merci Moon,
pas dramatique, c’est un chiffre que je m’étais senti obligée de sortir, donc il s’empresse bien sûr de le remettre. Il y a vraiment un souci : Il faudrait que les ouvreurs passent 1 an, 2 ans sur un topo, sans compter le temps pour ouvrir les voies , et en plus, qu’ils ne gagnent pas un centime pour ce temps passé. Et cerise sur le gâteau, remercier c2c de mettre tout sur leur site pour leur faire de la pub
Je pense que ça aurait peut-être été possible, mais comme à une époque, certains ouvreurs ont été confronté à Bubu ou Kryst0f…tu imagines les dégâts…
allez…a+
Perso, je ne trouve pas cela choquant. Il n’y a pas de règle stipulant que la conception d’un topo doit être exclusivement professionnelle ou exclusivement bénévole. Il n’y a aucun problème s’il y a un peu des 2 en optimisant les compétences et ressources pour avoir le meilleur résultat.
Par contre c’est sûr qu’ensuite on ne peut pas dire que le topo est exclusivement bénévole. Ca n’enlève pas la valeur de la part bénévole du topo (qui si elle avait été professionnelle, aurait surement couté 10 fois plus que 3000€).
Et c’est sûr qu’ensuite, quand pfff défend la part bénévole du topo, ça passe mal.
C’est pas ce que dit l’ADO. Il va beaucoup plus loin que ça : grandes voies, cascades et dry-touffing, …
Ca serait pourtant un compromis raisonnable pour beaucoup de gens.
(même si définir qui est le gestionnaire/equipeur du site risque de poser beaucoup de problèmes).
Ce n’est pas du tout une bataille de coq Grenobloise. C’est le problème d’un modèle de financement (il en existe d’autres) actuel d’équipement & maintenance sur nombres de falaises en France.
La solution à toute cette polémique a été donnée par @moonj
« c’est que les ouvreurs travaillent main dans la main avec l’équipe C2C et qu’ils soient modérateur de leur propre sites sur C2C… Comme ca ils pourraient contrôler les informations diffusées. »
moonj a très bien compris
je ne saurai que te conseiller te prendre le temps de relire l’appel correctement et la clarification sur le 4eme point sur la page fb…
Argutie ! A quand la défense de piratebay comment étant un outil de partage collaboratif et associatif et ne faisant que reprendre une vieille fonctionnalité déjà présente dans la V3 d’Emule ?
@BoboW, qu’y a-t-il de dérangeant sur la fiche C2C de Hauteroche ? N’est-ce pas un bon exemple de ce qui est possible quand les acteurs locaux font l’effort d’informer, plutôt que de partir dans un bataille d’ego ?
Je ne saurais que te conseiller d’arrêter de prendre les gens de haut et de changer de ton. Tu décrédibilises votre combat. Combat qui est, partiellement justifié. Et quand tu auras 5 mn de relire votre propre appel :
Il faudrait donc retirer de la vente les topos de T. Margeritat, d’Hervé Galley, …
Tu peux aussi relire les 4000 messages précédents, montrant bien que CERTAINS parmi « vous » veulent aller plus loin.
Je pense que c’est comme ça que tu vois les choses et que c’est ce que tu essayes de faire. D’autres aussi peut être (tanou?).
En fait l’appel des équipeurs ressemble plus à une sommation qu’à une interpellation. Si le but avait été d’amorcer une discussion, c’eut été pour le moins maladroit.
Pour moi les destinataires de l’appel ne sont pas les bénévoles de C2C mais la communauté des grimpeurs qui est prise à témoin.
Je ne te prends pas du tout de haut en disant ça ![quote=« mollotof, post:4236, topic:199458 »]
C’est pas ce que dit l’ADO. Il va beaucoup plus loin que ça : grandes voies, cascades et dry-touffing, …
[/quote]
mais tu dis ça et c’est faux, non ?
