équiper et bien sûr nous sommes tous bénévoles… alors la vente de topo même si c’est sois -disant dépassé, ça nous permet de faire face à ses « faux frais ».
Cette année pour causse de restriction budgétaire, il y aura un financement soit pour 2 accus soit pour cent points, à nous de choisir…Vive les gras financements publics … et surtout la vente de notre topo qui nous permet d’acheter des points.
Grandes voies ( plus de 15 voies de 6 à 12 longueurs) , rien de rien !, matos, déplacements, points posés… rien pas un financement public . Un grand merci aux topos de Promo-grimpe qui nous finance (de plus en plus difficilement à causse de la concurrence déloyale de C2C) les points posés et encore pas totalement, j’en ai acheté un bon quart de ma poche.

Donc les donneurs de leçon qui cherchent surtout à justifier et à défendre un système qui leurs permettent de consommer sans vergogne en rats de falaise…Je leur dit : arrêtez de vous cacher derrière votre petit doigts et continuez comme ça , c est le meilleur moyen pour arriver à une restriction des sites et des pratiques; faute de bénévoles et de financement pour faire perdurer le système que vous piller sans vergogne.

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J’ai bien pensés dire une bêtise comme ça.

Je ne peux que vous demander si dans vos topos vous ne présentez que des voies que vous avez équipées et financées vous-même ? est-ce que tous les équipeurs des voies que vous présentez reçoivent une rémunération ? Si ce n’est pas le cas vous faites pire que C2C puisque vous profitez financièrement du travail des autres (un mot de 3 lettres qui commence par « v » et se termine par « l »)

Tu en connais des ouvreurs (qui équipent à frais perso) qui arrivent à tirer plus de bénéfice du topo que ce qu’ils ont payés dans un premier temps?
Pour celui que je connais en tout cas, c’est plutôt un gouffre financier dans lequel passe le plus gros de ce qui est disponible de ses maigres revenus.

Quand a ton affirmation que c’est du vol que d’inclure des voies ouvertes par d’autres :personnellement, tant que tout l’argent en question sert à re-équiper des voies, ça me pose aucun problème (même si quand un partage équitable est encore mieux).
Si par contre les revenues dépassent tout les coûts, alors je pense qu’il serait en effet plus correct de partager avec les autres équipeurs (ou financer de l’équipement).