C2C interpellé par les équipeurs

Et c’est quoi des pages internet photocopiées ?

C’est l’utilisateur qui choisit de faire une copie d’une page internet. Rien à voir avec le statut juridique hébergeur/éditeur de cesite.
Si un article d’un blog m’intéresse et que je l’imprime ça ne fait pas de ce blog un éditeur. Ma page compte personnel de mon assurance, avec mes cotisations etc, si je veux l’imprimer c’est la même chose.
Le site Visorando héberge des topos de randonnée mais offre la possibilité de télécharger les topos (en pdf je crois) exhaustifs, là par contre ça devient un éditeur. Ce n’est pas juste une capture d’écran ou une impression à l’arrache.

Ça n’existe pas et cela a déjà été mainte fois dit.

Si le droit d’auteur sur création de voies d’escalade existait , l’ECI attaquerait en justice au lieu de brasser.

Tu connais la fonction ''imprimer la page ‹  › via l’icône de la petite clé ''plus ‹  ›? Miracle de la technologie moderne tu peux aussi imprimer la voie via un pdf. C’est ti pas bô tout ça ?
Mais neuneunon, C2c n’est pas un éditeur c’est un hébergeur !
Les contributeurs c’est des auteurs, il y a une ligne éditoriale, les modos font office de redac-chef/direction de la publication , les infos sont structurées dans une des bases de données les plus fournies qui soit et sont imprimables facilement… mais … c2c n’est un pas éditeur. … c’est un hébergeur.
A un moment donné, faut enlever le oeillères non?

D’ailleurs y a pas un calendrier qui doit être éditer dans pas longtemps?

Le terme officiel c’est hébergeur mais c2c fait de l’édition ciblée et gratuite .
Il n’est pas contre pas agregateur de news comme kairn

Allons au bout du raisonnement…une voie est une œuvre de l’esprit…finit les benevoles.
Je crée une œuvre, la voie, je choisis qui j’en fait profiter selon mes critères : copains, ceux qui payent, ceux qui me donnent quelques chose en échange. …

En admettant que ça soit vrai, il est où le problème ?

Que fait un auteur si ce n’est de publier à titre gratuit ou onéreux selon son choix. Cela ne donne pas pour autant le droit à quiconque de copier son œuvre, de la diffuser ou de l’exploiter au préjudice de l’auteur.

Relis donc les 3482 posts ; Tu verras que de part et d’autres de très bons arguments sont venus étayer la discussion.
Le post est long, fluctuant,difficile, parfois pénible à lire quand des affects à fleur de peau s’expriment en 200 caractères ou épanche des conflits de personnes non résolus. Mais on fait quand même le tour du problème et je pense aussi que beaucoup ne connaissait pas ces problématiques de l’ouverture de voies d’une part, de la création et la diffusion de topos d’autre part.
En tout cas une chose est certaine : le milieu de la grimpe ne se gère plus de la même façon que à l’époque ou l’activité était réservée à quelques initiés et les falaise considérées comme des no man’s land.
L’escalade doit faire avec l’explosion du nombre de ses pratiquants et les questions légitimes qui tournent autour de son financement surtout comme la plupart du temps, il est public. Et la judiciarisation du risque.
Et ne peut ignorer internet, l’invasion du " tout gratuit" et les rats des falaises.

le droit d’auteur stricto sensu s’applique à la mise en forme de l’information , la page, le livre. Pas à l’information proprement dite qui se trouve dedans. (hauteurs de la voie, points, nb de relais, difficulté…).
La communauté des grimpeurs respecte et reconnait « la création de l’ouvreur » d’un nouvel itinéraire en figeant l’historique, le tracé et le nom de la voie… pour l’éternité ( sauf éboulement ou par renoncement, quand la voie est vraiment une bouse :slight_smile:). Et s’interdit de photocopier les topos pour les donner ( vendre ?) aux copains.

C’est à dire ?

a virer si un modo passe par la :slight_smile:

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les seuls chiffres vraiement intéressant de vente de topo seraient ceux d’après ce topic :smile:

oui actuellement, il ne faut pas changer le tracé, le nom (certains nous on gatés niveau joli nom), l’équipement ad vitam aeternam,
je propose que l’on interdise de parler de la voie, qu’on ne prennes pas de photos dedans, que l’on appel l’ouvreur avant pour pouvoir grimper dedans (et cela aussi ad vitam aeternam, il faut donc trouver un moyen de contacter les descendants), voir meme regarder la voie (ca c’est a définir après vote)
perso, j’ai demandé au père noel plein de cadenas que je mettrai dans les premier scellement de mes voies, comme ca les salops de C2Cistes pourront pas aller grimper sans me demander la clé
joyeux noel à tous :slight_smile: (sincèrement)
je trouve que tous ca pour le moment fait plus de mal que de biens, c’est assé dommage

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j’ai répondu en mp pour pas polluer

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Ce que je viens de dire est faux ?

Par contre rassure toi, je n’y vois aucun problème . Si ce n’est d’appeler un chat, un chat.

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Tu peux faire exactement la même chose avec le bouton «imprimer» de ton navigateur, pour un rendu identique (sur imprimante ou en pdf).
Ce n’est d’ailleurs pas une fonction intrinsèque à c2c, puisque que «imprimer la page» fait appel au gestionnaire d’impression du navigateur, fonction qu’on retrouve régulièrement sur n’importe quel site, éditeur ou non.
Ton raisonnement ci-dessus est donc faux.

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Mais oui, mais oui, c2c ne fait donc pas de topos imprimables. …

On dérive un peu, mais n’importe quelle page internet est imprimable, soit via le navigateur, soit via une capture d’écran et l’outil d’impression fourni sur le pc, smartphone, …

Je ne vois pas le rapport.

Franchement c’est quoi l’intérêt de nier une évidence ? On s’en tape qu’on peut le faire via le navigateur
Le fait est, c’est que c’est faisable via la clé ‹ ‹ plus › › de c2c. Point barre.
Tu oublies aussi tout le processus d’ édition que j’ai mis en évidence (au cas ou cela aurait échappé à certains). Je l’ai deja dit cela ne me dérange pas.
Mais surtout arrêter dire que c’est pas vrai.

Le rapport avec le calendrier? Le mot ‹ ‹ éditer › ›, car il parait que C2C ne fait pas dans l’édition …

Tiens un rappel de l’objet de c2c:

plus généralement l’ouverture sous toutes ses formes des contenus et des technologies sous-jacentes à la plate-forme Camptocamp dans le respect des licences conforme à la Free Software Foundation pour favoriser la diffusion de la culture et des connaissances lié à l’environnement montagnard.
l’indépendance.
la neutralité éditoriale de l’association.