On comprend qu’au bout d’un an de vaines discussions, les ouvreurs aient décidé de mettre le problème sur la place publique.
http://www.eci38.fr/historique-des-echanges-avec-camptocamp/
"
Afin d’apporter un peu plus d’explications sur les raisons qui nous ont poussé à lancer cet appel des ouvreurs, voici un petit historique de la chronologie des échanges entretenus avec les membres de Camptocamp association depuis plus d’un an déjà:
07.04.2016 : Première réunion ECI/C2C
09.05.2016 : Réponse par mail de C2C, suite à notre entrevue du 7/04/2016, portant sur les points évoqués en réunion
12.12.2016 : Réponse de l’ECI (Lettre recommandé avec AR)
21.12. 2016 : Réponse de C2C par mail
17.02.2017 : Réunion ECI/C2C, compte-rendu de cette réunion fait par l’ECI
puis « amendé » sans consensus par un membre du CA C2C
Avril 2017 : lancement de notre « APPEL DES OUVREURS »
31.05.2017 : propositions C2C relatives aux respects des ouvreurs et références
bibliographiques
18.11.2017: Réunion FFME/CT/Collectif/C2C à Grenoble
"
Les vieilles rancœurs comme tu le dis apparaissent à l’occasion de ce conflit, mais n’en sont pas à l’origine. De mon point de vue c’est davantage l’obstination de C2C à vouloir maintenir son offre à un niveau aussi exhaustif que possible. C’est quelque chose de vital dans le sens où c’est en cela que réside l’intérêt des visiteurs et la motivation des contributeurs.
L’idée du collaboratif ne pousse-t-elle pas certains à se dire : je contribue et en contrepartie j’acquiers le droit de m’informer gratuitement).
Sous quelques réserves, le collaboratif serait assimilé à du travail clandestin rémunéré en nature.
Les modérateurs seraient donc essentiellement des censeurs. Bonne ambiance garantie sur le site !
Crée donc un site similaire à c2c, avec ce genre de règle, tu verras bien le succès qu’il aura.
J’imagine bien ce que ça pourrait donner : on laisse les contributeurs saisir des infos et des schémas, et au bout d’un moment on récupère le tout pour faire une nouvelle version d’un topo papier. Mais quand le topo papier sort, on supprime toutes les infos du site web (ou on ne laisse que des ébauches). Quand un contributeur aura vu tout son travail qui lui avait peut être pris des dizaines d’heures en cumulé, supprimé du jour au lendemain, le tout pour faire un topo papier qui est censé financer l’équipement mais dont les comptes sont opaques, il arrêtera de contribuer sur ce site et il ira voir ailleurs, ou créera son blog pour diffuser les infos qu’il estime avoir le droit de diffuser.
Ce que je décris est ce qui se passe régulièrement, mais sur des sites non contributifs : les auteurs du site savent d’avance que les infos qu’ils publient seront supprimées lors de la sortie du topo papier.
Avec c2c, on peut bien sûr récupérer les infos pour faire un topo papier, mais sans supprimer la source sur c2c. Les licences utilisées permettent justement de garantir à quiconque de pouvoir diffuser ces infos ailleurs, même si c2c viendrait à mettre en place un fonctionnement permettant de supprimer des infos lors de la publication d’un nouveau topo papier.
Tu es juste en train de décrire le fonctionnement de C2C mais à l’envers : à part quelques rares cas, les contributeurs partent du papier (des ouvreurs) pour faire du web !
Sauf qu’on ne supprime pas le topo papier après la sortie du topo sur c2c. Et la grosse différence est que le topo papier n’est pas sous licence libre, et donc seules qq infos sont récupérées du topo papier. Le reste provient des contributeurs eux-mêmes.
Evidemment, une fois que son contenu est mis en ligne et du moment que les utilisateurs n’ont plus la nécessité de se le procurer.
Ce serait un comble que de demander cela aux éditeurs : mais au point où vous en êtes !?.
Ah, c’est de la faute aux contributeurs, alors !
Si vous supprimez les champs susceptibles de recueillir des infos littigieuses, le contributeurs ne vont pas aller modifier la structure de vos fichiers.