salut Manu.
1°) J’ai ton topo du Diois. J’ai aussi celui de presles, etc, plus de 115 topos. Je les ai pour soutenir les auteurs, mais aussi pour avoir une vue d’ensemble des région/falaises (ce que ne permet pas C2C) et enfin pour rêver quand c’est de beaux topos (mussato)
mais quand je grimpe j’emporte toujours un topo C2C : itinéraire décrit par longueur, réactualisé en fonction de l’équipement/éboulement, accès remis à jour. Le topo de Presles est très obsolète par exemple à ce niveau par exemple.
2°) je suis aussi auteur d’un livre (dans un autre domaine) La baisse de ventes d’un livre est un phénomène normal : quand il sort, pub de l’éditeur, effet de nouveauté, bibliothèques ou club qui achètent, tout ça donnent de bonnes ventes. Rares sont les livres qui résistent à cette érosion
3°) l’érosion des ventes, phénomène inéluctable, est justement selon moi ce qui justifie la recherche d’un autre système de financement (parallèle aux topos, il n’est pas question qu’il disparaisse) Si demain tu ressort une édition du topo du diois, tu auras qq ventes la première année, mais ce sera très vite insuffisant si par exemple il faut aller rééquiper tes voies…
4°) je partage tout à fait tes inquiétudes quand à l’évolution des SAE, Mais je ne vois pas le rapport avec C2C. C2C a des défauts, ainsi que son équipe dirigeante, comme toute structure humaine : mais lui mettre sur le dos les dérives sécuritaires de notre société, c’est gonflé quand même. Le principale protagoniste de l’affaire de Vingrau n’est pas C2Ciste… mais guide.