Oui. On va citer un contre-exemple. Celui mis en avant sur le FB des ADOs … mais qui après quelques coups de fils :
- possède un topo incomplet, hyper laid et de très mauvaise manufacture,
- ce topo est très difficile à trouver,
- les ouvreurs les plus actifs sur le site l’accusent de ne pas participer à l’équipement et à la maintenance.
- les ouvreurs actifs ont signé l’ADO, pas les auteurs du topo,
- le topo est en fait issu en majorité d’un travail précédent de deux personnes dont une souhaitait au départ pour une autre région que le topo soit diffusé gratuitement.
Voilà, c’est un site d’escalade, présent sur C2C, qui est donné en exemple par l’ADO. Excusez-moi, comment sépare-t’on le bon grain de l’ivraie ? Qui est le bon grain : l’auteur actuel du topo ? les ouvreurs actuels ? les ouvreurs-grimpeurs originels ?
Avec trois directions différentes, qui doit-on suivre pour être dans le droit chemin ?